30/08/2015
Echymyosotis
Jovan-Karlo-Villalba
Oh ! mais ce n’est pas là qu’est l’horizon sans bornes ! Le gouffre immense, oh ! non, un plus large et plus profond abîme s’ouvrit devant moi. Ce gouffre-là n’a point de tempête ; s’il y avait une tempête, il serait plein… et il est vide ! Flaubert
La physique, elle, distingue le temps du devenir, le cours du temps de la flèche du temps : le cours du temps désigne le fait que "le temps passe", qu'en passant il produit de la durée et seulement de la durée, bref qu'il engendre la simple succession des événements; la flèche du temps renvoie quant à elle à la possibilité qu'ont les choses de "devenir" E.Klein
L'horizon mayonnaise des phrases faciles, le milieu acéphale ou il vivait même en pleine université, aurait pu avoir raison de devanbas s'il n'avait eu la saine et ferme conviction que la vérité même savonneuse sont nos roues pleines d’étoiles, a travers les grandeurs de la souffrance apparemment gratuite que dieu avait infligé aux hommes en les fourrant de son insatiable désir, s'il n'avait trouvé en Fouine le collaborateur parfait de sa mystique créative de ses événements supplémentaires, qui ampute ou déforme les vérités trop massive a absorber ; le bain de lumière c’était pour eux la marre aux canards ou ils redevenait sensible aux emprunte imparfaite de tout ce qui semblait singer une vie invisible, un feu aussi doux que la tendresse; il fuyaient résolument la peste des moments parfaits, pour eux seule la recherche était vraie ; physicien, leur contemplation étaient mobile, et il y avait belle lurette déjà qu'ils avaient quitté le dernier port, qu'ils ne cherchaient plus a décrire un monde, mais a mettre en péril les hypothèse les mieux assurées pour ressentir a travers leur effondrement, les largesse de l'intuition infantile presque, qui rayonne d'une chair qui invente sa propre présence et trouve dans le don, un concept suffisamment paradoxal pour comprendre son jeu; la physique pour eux avait pour but de rendre sensible les progrès spirituel de la foi dans l'effondrement des certitude sensible ; mais la société qui aurait su former et gérer ce concert de structure entre la physique et l'ossature réelle d'une langue ne les avait pas vraiment convaincu de ses capacités a ne pas trouver le temps long, alors que devanbas ne cesser de rappeler a son confrère les mérites et les avantage du travers, sa richesse si particulière qu'elle ne risquait jamais ni de manquait ni de se perdre, puisqu'il suffisait de rompre n'importe qu'elle fragment de temps pour en libérer de la matière ; le jeu favoris consistait a pousser dans le ravin tout certitude sensible et de son fracas, prendre note, enregistrer la confusion d'un concert dont il fallait restituer les voies a des niveaux de gamme différents, pendant que surexcité tout l’appareille psychique tremblait; la physique pour eux était un jeu de saute mouton, ou plutôt une régénération de la perception par le dérèglement permanent des organes maculant de leur éclatement, la porte du seuil visible ; un astéroïde chevelu longea la meurtrière vitrée du labo, et le pruneau disparu subitement derrière le mur au lieu de s'y écraser ; l'un cachait l'autre de sa sphère au risque de l'acatalepsie du nyctophile ou de la paralysie du scanner.
