04/07/2013
Retour sur la Métabasis
Un grand cheval de Trois plein de nefs, d'escaliers, de fer, tourbillonnants comme des aveugles né grouillant dans les grandeurs humaines ; entre les mains du va et vient, plein de bourgeons fanés de boulons et de crampes. A chaque fois que ton coeur s'arrette, qu'il saute un battement dans l'emballement du bonheur copieux, le redoublement approche et te touche intérieurement comme un vertige; et lorsque bien plus tard, emporté, soufllé de confusion, la chandelle distord des disettes la main dans la manne, aux vergers du néant s'eteind, l'ecchymose fleurit. Tu n'est plus que sa proie, rendue prise, l'absolument vivante logique de l'images, rendue prise t'en souvient-il? sainT Tu est mort comme un dieu ; n'est-ce pas la, l'expression d'un ressouvenir d'un être qui attend avec la plus entière conviction une vie éternelle dans un monde nouveau? Sale saison retournée en enfance reluire son alphabet d'une eau mise en scène ; au centre du thé le ressouvenir des galeries, des grandes distances ou l'on se perd de vu, aveugle né fondu au noir et a l'oeil ; gagnent alors, les distances nécessaires a l'invasion de l'incompréhensible, prémisse au miracle ; et quand, de loin en loin le vertige rogne jusqu'au coeur blanc des ténèbres ,et qu'il est toute la manifestation des enfers, l'os de Dieu doit enfin avoir la peau de la peur des décoctions nucléaire et la force d'enjamber son cadavre, et l'oubli sans regret des galaxies, et de sa foulée refoulées de sa patrie céleste fouler le Monde nouveau. La source des scintillements s'atomise ; leur déroute est ta route ; tes interprétations des lubies ; les suivre jusqu'à épuisement. Mais a l'extinction de leurs feux, elles coûteront le rachat d'Un être . Étrange dimension ou il faut être bon, généreux, et charitable absolument et non, sans discernement comme le voudrait le péché.
Donne tous les noms a ta source pour oublier qu'elle existe ; transforme en vérité du monde la réalité sordide de ta cachette ; cache la derrière les mots de ta logique si tu le peux, pour ton malheur forge toi d'eux une certitude au hasard, d'eux ne naîtra jamais aucune grandeur humaine connaturelle a Dieu.
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03/07/2013
L'en soi du désir : l'être est le sens
Dans la nuit du sens se dévoile le désir entier de recouvrir tout ce qui masque sa révélation ; étrangement la proximité de la realité idéale plonge le désir dans le martyr des ténébres de sa suppression qui est l'autre face de la grace ; mais la nuit au ventre l'insensé qui jaillit de l'insignifiance recouvre le désir et accomplit l'impossible réalité de l'idéal qui le dépasse et qu'il ne peut penser et ou il ne peut s'inscrire, ni advenir comme un être plein de sens dans un monde plein de sens, en scrutant l'horizon ou en creusant les nuées de trous dans le sable, mais exaucé.
Sois en convaincu.
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02/07/2013
A travers
au reflux l'eau se retire entre les roches sortir né chaos file trace lumière échangée ange comateux portion d'eau de pierre aux grises sources pris machine a laver la décoction sphère langé envers tambour monstre dérangé monde sans idéal réel brisé coule mécaniquement l'usage saigne dentelée a travers l'ouvre boite crânienne l'entrave viol anti-vol pans l'horreur labyrinthique inouïe chapeauté éclaté bottes de sept lieux membres impliqués secours voix de l'ignorance mur émouvant compliqués compilés brisants biseautés bris sautés carat és doctorantes persiennes recourbés volets clôt vers-ou terreur fière confier fin de soi enterrement l'entendement sans oeil désorganise la vision parole sans dimension le devenir concret de l'idéal le silence final des sciences au regret l'éclatement des spéculaire bulle open space cut Sa volonté sur terre désopercule des fondements d'herbe folles pourrissant savoir du pieds mûrissants inquiétants de dos l'éclat clôt le face a face
voie entassée ferme sono cercle de bouche assujettique joie d'ires réfléchie détache miroir tâché faché du lien l'inquiétude soulève l'allégresse l'absolu filtre premier jour oraison d'inscience par les oiseaux du clavier tout cristal des doigts flans
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