Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28/06/2016

Note

 

L’Europe c'est l’Égypte ancienne, le Nous éclairé, le Noût étoilé, l'Ouest américain, la dernière frontière, le signifié transcendant sans la fuite duquel, sans l'oubli il n'est point d'esprit qui se cherche et se découvre, ni de recherche et de vie dans la langue de l'esprit, l’Europe c'est le peuple dans la voix de chaque aristocrate confondu, c'est le palatin, et le palais d'or des découvertes ou tous sont prince d'une zone pavillonnaire certes, mais ou l'essentiel des substances nécessaire a l'alchimique transsubstantiation sont présent, l’Europe pourrait être autre chose qu’austérité, ce pourrait être au contraire, l’Épiphanie de l'intelligence et du cœur réconciliés par l'infini, c'est les secrets de la nature et la vénération du mystère, c'est le travail de la beauté du fondement, la patience intacte de l'attente, c'est la plante céleste embrassant l'ovaire terrestre des palmiers; les égyptiens de l'antiquité se percevaient microscopiques dans une structure d'une écrasante grandeur, la Grèce se rêvait transport sans mouvement, hormis ceux de la houle de beauté ou chacun fait a son échelle, ce qui lui plaît; l’Europe c'est l'idée d'un projet, celui d'une intégration infinie des individus a un degrés d'esprit et de conscience commune ou le bien absolu est clairement comprit comme n’était pas tout a fait de ce monde sans lui être complètement étranger ; ce projet l'esprit de la marchandise le dénature gravement, et le rend méconnaissable en sa profonde radicalité et originalité de paix terrestre reposant dans le spirituel et inversement, l'idée que c'est la passion qui sculpte les esprits autant que la raison ; la marchandise rogne le plan de cette épiphanie, les racines noétique de l'apparaître de la paix sont arrachées du sol spirituel ou le terrestre trouve sa justification, par les excès marchands, l'exploitation destructrice, l'avidité sans fin du perfectionnement des engins d'exploitations a seule fin d'en produire de plus monstrueux encore, l'inintelligence de la bêtise corrompe macroscopiquement le projet infini de la liberté, de l'amour et de la vie (pour un français, cette intégration de son pays a une unité supérieure, signifie quelque chose comme le passage de la liberté, égalité, fraternité, plutôt symbolique, a quelque chose de plus humain, réellement moins abstrait); au fond l’Europe devrait être un guide spirituel qui donne la direction d'une intelligence de ses fins, une justification au sacrifice sur l'identité immobile qui accompagne l’intégration ; or cette justification manque parce qu'elle est invisible au yeux des autochtones qui ont des lors davantage l'impression de faire partie d'un décors de film auquel il ne participent pas que celle d'acteur du projet sans fin, d'instrument inutile et volontaire de la tâche individuelle et collective qui est de rendre grâce de la raison, d’étendre les lumières de la répétition, les lumières du souvenirs éternel qui se prépare, et de bâtir autours de ce feu de joie.

 

Les commentaires sont fermés.