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19/09/2015

Scott in Taichung

 

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Veres Szabolcs

 

Au matin du phong googleien, alors que les pousse pousses étaient égarés sous la pluie du Mékong, fouine et devanbas sautaient en parachute, d'un vertige de vingt milles pieds au-dessus de l’océan des brume, en direction de la faillite de leur effort assuré, rejoindre le point de l’aquilon tanné en suivant les rizières du tam-tam qui rossaient le polycéphale orgelet des sensations nocturnes a l'entendement; le nombre d'octets dévolue a la passion continuée, manquait sérieusement de décharge plasmatique pour que les fulgurances du gouffre brise aux écueils la camisole des forces capable d'accomplir un être du rêve, a la réalité, (dont les critères sont légèrement différents de codes sociaux) et que devanbas portait aujourd'hui même, ce pénultième jour, de lundi dernier, en manière de veste pleine peau prise sur le vif de revivre la naissance corporelle de la pensée dans son cours de philosophie assez peu prisé des étudiants du coin qui lui préféraient, marguerite la chèvre au long fume cigare embouché a son trou, qu'elle aspirait imperturbablement pour en refouler, la fumée qui l'entourait de ses poumons; le bâtiment ressemblait a une bouteille vide jeté en mer, une succursale de radiothérapie au mur jaune pisseux, ou devanbas déambulait couvert de la peinture fraîche des caméléons ; la brosse dans une mains, les lavis dans l'autre, il cherchait ou s’asseoir, quelque chose d'inébranlable, l'Aliquid Inconcussum sur quoi pût être sis l'édifice de la philosophie qui désigne le réseaux des artères ou se rattachent les fibules des sciences, toujours plus particulière dans le générateur de conscience et de la forme de la folie supérieure ou elle se trouve; l’indétermination se trouve ainsi, par son fond même, reliée à tous les autres êtres dit saint Augustin, sans en chercher davantage, sans voir dans cette présence immédiate de la pensée à elle-même un conservateur de muses chimiquement abusées. Fouine en le voyant traînant derrière lui, la longue chaîne de ces interrogations qui remontaient le cours du temps, ne put retenir sa joie ; les chaînes invisibles les maillons de verre qui corolle la diffusion du tunnel dans toutes ses dimensions et ses grandeurs, ils les avait toute exploré complètement, et il en revenait comme un Ulysse couvert de drap qui aboyait au ciel mouvant comme une inflammation des yeux; il baignait dans le jus d'une liberté morte de n'avoir pas de règle, ni de devoir absolue contre lequel elle puisse jouer sa partie, preferant vivre a moitié la plénitude de l'être, n'entendre qu'une partie du règlement interieur dont elle aurait put tenter, dans un sursaut de foi, accomplir la promesse qui la hantait. Vous me dirais cher devanbas, que, sous cette immense statue démesuré de la Sainte d'avila, ou nous prennons notre café sur un surplomb de son bras, tête et cul se mangent, aux antipodes de nos régions, mais qu'on s'en branle pas, qu'on n’éjacule pas notre l’acheté a la face de ceux que notre manque de foi enferment dans les geôles de nos conditions de vies lamentablement désespérées, et vous aurez raison, mon ami de me le reprocher, mais précisément parce que ça aurait put être jouissif et que ça ne l'est pas immédiatement, cela déchire le dernier voile du désespoir sur le sanctuaire éclatant qu'aucun instant du temps ne peut plus détacher de sa présence réelle.... le monde, l'univers ne m'est pas entièrement devenu transparent, et ce regret est la fine pointe du pieux qui blesse ma conscience d'un trait sur lequel se referme la Bouche de l’Être.

