Céréalité

alex roulette

      La peau d'agrume informatique de l'avenir réapparaissait chaque nuit que Devanbas passait sur le pont du Volusia Steamhip a scruter l'épopée des sabines a travers le grain polie des bits de verre brisé et saturé des minéraux de son mieux ; il laissait dans son sillage, la confluence chaotique de la mer déchirée des opinions scientifique qui veulent que voir loin soit voir le passé aux morceaux qui flottaient dans la reconstitution du décor ambiant comme une traine constellant de nuit le fruit confit des coquilles ages. La proue fend lentement une lame du fleuve dont craque le vers qui dévore le cœur ; le Volusia Steamhip passe sous une arche d'or brisée reliant deux continents d’éther sous un ciel d'ivoire et de poussière qui se rejoignent devant lui, quand au point du jour, il entrevoit l'isotrope des quais de Hidlux dégradant jusqu'à l'effroi toute sa confiance en lui ; autant dire que la première impression que Hidlux produisit sur Devanbas, fut de lui ôter toute force pour rechercher dans ce mont du crane, l'insouciance qu'il avait perdu sur l'un et l'autre des deux hémisphériques continents ; il fut littéralement harponné par ce feston de brume qui montait si eaux dans la piscine qu'il se cru coupable d'avoir lui-même écorné le créateur ; une étrange douleur, dissimulé dans son chapeau, s'empara alors de ses cotes et recomposa instantanément sa réflexion intérieure ainsi que le sens qu'elle s'accordait ; et c'est alors, alors seulement, en cet instant inoubliable saturé de joie et de bonté qu'il vit ce que voir voulait dire, et qu'il comprit que tant qu'il ne lui avait pas semblé voir pour la première fois, c'est parce qu'il ne voulait pas lire en lui-même la marque de l’éternité qu'il voyait pourtant pour la première fois, mais souvent prit dans les pensées ayant d'autres intérêts, flottant sur d'autres mots, que la pestilence sacrificielle et obscène de la ville semblait avoir soufflé, glacé d'horreur et brisé comme un crime souffle tout candeur et ouvrent les yeux de l'unique fois sur le lien éternel, le témoignage imputrescible qui s’étend de la première a la dernière pensées qui traverse le cœur comme un choc électrique venant de l’intérieur de lui-même qui saisissait devanbas ; il vit cet étrange île surgir comme une pièce de viande de la nuit faisandée de l'insondable boue de l'avenir ; l’indétermination la plus abstraite se donnait a voir de nuit sous un ciel étoilant tous les éléments dispersés de la transparente lucidité empalé sur des pieux et au milieu de crane; mais a l'aube Hidlux changeait et se révélé au mi temps, n’être qu'un amoncellement de gloires de pacotilles une verroterie renflée qui tentait de dissimuler sous ses apparences celle du vaincu ayant accumulé a la hâte et de la manière la moins avouables tout ce qui est lisse et réfléchissant; la dissimulation de grain autant que l’écriture y était strictement interdite ; c’était le boisseau sous lequel peut-être était encore vivante la lumière.

Bobine avança jusqu’à l’éblouissement en croûte carboné de l'amarre recyclée du diamant ; ce fut les dernières paroles du navire sombre de l'histoire avant que lui et les hommes d’équipages n’échouassent dans les cycles errants de la terre naufragée comme une troupe de comédiens jouant devant des fous ; les pièces de polluants annoncèrent l'aube ; l’hydrogène se figea dans les fougère diffuses des premiers lueurs sur la gréves ; ils sortirent des eaux de l'incarnation en retournant leur veste intérieure, en accordant l'action a la plus grande passion, toutes les pierres de la ville flottaient encore incertaines dans la brume, et du fond de leur effroi, ils trouvèrent la force d'avancer et de passer a travers leur menaçante disposition en cul de sac; mais plus ils avançait dans la ville et plus les tours de gardes et les chemins de rondes couvraient leur gestes d'intention malignes ayant une toute autre orientation ; ceux qui la suivirent en oublièrent leur naturel et jouèrent aux Sisyphe enrouleur de parole vendue. Mais les êtres les plus mystiques d'entre eux résistèrent suffisamment a la tentation des siècles qui fut de tout temps d’enrôler aux entreprises babélienne et hors du temps, les intentions et les cœurs qui avaient troqué le regard des vénérables père du désert, pour de scientifiques miroirs ou se reflétaient plus les manières urbaines des anachorètes endandymanché que les mœurs barbares des esprits de ténèbres vivant au cœur des déboussolés.

isca greenfield

Par l'e-coûte!