Tom wheeler renvoie dos a dos figuration et abstraction, il les inclus l'une par l'autre dans ses toile qui renvoient la ou la vision précède la lecture. C'est très intéressant pour l’étude des matières noire et du reflets théorique que la thermodynamique laisse, comme une emprunte digitale, sur les équations de la mécanique quantique, les transformations de Lorentz atteste d'une traduction, imparfaite d'une langue ancienne dans une langue qui dit que les anciennes choses sont nouvelles sans espoir de les restituer vraiment puisqu’elle viennent comme la nouvelle terre et le nouveau temps de l’éternité a travers leur mixion dialectique qui achève par la mort, de restituer leur complète donation a un niveau ou elle est devenue conceptuelle et sans matière, prête pour l’éternité... langue nouvelle qui tant qu'a faire, pourrait, choisit parmi d'autres possibilités, être celle de l'espoir ; c'est une tache digne d'un Luther et d'un Dante, d'un Novalis peut-être, qui attend les physiciens, de comprendre que la rupture sémantique qui les trouble et les divise, est une Répétition de leur concept entendu tout autrement des lors qu'ils changent de catégorie, ce qu'ils font en se relativisant eux-même, et ainsi trouble l'absolu certitude ou ils se projettent de vide en vide; pour penser le désir, sa répétition dans des grandeurs différentes, il faudrait pouvoir introduire le mouvement en logique, et si il s’avère qu'on ne le puisse, il faut s'attendre a une folie et y boire comme a la source de la raison, et dire que notre monde illisible est en proie a de violente secousse de l'expression logique d'une forme qui est le devenir ; le devenir esprit d'un homme s'accomplit un peu a la manière imaginée des rites initiatiques des anciennes civilisations, revenait a contempler l'ensemble dernier de l'Univers a travers un jeu de miroir théorique qu'ils avaient sous leurs yeux qui miroitaient balayé d'un laser, sondant un geyser d'onde comprimé, par une bobine qui ressemblait au signe que portait les étudiants sur leurs t-shirts, et dont se rapprocha dangereusement le vaisseau fantôme pendant qu'il se racontaient entre pirates et revenants, les futurs crimes a perpétrer pour faire un peu chier son monde, les attentats contre la grammaire et la pudeur de l'orthographe qui semblait la concrétion de l'accumulation de toutes le fautes possible pour ne pas suivre la voie commune ou l'on est toujours certain de ne pas trouver de champignons ; ne pas le laisser tourner en rond dans ces certitude toute faites, mais y rétablir le courant charger de rendre audible que nous existons au-dessous d'un abîme qui s’étend au-dessus de nous et en nous, dans l'entre deux du concert ou de l'hostilité éclatante d'un accord profond. Personne ne peut dire quand Fouine et Devanbas décidèrent de changer de référentiel d'inertie ; ce qui est sur c'est qu'ils n'en parlèrent a personne et que le créateur n'eut besoin de faire naître personne pour témoigner de leur disparition, puisqu'ils restèrent inchangés, inchangés malgré le plus grand bouleversement des ondes absorbées capable de perturber le rapport entièrement dialectique entre ces deux langues, de la chose et du sujet; qui répété dans la catégorie du « devenir » devenaient « étant » soi « a venir », « matière » portée infini du temps, soi impensé, surtout celui du présent qui les faisaient mourir de rire aussi bien que s'émouvoir a se fendre l’âme devant les splendeurs de l'instant ou il apparaissait très clairement que la fulgurante masse complète de l'Univers était aussi légère a porter, qu'un porte manteau vide, que fouine enfourchait quand la joie devenait une licence théoriquement fondée. Ce qui les captivait, les enfermaient dans la passion plus puissante que l'interaction forte, ce n’était pas que l'accumulation exponentielle de la masse des reflets théoriques sur les hublots monadique, leurs faisant des signes obscures de toute beauté, non, mais bien, parce penchés sur ce que leur esprit avait conçu comme une destruction de la matière, un segment de lumière brisait leur pensée, les parcourait a l'endroit même le plus sensible de leur éternité reliée par des images incompossibles aurait dit Leibnitz.
Jisan Ahn
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29/08/2015
Nerf olive
Renato Muccillo
Quelques fragments de l’éclat perdu respirait encore dans son petit carnet de croquis et atmosphère, qui ne le quittait jamais ; sur le vif il saisissait le secret des apparences qui font la vie poétique et sacrée ; ses aplats, au rideau de douche notamment, étaient riche de confusion, qui rendaient la cascade sinueuse de la lecture si transparente, qu'une touffe d'absolue semblait pointer son miroir vers l’œil jusqu'à l'aveuglement; la piste de l'incolore miroitait de remblais de terre sur les serre fanées des tuyau de délitement de la ville qui s’étalaient au revers des recherches liées a la chute du météore mental qui avait parcouru entre les blancs dans le signe des temps, toutes les phases obscures du fœtus de charbon luminescent; même les ruisseaux putain ! qui dévalent librement a flancs de montagne, chantent ce drame de la pensée et nous croyons qu'ils n'ont rien a voir avec lui, avec nous, avec la possibilité de se comprendre entièrement, d'être une exception justifiée ! La substance herméneute qui nous relie aux apparences fuit de partout comme un vieux pneu qui ne peut plus rouler ! A moins de regonfler un pneuma, d'injecté dans le non monde de la technique, la syntaxe gélifére qu'affectionnent les poètes et les dieux qui nomment ; et ainsi redonner a l'insensibilité moderne, une épaisseur tellurique qu'elle n'aurait jamais due quitter; l'extinction des feux dans le goulot du cœur, claque comme un fouet trouvant par le tombeau, la lueur, sa page dans le journal ou l'histoire de son grain est démêlé; et ces pelotes de livres, ce Frankenstein de la culture, ce patchwork d’héritage est livré sans vie dans son grain indescriptible ; « échos a réfraction !!! échos a réfraction !!!??? vous m'entendez !! … il semble que la lumière soit la matière de dieu descendu par sa mort créée, jusque dans le téléphone, qu'elle éclaire et terrasse... sa pensée, qui n'a rien d'abstrait comme en nous mais est entièrement concrète et complète est un paysage du moins nous le croyons autant que je crois voir par-delà le hublot de ma cabine, les racines de nébuleux bosquets fendre le surplomb des nuées ou le miracle porte ; je ne puis dire si l’œil mauve que nous survolons a présent, est une vapeur ou un océan ?? ni si le couvercle brumeux sous lequel nous passons recèle un astre aussi jaune que la paille, ou si je dois craindre, le sort des proies de la convoitise qui fait trembler la nappe en fils de terre; on file plus vite que la lumière maintenant, que tout est en place, tout en restant sur place ; seul le moteur semble vouloir disparaître, explosait dans la mémoire vive de son élastique éclat, poursuivre sa combustion, ailleurs, là ou le monde se tait, la ou dois avoir lieu la révélation de l'être supérieur, en moi.