 

 

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 Bato Dugarzhapov

17/09/2015

New organon

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doug argue

Entre deux écoutes, nos deux savants s'exfiltraient de leurs labos et couraient les bois en tous sens ; … essoufflé en haut d'une rude pente, accroché aux racines de quelques chêne millénaires, en se penchant sur le vide, montrant du bout de l'armure, la ville, devanbas lançait a Fouine …. « toute cette machinerie est au service du plaisir.... et déjà devrait nous mettre en garde le panneau d'interdiction de définition qui s'affiche en beauté sur les murs du non-savoir esthétique et de l'ignorance consciente qui est l'image nocturne de la lumière, quoiuq'elle nous paraissent immediatement et seule réelle.... inversons l'inconscience, retablissons la vérité sur le monde et sur l'homme, commençons par la beauté de l'inconscience qui se laisse prendre aux filet et permet de trouver un point commun entre le pathos et l'intellect, ou se tisse le passé a l'avenir du present qui n'est rien.... toute cette énorme organisation qui se déploie sur différents plans, la réalité et dont nous n'arrivons qu'a grand peine a délimiter chaque zones comme étant l'espace relevant d'une science particulière, sont toutes reliées au contentement, s’alignent, comme les constellations pour former le signe ou l'esprit se délivre de toute idée de satisfaction physique, en se forgeant une autre idée de son corps et de ses ligament qui retiennent entre eux, une compréhension justifiée de l'univers, une raison d'etre ou se déploie l'information consciente.... d'ici on voit a peine le panthéon... ces pierres se confondent avec la ruine du bâtiment des beau-art et des sciences dur comme l'est le caractère tragique de l'impulsion du vivant…. de quand date le divorce, cher historien ? … il était inscrit au commencement, si j'en avait été privé je serais surement devenu un migrant, un juif errant, séparé de sa terre avant le temps, dans le verbe qui le lie et le délit, recherchant une portion de terre ou l'arbre du plaisir comme fin ultime de la forme achevant sa matière, s'incorporant a elle-même se parachève; j'aurais traversé les mers pour ça comme platon, freud et bien d'autres; puisque tout s'enfante dans la beauté, et que l’âme meurt de n’être qu'en rapport avec l'horreur et les privations; le plaisir est la condition nécessaire de la pensée, puisqu'il est l’achèvement de la compréhension... ha mais oui ça y est j'y suis, s’écria fouine!... le plaisir sans fin n’est que l’écorce esthétique d'une pleine compréhension ; que la pensée menait au sources du délice ou l'intelligence de dieu est la forme que matérialise le refus de comprendre et que défige l'intelligence du mystère ; la forme matérielle du tunnel noétique par ou circule l'information, est habité par une pensée informe qui est chair d'une compréhension a apriorique de la satisfaction éternelle, la joie de dieu qu'il nous donne en en faisant le secret de sa création.... plus bas dans la vallée, on aperçoit les indiens qui trottent en file les rites de la technique poétique autour du totem ; la réorganisation du Vivre (pas seulement du vivre ensemble ou avec soi, mais encore, la reformulation du mouvement de la vie « en avant ») suivait le rythme des effondrements ou l'ancienne couleur de peau disparaissait sous les couches de peinture et de signes nouveaux qui précédée déjà le passé parce qu'il étaient gravé dans la pierre, sur du dur. Apprendre cet art était une chose difficile, mais pas impossible, a moins de commencer autrement que par l’étude de la philosophie comme cela se faisait depuis très longtemps; commencer par la dimension énergétique du corps c’était réduire d'emblée le réel a une quantité qui au final me laissait trop de chose dans les mains pour constituer le rien d'une réelle conversion de l'intelligence (le seul mouvement dont soit capable la pensée, puisque la logique n'appartient pas a cette catégorie), une périagogé, qui était incompréhensible par les voies de la philosophie de bazar du new age, qui jamais ne rendrait au hommes l'impression de leur réelle dimension dont l'univers était l'occasion de se ressouvenir a jamais, changé. Seul celui qui commence par le rien peut espérer ressentir la plénitude renverser qui fait de la pensé en l'homme, de la conscience un œil infiniment plus puissant que ses yeux même montés de verre.

