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23/09/2015

Maliverne Septentrion, oceanoste (4555-E344)

 

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Roberto Cuoghi

 

Nous ne savons pas de combien de séquences se compose le temps qui vient a nous de sa présence, chargée du feu et des roches éteinte de l'immobilité parfaite de l’écoute flottante dans les espaces vide de l'iris adverse et figée a sa langue de chien de douche filtrant sous le rideau de l'élasticité bicéphale, le chamboule tout du décors schizophrène, qui fit une entrée fracassante dans le magasins dépourvu d'élément important; la scène du silex pliant ses faces sur jadis restitué, serait jouée le sur-lendemain, aux étincelles de nuit, laissant voir a peine la voie de tête monter, a l’intérieur du souffle second, capable de gronder plus sévèrement que le tonnerre, n’épargnant pas son crane du mal de tête assuré sous un déluge de bombes. Il rêvait alors d'écrire la biographie du génie de la vie ; peu de péripétie, hormis quelques faits marquant (la présence de la mort au cœur du foyer comme si elle avait fait partie de la famille, le reniement du père, et les tourments d'un amour rompu qui suffirait par ses scrupules infinis a tailler une œuvre propre au salut dans la plus pure matière de l’indétermination qui fait du monde l’événement insoluble de la langue d'une éternelle pensée de l'Esprit; a moins qu'on le préfère inhabité... ça pourrait être marrant, mais pas seulement... terrible aussi comme un savoir qui ne tient pas compte des conséquences se dément et engendre du hasard un chaos infiniment grand), mais surtout, ce qui aurait intéressé le rêveur, c’était de suivre, avec la plus rigoureuse attention la silhouette du développement génétique de l’œuvre sous son triple aspect ; physique tout d'abord et cette immobilité de Socrate scrutant par delà les cieux l’intérieur de sa tête, le fameux jours d'avant la bataille, ce corps pétrifié du mort vivant, ne sortant pas plus d'athene que de Copenhague, sinon pour s'allonger le long du lysis et regarder courir les tigres lascifs et les panthères rousses, autant que Copenhague en automne ; le piège parfait des milles étincelles qui court-circuite d'une pincée de folie, les trames trop rigides des perspectives idéales ; elle apparaît au détour d'une méditation, et ce sont toutes les pistes qui se brouillent, la parole qui kénose, l'apparence protéiforme pseudonymise une œuvre ; voilà le triplan de torture qui donne a la conscience tout le temps d’être savamment éprouver par la douleur, de voir le corps se défaire d'une certitude incarnée, qui s'enfonce dans la mort, et c'est le cri silencieux des publications de l'Instant, en pleine rue, a la sortie des églises juste après la grande polémique qui avait fait de Kierkegaard le bouffon de tout Copenhague, et face a la moquerie la plus blessante, face au rire a peine dissimulé, peu avant sa mort, un onze novembre, comme un ultime échos de l'accord de ce monstre de religiosité avec dieu, dissimulé en tout ce qu'il faisait, ces feuillets, distribués au chiffre des reflets, qui l'un dans l'autre, doivent tomber d'Accord. On a tourné des films sur Nietzsche, on a joué Platon et Sartre, on a joué la vie de Kant, de Descartes et de Galilée, mais a ton déjà jouer la répétition ?... les deschiens en héritiers de l'absurde ont mis le théâtre sous tension, en boucle, mais on n'a jamais réaliser de film sur ce Mozart de la chrétienté. Étrange lacune que je ne m'explique pas. Il n'y a qu'a jeter un œil a sa vie pour y déceler aussitôt l'aura de la destinée rayonnante de chaque morceaux. La multiplication des hosties de Dali, les jours de neige préfigure la perception quantique de l'espace temps, la possibilité partout et nulle part d'un événement. Écrire la vie d'un homme c'est révéler l'ontologie secrète de la cette matière de l'esprit, qui est a la base du monde, un morceau de cire humaine qui a bientôt fait de boucher l'esprit oiseau qui s'effondre aussitôt sur de froides prairies.

