13/10/2016
Miroir magnétique
Vladimir Velickovic
Bientôt le sol élu de la manne se confina de toutes pars, et, au terme du retrait, nous eûmes connaissance d'une franche esplanade très vide, et très unie et, si activement découverte a l'angoisse qu'on pouvait sentir l'esprit de dieu frisonner en nous comme sur une plaque sensible. Nous fîmes quelques pas vers un point d'eau où la racine qui appréhende tout, se scindait en une sorte d'arc pendant du faisceau des fibres de la densité bleue, mais, les nuages couvrir cette langue d'azur , accrurent le gauchissement des loquets, si bien que nous nous perdîmes dans les brumes de la translation. Légère d'assurance, bien qu'activement satanique, la demoiselle était tendue comme un bâti d'aérostat, qui, par son poli intérieur, faisait songer à un couché de montgolfière sur un tronçon d'intestin. En gras, le sol était verni de guenon. Une ingénue charge d'organe, traversait une foret de dents humaines pour s’accolait au comptoir de l’accueil ; les cameras s'obsédaient de tous côtés, a lui percer les flancs par de grande pétales d'ivoire, qui, tel Gravida la voilaient d'un visage resplendissant comme un miroir; une franche variété de normes et de laideurs l'attendait dans les régions infernales ou vivent ceux qui n'ont rien entendu de la foi. Mais les beautés crâniennes adoucirent ses peines, de ses blessures elle fit des lacs de sang bordé d'arbre fontaines derrières lesquelles elle s'allongeait en ces blancheur impuissante, qui psalmodient vainement les volute de couleur, les priant de définir le rêve qui ne cesse de tourbillonner dans la malle Norman des bruns vertige et des marrons voyageurs. Toutes les atmosphères baignaient confusément dans le même stock conceptuel, depuis les plus variqueux gnons de paille jusqu'aux pires créances des fauves divinités. Des dents bleues, soit tendres, soit damnées, incitaient leur hôte a dévorer leur résidents, et dans cette riche cryoscopie d’hôtel fourvoyé, des gosses témoignaient de notre misère, passaient passaient la tête entre les murs déjointés de nos divorces, avec, au ventre, les noyaux du fruit des foules atomisées par maintes routines sanguinolentes.
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