Joseba Eskubi

      La ritournelle de mauvais sang, neurOrigine la fente du diapason qui se fait toute manip du trou moteur de l'ex-action tendue a l'abandon ; la fielleuse de ciel, descend du Perturbateur endocrinien comme une comète de son segment d’œil par le collier des effets biologique de la pensée et de la réflexion, qui savent, depuis toujours, qu'elles ont pour action uniquement de troubler la chair fontaine livré a eux non pas a titre d’expérimentation mais d'ablution saisie dans la pousse liquide des troncs de fouille univaricelle, tous malades a branler nuit et jour au shaker des diarrhées leur foutu étincellement!! l'isotope poétique, comme onto-poietique, comme édification du sujet par la parole, et ontogenèse ipseique est résolument quantique car elle est la forme de l'ontologie secrète que présuppose le rapport indirect entre parlant du quotient éternel; cela la dialectique le savait depuis longtemps, depuis que l'idée de métaphysique a traversé le crane d'un homme; mais désormais le poétique est devenu l’immédiat et l’étincelle meurt sans mensonge; on avait demandé l'ouvrage a chier!!! pour bien se faire chier, bien en baver dans l'existence... on a reçu une totalité dialectique … car en soi elle choie, s'enfonce dans son hurlement, s'étire, coulante comme un pesticide épais sur le dos des feuilles couleur limace de hameçon bifide... en v'la du miscible a s'en faire péter la sous ventrière, de l'espace temps capable de déplacer la virgule de zéro en degrés de point du vue dramatique sur le changement d'aulne de l'oeil et de royaume dans l'ordre des mesure ré-insufflant a la chair son dress code cellulaire de mémoire archaïque commune rappelant les anciennes déifications de la nécrose en digression, d'un sein a l'autre en procession ayant nourri et affamée la pensée capable mais par elle-même vaincu, cédant a sa faiblesse de ne rien retenir, ne rien laisser se former en conscience de sa vie synthétisant une suture parmi une infinité d'autres, de l’idéal et du réel, et la moulure d'antique existence ne masque plus les gouffres intérieurs de l'apeiron ; parce que surtout, surtout, il ne faudrait pas se voir tel qu'on est, mais effacé sous l’état anonyme du standard, du hipster a gueule de mouche juvénile qui se colle en ventouse contre le ventre divin de la parois, et se croit Alcibiade docteur stéthoscopique sublimant la hideur hippique de mister en jeckyll en matière volubile qui reçoit de ses ouailles a plumes, de volatils impression qu'exister serait passer loin des forges de l’être, a l'ombre de ses feux, et que les signifiants éteint et vide de toute sensation complète du tout dialectique suffiront pour avancer dans la lumière de ses prochaine porcelaine et possibilité de donner corps aux formes d'un dialogue qui a toujours exister a travers l'abandon, la possibilité de laisser l'esprit exprimer sa forme avant de m'endormir entre tes seins chien loupé.

 

Le doigt d'espace temps entre la lampe de chevet et la goutte de lumière qu'elle dépose sur l’étain du chandelier, reste en suspend comme un doigt de menace défiant les loi liquéfiées du vide ultime de l'abandon. Aimer, au sein du vide existant est tout ce que peut la moutarde, et ce que l'on sait le plus sûrement ne pas pouvoir comprendre, c'est ce trajet en pot de la lumière présente dans la matière contredite et qui bien sur ne se confond pas avec ce qu'on en pense et qui brille loin d'elle, comme un dépôt, une contradiction d'antipode brassant le même univers, mais cohabitant par l’indifférence crevée de la nébuleuse de l’œil parmi les lymphes débattues de la contre addiction.

 

Joseba Eskubi

Ab G

 

Joseba Eskubi

 

      Au matin Amanda se rendit compte que rien de l'archéologie aérienne de son envol, n'avait réellement laissé de traces en elle, malgré, ces quarante dernières années de dactylo dans un grand quotidien passé a noter scrupuleusement, toutes les intentions avouables de son patron; a croire qu'aucune n'avais su la transcender, malgré l’admiration et l’enthousiasme délirant qu'elle lui avait attribué au début ; sur sa chaise a roulette hyper sophistiqué, elle sentait déjà la saveur rance du souvenir éternel qu'elle se préparait, et elle en fut effrayée; elle se rendit compte qu'il valait mieux savoir, tout compte fait, si et pourquoi elle errait dans le brouillard des jours sans fin, sans rencontrer âme qui vive malgré la foule quotidienne d’êtres qu'elle côtoyait ; aucune dépression aucune épaisseur non plus n'avait entamé la surface parfaitement lisse de sa vie, sur laquelle elle glissait de plus en plus vite sans que rien ne l’arrête, ne la retienne dans sa chute quotidienne, hormis peut-être le vertige lui-même s'il avait sous le doigts d'un dieu, déformé le hall d’accueil de l'agence de presse, et laisser son emprunte sur le visage de la parfaite compassion, comme pouvait le faire par sa seule présence, celui qu'elle attendait de voir, tous les jeudi a la même heure, et qui venait discuter de certains projets fous avec tant de raison qu'elle se sentait émue et proche, semblable a tant de conviction secrète mais active.

Les tours magiciens de ses propres simulacres d’émotions claquaient encore entre les portes de son divorce qui avait achevé de lui pourrir toutes ces représentations, et l'avait laissé plus démunie qu'un fantoche mis a jour, que dégoûté par le rendue translucide des simili humain, a forme humanoïde, qu'elle croyait désormais rencontrer partout dans tous les rôles de la comédie humaine ; le goût de rance qu'elle avait dans la gorge s'exhalait de la mort du concept dont le cadavre fumait encore dans le lisier de la bétaillère des analogies de vies télévisées de la société du Clone Générique, spécialisé dans la fabrication des teasers publicitaire de flux.

 

jonathan wateridge