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23/01/2017

A fable!

 

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Incze Mózes

 

La dynamique est morte, laça Imix sur la mer d'huile, a Mix qui farfouillaient les limbes du dessin sous la surface de son cerveau ; quelle est épaisse la couche de verni! épaisse comme une foret l’hiver qui étouffe tout éclair de clarté ! Il s'en saisit, soulève l’épiderme par les branches et le sol se déchire en morceaux spongieux de roche et de lisière ; la pièce gluante lui colle aux mains, ils les secouent et les écureuils s’échappent par les filaments qui se balancent et dessinent la théorie, le schème a peine perceptible d'une Jérusalem avide  de réconciliation; la justification flambe dans la nef avant l'acte précurseur ; la toile pleine de galets vert amazone, vagit comme un trou noir absorbant au seuil de la vérité toute trace d'illusion et d’errements entachant le plus précieux; une exosphère sans porte ni fenêtre s'enroule autour de sa jambe comme un anneau d'or qu'il voit rouler sur la voie extatique, tout au fond du carton; quelque chose s'enroule a l’écho, un doute parcours le fil de la pensée comme une ouïe percé a même le corps d'un instrument ; étonné il se retourne, et gobe le plomb qui lui fait les bottes de scaphandrier, le teint de soudeurs des grands fond, vivant dans les ténèbres de la passion, a mille mille de toute terre habitée ; sous l'eau, il saute a pieds joints sur la surface sans parvenir a la briser... puis tout a coup, s’arrête … vol et plongeon se confondent ; l'esprit alors se détache du monde ; il cesse de s'occuper des mouvements qu'il y perçoit et il découvre que son intimité déborde et survit a l’arrêt du temps, a la fin du monde quand tous les mouvements sont en suspend ; bien sur, l'intimité de la conscience se dévoile dans la poussière ; dans les ruines … mais c'est sans importance puisque l'amour ne les voit pas tant il est transparent auprès de son terme ; l’arrêt du temps est le terme de la déconstruction morphosyntaxique des amarres qui en rompant, rendent a l'esprit ses eaux, l'impression lustrale de lui-même, l'impression maritime que le passage de soi en soi court comme un ruisseau secret sous le sylvestre spirituel ; le faune sensible, se coince les doigts dans les impressions décalées du doute qui cherche la plus intransigeante lumière de vérité éclairant le sarcophage d'une matière non physique; la douleur le réveille de la mort enchaînée ; il se cogne la tête au plafond bas de la crypte ; se lève de sa tombe et ne cherche aucun couteau dans sa poche pour couper les longues radicelles qui descendent de sa motte de terre ; il ne cherche pas non plus a trancher les puits artésiens qui lui traverse les veines vendu a la mort, avec son âme et toutes ses forces ;mais il est certain que c'est dans ces bois qu'il vient d'arracher qu'il trouvera ce lien rompu a nouveau fleuri.

 

 

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