29/09/2016
Epistémaux
jean pierre ugarte
Pluies insolites, grêle, averses inexorables les assaillirent, et le feu les consuma- Car voici le plus étrange : dans l'eau, qui éteint tout, le feu n'avait que plus d'ardeur.
.Sg 16:17
Pix flâne sur la pellicule d’un film uruguayen dans les allées argentiques ou il croise, sous un soleil endogène, le dernier acte de son rendez-vous; a l'actuel il se mêle aux Martiens qui portent sur la tête les tribulations d’Abraham, alors que, déjà, les maxillaires de l’impondérable, encore gravier a la semelle, se renferment sur sa poussière en compréhension, qu'il aperçoit, loin devant lui, comme la fibre de son souvenir ramassée sur elle-même a la façon de l’hyphe des champignons refusant toute communication ; une caille de bois couve le terrier qu'elle vient de pondre ; au château, les chefs de rang remportent des quartiers de lune éteinte que le mercure des chauffe plat ingère ; les couverts d'argent émergent des vapeurs de mets tandis que l'espoir les gonfle de bulles d'aciers que les convives indistinct rempotent dans la nappe grouillante de blancheur, de peur qu'elles ne s'enfonce comme des lanterne chinoise dans la ruine éclairées des symboles écrasés par l'ombre de l'arbre financier ; leur lueurs tombe sur les parapet de l'impasse des voix ; dans la lumière négative, il voit le pelage des roches qui déchirent les cotes des christ amniotique, et les grandes barrière de joncs qui engeôlent les sirènes égarées loin des traîne de jardins de mer câpre; pix a besoin de mots neufs et de nouvelles lésions échappant aux sentes synaptiques des spectres rabougris; il a besoin de trouille solide pour sentir clairement l'esprit dissolvant de l'inclusion ; les voiles du fantasme dédouble la campagne, entre les deux, l'espace d'un automne brûle les bois aux articulations ; l'imagination ébranle la colonne ; l'attention, sur ses échasses se plie et puise les baies dans le chaudron fanée ; bec et tronc sur les larmes de dieu ; buis végétatif devant lui, perché par l'art majeur de la triangulation ; l’arc décrit l'effet électrique de la voûte plantaire de l'esprit ; sa marche est anonyme par cloque des vingt quatre images seconde ; il passe sous leurs chapiteaux de gare ferroviaire, suit, longtemps, le voile tentaculaire du réseau de fer qui s’étend jusqu'au repaire dessillé du crève bouillon ; le moutonneux fourre la mésange, a l’écoute du renard qui longe la ronde du beffroi ; l'orbite courbe de la stupeur assemble alors les bontés ; les pierres même pissent la vertu de l'appel silencieux qui les réunit en couches élémentaires d’érotisme liant la somme du tout impérieux. La langue chargée de bureaucratie se délie, dénie sa naissance impersonnelle, se récrit en réponse aux vide intra biliaire ; et en empruntant le pont de la croûte urbaine il n'est plus qu'un cocon que creuse la langue pour lier souffle et matière; il se sent plus leger qu'un rêve, sur le point de rendre nouvelle la densité totale qui complète l'immunité.
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