tom wheeler
Il dessinait le sens de la mécaniques par la représentations des pièces du fragment ; immédiatement les plaques massives de l'instant apparurent ; mais la totalité dont elle n’étaient qu'un fragment, était le devenir, car il reliait les fragment, ouvrait la route des synthèses que sont tous les romans, qui par malheur apportent du loin le présent... Clostro le chien débarquent de la coursive et vient japper au pieds de Devanbas : ho oui toi aussi tu la connaît la différence entre les bonne croquettes et la bouffe avariée... mais tu sais rien des terres de sienne, du ciel brûlé des trouées dans l'avenir ou la toupie noétique fomentent des synthèses peu orthodoxe... tu pressens a peine la différence qualitative, et pourtant tu saurais me défendre, mordre qui me violente... serais-tu sensible au scandale? … mais devanbas n'entendis pas la réponse de clostro, un appel radio retentis dans la cabine : un brouillard de col blanc grouillant comme des électrons déformait la matière onirique absolue, voilait sa transparence faite de parfaite clarté.
Jisan Ahn
Oui mais sur une portion très réduite de la réalité... , comme on aurait imprimer être sur temps scellé par les tubes de pigments, hé bien, la boutique a fermé, elle s'est vendu a des crin-crin chinois qui ne gâtent pas non plus la viole ! L'encre doit toujours être saucée comme si son huile avait disparue, et qu'elle devait miraculeusement échouer sur le papier blanc, resplendissant comme la trace des points de suture de la Panique profonde! Belle manufacture en effet pour un tel malentendu sur le marché miroitant des échanges d'informations... l'Interloop lança les pinces mécaniques dans le vide, c'est a dire de l'autre coté de la parois d'acier rivetés, le protocole 55. Acep se déclencha pour arraisonner la mati-Ere du concept esPAce-temps et rapporta une gourde endormi en lieu est place de ma boutique sur Park-A propos de quoi il est catégoriquement important d’être au courant! La liste complète des éléments signifiant la réalité éternelle, la Parole sans chaire, la certitude dénudé de tout appuis et comme éprouvé suspendue a elle-même. Sous son sein gauche devanbra avait, tatoué, les trois fontaines souterraine du sacré cœur qui la garde de toute réponse, maintiennent l’énigme aussi pur que le premier jour du mystère. Tout est digne d'interrogation, mais les mots qui creusent le plus loin les sentiments de chacune d'entre elles n'appartiennent a aucune d'entre elle, ils sont tombé du ciel comme les ambitions les plus nobles, comme le savent ceux de la troupe d'insolent, que je fréquentais alors comme on s'immiscent ou échoue soi-même, au repaire des détrousseurs d’épaves, des naufrageurs haut-de-chaussés qui vivaient du pillage de l'esprit et de sa valeur; ils se rassasiaient de viande morte faisandé par l'oubli du jour de chasse, de sorte que, dans des taverne souterraine qu’empuantissaient de lourds parfums brûlée de pisse froide, ils vivaient chaotiquement dans la confusion des sentiments qu'ils nommaient libération sexuelle! d'eux j'ai appris tout ce que je sais des histoires de seize ans, et j'ai appris autour de leur feu par ces femmes qui dansent le cheval, ce que signifiait l'Histoire pour un adolescent ; l'espoir du truc bizarre a raconter, la capture de l'esprit par les difficultés, comme si on devait y mettre tout son cœur le saisir et le laisser s'envoler, comme si raconter une histoire signifier qu'on était habité d'une âme; l'ostentation des moulures sur les meubles gravés a même les stalactites de la meublée, pouvaient laisser penser que ce peuple cultivait l'art du don, non pour l'unique satisfaction prise de son écrasante apparence, car une histoire a raconter c'est pas seulement l'espoir de vaincre l'infante et d’accéder a une forme supérieur de désir et de conscience du Bien ; mais parce qu'une transformation essentielle de l’éternité, pouvait aussi bien devenir notre pensée si le tableau des pièces atomiques descendait d'un étage dans la confusion qui seule rend possible de croire une telle absurdité !!raconter c'est grandir... mais pour qui manquait d’espérance