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05/03/2017

Course a l'insignifiance... Macron en tête, par Will Jexpir

 

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Frédéric Deprun

 

La gloire est la lumière de l'histoire, et elle a des ailes d'une toute autre intensité ; une clarté que seule la passion voit luire sur les ors gris hors normes, du géant doux, du grand jaloux sorcier de la panse qui a la fin couvre de métaphysiques attributs la vague illusoire du rouleaux venu au dernier verre de l'imagination, s’écraser sur le dos chargé d’écumes de l'inoculable justicier des phénomènes futur; les sabots de la monture enfoncée dans ce verbe qui reflue avec les mouvements géopolitiques inconstants de sa décomposition financiarisée; au caviar faisandé ça houle dans un bocal de forum ; on voudrait occulter ce qui dérange, mais que dire des nuages qui s’arrêtent aux frontières de ceux qu'on a amputés de leur imagination, et on voudrait cacher que la situation est sérieuse, puisque le nuage toxique a l'exacte structure de la croyance évaporée, de la formule rendue illisible du remède aux maux de l'architecture de la putréfaction; comme on cache déjà les cadavres sous l'odeur de soufre de cette forge noématique ou l'on brase l'aile des âmes a la pire maladie que puisse contracter l'imagination, la maladie de la peur ou monade ne se voit jamais changé en grenade suspendue a la branche! une source de profit éternel ruisselle, en économie virtuelle, de la goutte du commerce sur le reste des populations ; la politique des mouvements moléculaires de cet état gazeux de la foi en décomposition, agit comme un pole magnétique flottant en suspension au-dessus de toutes les autres conviction ; aucune certitude n'a résisté dans les régions de l'esprit ou son règne est incontesté, plus rien n'est sur au far west de la dépression; a la fin de la métaphysique, la subjectivité dépossédée d'elle-même par l'organe mental extériorisé, se rafraîchit a l’étang des studio dont l’extérieur nuit contrôle tous les rêves et les ficelle par des cordes fractales ; au matin, la foret se comporte comme un gaz en expansion au bord de la réflexion, et en lisière la lumière tombe dans les lèvres gercées de l’abîme discernant l’éternel légitime ; elle coule mystérieusement, vers d'autres soleils et d'autres cieux ; la terre est son île ou elle jubile et crie qu'elle ne sait rien de plus merveilleux que de parler ! Et que la télé recrée cette sensation première du corps que l'esprit traverse pour se disjoindre sur l’écueil des sirènes de l’intentionnalité spirituelle, sur des intérêts aussi puissant que fondé a économiser l'amour.

 

 

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