17/07/2015
Note
La politique n’intéresse plus personne, peut-être parce que la politique au sens classique est morte, et qu'elle s'est muée en « gouvernance » entre autre transposition, mutatis mutandis des lois du management aux réalités de la chose publique... quand la philosophie prendra t-elle acte de ces mutations ? Quand les pseudo philosophies du langage auront épuisé la critique des annoncés scientifiques... autrement dit jamais. Il ne serait pourtant pas inopportun de remanier les cours de philosophie politique et de voir outre les grands et indispensables classiques d’Aristote a stirner, la nouvelle réalité du business politique au temps post moderne de la bancocratie, qu'aucun de nos aînés n'a critiqué (au sens philosophique du terme) sinon de manière abstraite et anachronique …. il est fort probable que si plus personne ne s’intéresse a la politique c'est que les mots et la chose ne se correspondent plus …. la politique est désormais pensé sur le modèle civilisationnel tout puissant du marketing de masse alors que nous la concevons encore par des signifiants d'un autre age….. voici quelque pistes : http://leg.u-bourgogne.fr/rev/064208.pdf
https://books.google.fr/books?id=LtE9xUXwp0cC&pg=PA13...
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/libris...
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/re...
http://www.finance-watch.org/informer/blog/822?lang=fr
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auteur inconnu
Loges transitoires la pente d'eau ; rites secrets du visage ; rites d'eau et de printemps, fleur de couteau, bosquet de lames, rives frottées, d'indivis tourniquet du tissu cérébrale pliant l'ancre crevée de l’océan plafond de digitales ; pointes d'os incrustées de chair inconnue retenant l'organe a ce dont il est la condition, l'attention virtuelle entre les nénuphars, l'arachnéenne respiration du vase profond, qui tremble un regard encore imaginé au parlant incertain, trempé d’amniotique fluidations, d'organique vibration du monde éclairé, toujours nouveau a l'édénique autochtone; la lisière des pas bordent le jardin de fougères; la gastéropode distance du marathon, selon l’échelle des nécromasses est d'un sixième de l’épaisseur des grains de revers; biomasse reformée des enfers! La masse comme milieu vivant, la foule aquariophile des soirs d’autodafé a l’hippodrome, femmes happées vertiges de velours peint au coup de feu dans la masse légère des herbes folles de mousses, qui masquent les tiges des réverbères, dégoulinant sur les roches comme un cachet d'acide du dieu trottoir scarifié, me proposant l'aspirine de ses voix lactées, un rhume de rocheuse, expectorant les sols a poils d'aube de l'origine achevée. Au-delà des faits dévorant, les sources africaines de la trouée se dérobe au regard de l'occident, l’Afrique, le continent oublié est géopolitiquement, la poussière, peut-être encore fertile, de l’éden passé ; l'occident ne le voit pas, l'occident ne se préoccupe que de lui-même, pas seulement par vanité, mais parce qu'il est prit dans le maelstrom des déploiements contradictoires du savoir malmenés par les opinions vaines sur l'idée, sur ce qu'il est possible de transmettre entre homme qui ne soit pas la répétition d'un signifiant crevé ; quoiqu'il puisse l’être aussi pour en rigoler; la naissance d'une famille supérieure, ne contrevient pas la filiation qui peut s'étendre autant qu'on veut vers l'origine commune, et en approfondit la lucidité qui bénéficie a tous les mauvais paysans qui ne savent pas faire un seul droit sillon dans leur vie qu'ils se volent eux-mêmes, en cherchant querelle a d'imaginaire fragment de leur monde décomposé. L'africaine famille de l'humanité, le conservatoire ontologique des sentiment premiers qui battissent la chair, l'organigramme chirurgie plastique de la dernière pensée qui clôt la lucidité sur elle-même et sur l'autre, avant les subtilités du cogito, la pensée de la famille a germé du sol africain comme l'esclavage, mais bien avant la distinction entre le philosophes et le sophiste.
jovan karlo villalba
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16/07/2015
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paul rebeyrolle
L'image voit la boite crânienne vide de ses bords en carton, et lui substitue les pics de roche monstrueux sortant du désert comme l’épine dorsale d'un monstre recouvert par la poussière du temps fracassé; ne reste que les lacets des courbes infinies d’où point ne sort de route des poutres qui dépassent des cloisons, ou d’anonyme le chemin se dilue dans les généralités vagues, ses pierres incises, frottées au bruit de fond, limés, tourbillonnant en ruban magnétique au-dessus des caves ou le rire abandonné, décontenance le foyer Bolivars des gargouilles qui bouffent pendant des bières d’archevêque trappiste, les masques matador de la télévision maya qui touche a travers le cartilage lunaire des pigments échappés de la basilique digitale du saint sporadique cartouche de Pierre, la fausse crânienne de l'esprit qui couronne l'odéon, un doigts dans les étoiles, gainé de brique rose comme l’enveloppe d'une croupe tendue en signe de vieux lignage, et d’archaïque orifices d'incompréhensions violet, pris dans le bitume et le béton, fausse impasse ou passe l'ombre de l'intelligence, derrière la maison de la condition du signifié écarté de la présupposition, qui rit des souffrances; l'humour est la primitivité la plus proche de la foi ; elle en possède les caractères d'unité complexe et de tension infinie et paradoxale, ne lui manque que la paix qu'apporte la foi.
Stephen A. Yavorski
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