le chemin resterait effacé inexistant, et l’éthique disparaîtrait avec la sensibilité mêlées aux ruines de l'intelligence.... la colère frémit, la haine immole le brute idolâtrée !! Un vice éternel de représentation pourrait bien a jamais nous affecter de myopie si nous n’étions pas sobre et sur de nos gestes quand nous manipulions la foule des aiguilles encadrées, par les molettes appropriées... en grossissant l’écart de temps entre les fréquences on démodulé le silence en rave d’où pouvaient tout aussi bien que dans les églises, naître a nouveau cet amour débridée de l'intelligence ou la beauté fait le lien.
Renato Muccillo
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28/08/2015
Sous vide
Jérôme Borel
L'armoire de devanbas était en vente a la boutique de couleur ou il achetait ses peintures d'enfants autodidacte et claustrophobe, prostré sur une chaise de la salle d'attente, déposé comme une rogne du malheur, une écaille de sardine de supermarché, la mue invertébré d'une liberté qui existait désireuse de la joie mais totalement obstruée ; sa seule force, celle du moins qu'il connaissait pour avancer dans la vie, consistait a se représenter toujours un plus grand malheur comme si le aliquid quo nihil majus cogitari potest de l'isolement devait vaincre le maximum infortunium, l'étouffer dans le nœud d'une existence de ténèbres ou lui semblait-il, il ne pouvait faire un geste sans étendre le règne injuste de ses plaies du ciel. Inajusté, l'ensemble de son appareil psychique était entièrement dévoué a cette manière de faire, cette façon qu'a le concept d’apparaitre brisé, par le malheur pour ouvrir le temps de sa splendeur ; l'absence de représentation, l'appareil psychique y est très sensible, et la souffrance extrême qu'il ressent du moindre accros dans le miroir le blesse en sa conscience éternelle, il ne pouvait que projeter le pire pour vivre. Ce n'est que bien plus tard qu'il comprendrais que son attrait pour la physique déstructurée avait eut des racines psychologique enfouies dans la mystique du lien détendu qui baigna son premier age du sevrage presque idéal de la logique du désirs et de ses souffrances qui forment encore a ce jour, le tout, instantané et éternel de l'Esprit. Les représentations ont un age ; il y a celles qui datent de nos seize ans, et celles, intemporelles, qu'on insuffle au marbre par exemple ; devanbas sorti son brise-glace et frappa sur l'issue de secours mais au lieu des habituels bris de verre que l'on entend quand on cherche immédiatement a savoir ce que l’éternuement indique, se fit entendre un faisceaux de voix, un rayonnement d'objet absent, d'eau remué par une onde comme la bouche d'un homme qu'il tord quand il articule une phrase, et que sa parole semble l'encens d'un fruit dénoyauté, qui brule sous la lumière le rien livide dont l’enveloppe humaine possède tous les organes ;il pensait que si les idées proviennent des idées, les corps, eux proviennent des astres qui eux même évidaient en permanence les apparences secouée par de violente fuite de vers chassés du cadavre putréfié du paradis par la chair inimaginable de sa belle-mère pourrie qu'il imaginait plus méchante et intéressé par l'argent, qu'elle ne l’était réellement, comme il aggravait la contradiction de son existence pour se sentir vivant, en imaginant son beau père plus indigne que grand lui pesant parmi d'autres contraintes littéraire tout le poids de l'inexplicable mauvais tour du sort qui s’était joué de lui, qu'il n'avait pas encore apprit a envisager comme les souffrances de sa félicité a travers les ages de ses représentations et autre mouvement de bulle dans le niveau ; et pourtant... ce bruit infâme qui venait de traverser sa conscience l'avait fendu d'une pensée si profonde qu'elle lui faisait mal au ventre d'en pénétrer la vérité ; hémorragique totalité du monde semi abstrait ou il vivait, rayonnait non pas d'une lumière émise par un quelconque objet, mais d'une embarcation dans l'instant de la pensée habitée ; a lui aussi, il serait demandé de paraître en caractère, d'exister revêtu d'une pensée, car c'est dans son filet qu'on