 

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Nicola Samori

16/09/2015

Le fruit de la passion

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Sir Kyffin William

 

 

 

Laquelle? Le Foyer? l'amour, la récompense et sa musique intérieure qui police les murs reconnaissant qui y mènent et la garde des mauvais pas dans la nouveauté, la principauté du neuf, librant le corps de son fantasme brisé a la science des bois et des champs theoriques, couvert de sa part d'ombre qui soulève le couvercle d’où elles émanent en indivis pourvoie, les émotions, comme une foule nombreuses dévorant la sève qui avec elles doit tout partager de ce qu'elle recoit; la forme reçue de la description grecque de l'Indivis récupéré de sa chute dans un lit d’hôpital, fut suivit jusqu'au transport sous la dalle qu'on venait tout juste de lui repeindre au goudron; le transport jusqu'au brouillard tissé par Pénélope, qui garde de toute sa fragilité sensible derriere le paradoxe la cage au secret, et représente eros fils d’expédient qui fait feu de tout bois, affiché sur un mur en justaucorps rouge et bleu avec le tampon:wanted). Il porte les poubelles exactement comme son père, a la source du savoir, a cette racine de l'eau courant dans un dédale de souches, que simulait devanbas dans son labos d'extra-terrestre, pour extraire une photo d'un cœur d’artichaut dont il ne savait même pas s'il assisterait au montage, du crépitement simultané mais simulé d'un ruisseau intelligent que devanbas venait de braquer avec son stylo et dont il usait comme d'un micro de perchiste ramant a travers la langue simultanée du roman sous la forme plastique de d'une collection d’éclat que la chair régurgitait régulièrement; on l'apercevait, le soir, quand, sous le revers de la main posé en visière sur les yeux, la cathédrale contradictoire du lien détissant le crépuscule, ouvrait la fenêtre de la passion sur le fruit de demain la nature paysagere de l'enracinement son caractère paradoxalement "éblouit" par la terre meuble de la substance qu'efface aujourd'hui, le paysage réelle et plus que fantasmé des sentiments contraire ahurie qui gagne les âmes, les crane reposant sous l'herbe des collines, remplit de terre a présent, mordant la poussière prise de vertige et de mort; sous les volutes sortant du taureau de phalaris, clameurs diffusées a chaque tranches horaires par haut-parleur saturant chaque seconde, sur toutes les ondes couvrant l’hémisphère large du MacDonald déphasement.

 

Le scan profond d'un reggae mit en ordre l’œuvre, le don de la réception, le fruit de la création, l’être, le coquillage et la mer qu'on entend dedans, avant que les mensonges deviennent vérité... fais gaffe, la nuit imaginaire déroute toute les lignes de flottaison et naufrage l'aube du phénoménologue cueilleur de fruit... I am the one who will dance on the floor in the round mon salon vautré dans les vapeur soporifique d'un sofa miteux imbibé de sperme et d’alcool! skattalite, chips et bière a l'estomac, en roulant et en fumant des beuzes au centre de la masse humaine la plus forte en concentration d'individus déjantés, un asile qui réunis au même instant par les samples la conjuration de l’émiettement.... coldwind rastaquouère et Layard la chica sont de mes amis, ils sont prof au saloon ou je bois, et je me souviens d'eux parce que la première question qu'ils m'ont posé quand j'ai pris mes fonctions dans leur taudis était l'inoubliable interrogation, qu’étrenne sur tous les tons et dans toute les langues, les assoiffés gorgés de lamentations, si j'avais pas : kékchos' a vndre ! leur intelligence criait littéralement famine, je les ait nourri.

And mother always told me be careful of who you love
And be careful of what you do 'cause the lie becomes the truth Maintenant on furette du coté du Saint Maclou ; on récupères des trucs jetés dans les containers, on écoute du muse sur des radio-cassettes dans la caravane ; le soir avant de se coucher on laisse lentement planer son regard sur le lac qui flotte au milieu d'une bulle sans circonférence, et on se trouve consolé de toute ses souffrance, comme relié a soi par une main invisible et étrangère.

 

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tierney gearon