 

La nuit Baliverne se barricade derriere son rideau de video, qui par ailleurs éclairer la forme transcendante de la Financial Tower identifié comme source des lumières émisses; qui concretement dévidait son échos dans les bandes soupe des plasmas qui gémissaient des soupirs de rétroprojecteurs ; de boucles a bouche a n'en plus finir sur le tronc séquencé du marché de l'occasion ; le rivetage du générateur sauta a l'aube du troisième jours, sous le martellement renouvelé, des subreptices rencontre avec l'impossible amour; les fils du web  currency exchange vomis des phonèmes putréfiés. Ils avançaient la part exact chair sacrifié a l'avenir; une livre de chair ; de l'ail en colliers, un joug, le regard fluidifié de la pierre sur la scène œdipienne des représentations d'autels ; un scalpel a manche sculpté d'acanthes est posé sur le marche pieds en pierre et l'abreuvoir, ou l'eau né a nouveau.

 

 

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Roberto Cuoghi

 

 

21/09/2015

Pseudo-cratie : la porte du geste

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James Naughton

 

Au bureau des lettres de changes il troquèrent parole contre parole ; une enfilade de chandeliers entre ciel et terre, bornait les frontières de la glaise nouvelle formé de l'unité des deux ; l'alcool brûlant l'argot forait ses cratères, et les bassines de décoctions enfoncer leurs empreintes dans la lave rouge des mots qui marquent la pupille restreinte du raisonnement immanent ou la pensée, ce furoncle noue la réalité a l'espoir ; libre enfin libre, en plein danger, en plein risque, en pleine mer des tourments et des tempêtes de l’indétermination, qui est ce que tout homme fuit, et dont on se protège inutilement ; loin de l'argot que la plupart éreinte, loin des progres de la dechirures, sur les boursouflures des disques stellaires, a l'ombre de la musique céleste, ils ecoutaient souffler la cavité des notes de crane a flanc de falaise sur la portion immobile du fleuve des jours, ou un îlots a peine sorti du laminoir restituait rubis sur ongle, les charmes amers et quittés, des fleurs du mal et des fanes puisées dans les régions du temps; extirper au lointain décharnement, l'enchantement de ce sable, mystique, avec lequel joue les enfants peuplant plus profondément le néant d'une sorte de mains, pas entièrement faite d'ombre visible, mais aussi vivante intérieurement, de rapports fuyant, de distances plus ou moins inconscientes qui  suivent et précédent, la peur du premier éclat détachant, l’éternel présent leur apparu, dans ces ruines mélangeant tous les temps, ou ils faisaient leurs ablutions aux eaux fraîches de l’idéal ; d'obscures qualités les avaient épié tout le long de leur périple ; et leur présence se manifesta plus distinctement quand il traversèrent la région du Noûs, un plateau désertique hérissé d'une immense vague de pierre ; pas une nuit moins douce qu'une autre ; pas un soleil ne manque a leur yeux ; aucune catapulte ne protégeait leur camps ; la maille de leur foi leur tenait lieu de cote, et il dormaient comme des colombes aux milieux des serpents ; en eux l’alchimie se poursuivait en rêve ; et le rêve reprenait au matin la tension du vol libre ; les sentiments travaillaient a la forge aux concert des passions.

 

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istan sandorfi

20/09/2015

Biolow-cost

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Laura Krifka

 