s'ouvre a ce qui y transcende le monde ; sur son bureau, deux pierre de minerais, en guise de serre livre, et une reproduction d'un tableau du quattrocento, représentant le navire de Marco polo dont le buste s'allongeait jusqu'au sommet du mat en passant par dessus le pont ; ici, c'est a dire au fond de son malheur conscient, il pouvait savourer l'unique joie qu'il connaissait sur cette terre et qui était lié a l'acte de penser, a la Puissance de Bien penser, qui parachevait l'usage des sens et des organes dans la compréhension que cette viande voué a la putréfaction était aussi capable du mystère, et de penser par exemple que rien n'était que ce qu'il en comprendrait, et qu'il ne pouvait échapper a cette enveloppe quasi militaire même s'il s’était arraché tous les cils un a un aussi facilement qu'il arrachait les cheveux des poupées des autres enfants ; la fracture sans nom que les deux savants allaient identifier en la confrontant a tout le réseau herméneutes d'une culture supérieure, complexe en sa manière de raffiner la réflexion, pouvait aussi bien l’éclairer en entier que le dissoudre littéralement ; il approcha ses mains du lien brisé, et le reste dernier de la physique, le rien, lui posa quelque problème pour le resitué dans le tableau atomique, qui, désormais dépourvue d'objet, était devenu illisible comme les arcs électrique ou les plaque de nacre immatériels qui apparaissent dans l'espace symbolique du peintre ou l'homme vie de sacré avec les gestes du QI Gong quotidien de l’Éternité Habitée, l'intelligence qui est partout dans la parfaite beauté, défiguré après moult sondes jetés, dans les profondeurs hémorragiques du fer des sept plaies de l’Égypte tintinnabulant au cycle désespéré d'un enfant que Chronos déchirait de ses dents ... mais être confondus tel un objet semblable aux autres, manipulable par une intention visible, jamais il ne s'y résoudrait. Jamais il ne rêvait que le monde devienne autre chose qu'un obstacle, un tremplin pour une gloire a deux balles, plutôt crevé en avalant du vitriol !! Au fond des la pièce du lien familial rompu, il suçait le nectar bitumineux des murs d'attentes du monde transcendé ; le bulbe de ces antennes flagellait le sol d'un tressaillement électrique qui le pétrifiait sur sa chaise, ligoté par l'oubli de la question de l'être.
Le redoublement de l’être en pensée et de la pensée en chose c'est cela l'existence. Et cette faille dans le cosmos est comme une tranche de lumière invisible béant dans l'espace temps qui emporte ce qu'il conditionne, avec lui quoique ce soit ce qu'il a conditionné qui le perde; devant et derrière lui le chemin, qui conditionne les rondeurs de la blonde d'Esprit.
Les catégories dans lesquelles notre vie a sa réalité pour nous, l'espace et le temps par exemple sont des catégories paradoxales, relatives conditionnelles et conditionnées a l'apparaître qui n'est pas l'essentiel de l'iceberg, mais son indice, son symptôme avec lequel nous avons de démêlés pleins d’indéterminations, mais le clignement nécessaire a l’éveil qui se referme sur la déchéance qu’arbore la splendeur barbare de l’être qui ne peut complètement se redoubler, tant qu'il est face au lien mort que l’expérience de Chatbeurré devait requalifier... c’était comme faire renaître dieu de ses cendres en abolissant la dernière hypothèque sur son secret renversant, il vit par la fenêtre que le gouvernement avait donné l'assaut sur ses enfants au noms de l'alternance de langue qui a Auxbourg rendait tout le monde fou.
Une semaine sur deux on se garait d'un coté ou de l'autre dans la rue de l’université.
Un bouquin, c'est une chose qui pense, une trace qui apparaît et disparaît difficilement d'un art si parfaitement insatiable qu'on ne sait par quel bout ou faille, l'aborder; c'est planète sans limite mais pas sans confins, un cœur claironnant du papiers a lettre, qui ouvre ses yeux de paon jeté sur des ports toujours exotiques, qui reviennent des intérieur baignant dans les verts acides de la piscine a charogne, chargée de belle histoire de benzène a raconter.
Marlene Burns
01:17 | Lien permanent | Commentaires (0)