A bêtir la mixion du sange exhueé, gare a tes ficelles mon ami, aujourd’hui nous allons tricoter, a l'envers de la maille, une rouge potion de stalagmitique fertile en croc en jambe, et nous tomberons dans le filet pour ressentir la sensation d’être perdu nécessaire a l'intelligence du secret qui frappe au porte du cœur de l'europe ; tribulant par océan loin des rivières de sang qui ont imprégné nos yeux d'horreur, les premiers champs, formé de droit sillons respirant l'intelligence nous rassure ; et les cascades qui nous croisons en traversant les alpes, ont un tout autre chant ; elle nous abreuve d'une terre qui est l’accueil d'un corps et d'une âme martyrisée ; le sol, plus solide que la pierre de l'intelligence de dieu est fertile en chants sensés ; le troisième jour que nous nous rapprochions du foyer devanbas éprouva une subite douleur dans la jambe gauche qui poursuivit le jour suivant par l'effritement de son passé a travers lequel il voyageait depuis sa résolution de tout quitter ; risque de l'absolue nouveauté pour l'errant qu'il était devenu et qui suivait la route a mesure qu'elle s'effondrait comme autant de lambeau qui se ravaudaient si prés de ses pas, que l'air contraint et effacé du pays décharné, les dévisageait, jusqu'au frontière du rêve, ou le saut qualitatif a travers l'isolement barbelés était stoppé; et la peur de crever dans le cauchemar vivant reviennait avec toute la force qu'un deuil peut engendrer en terme de chant, de roucoulement lamentable, estomaqué de l’émotion jetée dans un bain de paroles confuses; a travers les clôtures électriques des lamentations, les perspectives brisées soufflait comme des fjords de lacrymogènes geysers, qui rendaient plus libre encore l'impression que l'on pouvait se faire de l'auteur et de sa création ; l'intelligence qui vivait la, nous parue parfaite; devanbas se jeta dans le train par la lucarne étroite qui s'ouvre au-dessus de la fenêtre, en se faisant hisser, sur les épaules de fouine qu'ils agrippa au moment ou le train démarrait ; fouine fut littéralement arraché de ses bottes en caoutchouc et se retrouva en chaussette serré comme une sardine dans un compartiment bondé.

 

Nous avons échoué a Livet-sur-sainte, contre l'enceinte du monde civilisé ou se dressait la limite des communications existentiels, les limites du pouvoir ontologique, ici pas de bouddha aux yeux clos et aux oreilles fermées, mais un asile surgit du profond refoulé de la création, l'homme et sa souffrance dans leurs rôles présupposés être les leurs dans l'esprit du poète que tout ornait, festonnait d'admirable splendeur; fouine et devanbas avaient chacun a leur manière traverser le mur de leur propre code de représentations, et atteint par un vide quantique, quelque espace vital, vu a travers la première forme de leur vie qui s’était effondrée sous les bombes, et qui avait pourtant donné sa première forme a leur rêve, un autre monde, ou l’immédiateté parlait autrement, de la même chose, a nouveau devenait possible et ce nouveau monde qui s'offrait a eux, en vertu de son impossibilité même par temps de guerre, brillait comme juge un mort, de la clarté d'une renaissance, étirait ses vagues de sensibilité et d'attention les uns aux autres, jusque sous les traits des épis si bien rangé des champs de blé, léchait leur pieds comme un océan de lumière ou des rives les plus éloigné du néant, ils avaient aperçu l'espoir d'une renaissance qui les guidait vers la cité de dieu par les jardins de l'histoire, en terre chrétienne qui plus est, ou soit disant telle.... qu'adviendrait t-il si l'espoir en la charité chrétienne était déçue ? … jusqu'à quand multiplierons nous les insultes a la beauté, a la bonté de l'intelligence de l'accord parfait entre nous.... le soupçon de seconde guerre du hamburger qui planait sur les échos des média-sphères a l’affût de la sensation nouvelle, multipliait les occasions d'intriguer et de nouer des rapports valorisant qui étendait l'ego au-delà de ses frontières solipsiennes, se prenait pour dieu comme un comédien qui fomentait moult intrigues donnant poids au monde a l’intérieur de son cercle polaire ; le derme des barbelés arrêta la course de fouine et devanbs a la hauteur d'un terrains vague clôturé ; les vents chargé de sacs plastiques et de chlorure d’ammonium n’étaient pas encore visibles derrière les dards.

 

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euan macleod