18/07/2013
!?!?
Est ce la toute ma matière mêlée au monde? Morte pluie d'automne remontant l'arriere cours des saisons. par les tuyau transparent et les canaux vide des ville d'eau, petite venise suis la contre, toute projetée dans les contours de son ombre comme une nuée invisible que la lumière dessine ; et je ne sais plus compter ; la face obscure qui m'attire de tout coté ; c'est la main plongeant le flambeau dans le noir soudain conjuré que je veux voir ; les débris de la vie dans l'explosion d'étincelles qui l'écaille a la dérobée, et délivre la date d'expiration de la mort.
A chaque crépusculaire elle respire défroissée, un vide qu'elle allège du terme de sa gravité lorsqu'il est attendu. Voilà ce que parler veut dire.
Mais la mort inattendue surgit de l'indiscernable, et déloge par l'angoisse la pensée du désespoir au sol qui s'effrite sous nos pas? Ce qui advient alors est une pensée toute autre, qui se déploie dans la conscience d'une allégresse dont la cause est incompréhensible.
Allô! T'es une Femmen et t'as pas d'shampoing?!?!?!
Entre grave et futile ?!?!? Le grave, est aussi bien ? Que !
Est le Bien Absolu discernable allégé par le « ton » de la synthèse
Mais comme le grave est ?, aussi bien que !, et qu'il en va de même pour le futile, les ordres du discernement dans la clarté, se recoupent dans la tête relative de la jeune fille, mais pas en réalité si on considère que l'inquiétude qui l'accable n'a trait qu'a l'exigence d'un ressouvenir éternel d'elle même dont elle ne sait rien puisqu'elle n'en fait pas le poids de soucis a allegé d'un dire, ni ne s'y reprojette morte ou décoiffée, et c'est ce qui nous fait rire.
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17/07/2013
Cène
Mais, parfois, Sweepgen plein de juments a l'écurie ruait aux portes cloutées. Les sabots baignaient dans l'amer, secouaient tout un ciel de vaste champs et de prairie verdoyante ou courir et se reposer, retombaient en éclaboussures de boues dans les filets resserrés du désespoir. Il débordait pour des riens, comme une effluve pleine a craquer de brasier soudain en crue se vrille, frappée de torves cavalcades et ronces flammes qui, refoulées un instant, dévoraient le bois et les clôtures de l'invisible ; son coeur alors engloutissait sa substance sans s'établir dans sa transparence, mangeait son terme sans rien rogner, émargeait l'amour d'un désir de langue qui resonnait comme un airain, et qui sans elle, se retournait en haine pour se dévorer de dépit et gisait comme un alphabet en désordre tombé du livre aux signes inversés, comme une épave mauve, tachetée de lavis stellaires ensanglantés et lamentables, au fond des cales marines ; que restait-il des cavalcades chevauchant leur propre cavale en toute liberté? Que restait-il du coursier emporté jusqu'au terme formé par le coeur tout contre lui-même ? Si l'existence de la page ou le souvenir pouvait relire son intention éternelle manquait? si la connaissance du besoin de la langue manquante n'apparaissait? Si les coordonnées christiques de la position de réalité dans le miroir ou le coursier se rejoint manquaient? S'il disparaissait de selle ou moment de se fondre en lui-même, n'était ce pas pour s'apparaître tout autrement une fois le désir accomplit ? Dans un autre cadre ou les permisses n'étaient plus les mêmes puisque l'écurie avait sauter en éclat sans rien dévoiler sinon que la conservation de ce souvenir formé dans le commencement de l'éternité dans le temps, etait de nature eternelle? Et que le paradoxe du rapport a la realite redoublé le rapport de la cène qui donne a rompre l'image de soi et a partager le vin de l'amour de dieu dans l'image accomplit. Et A cette pensée, l'anesthésiée papillon, sentait d'autres ailes sous ses sabots de lymphe ; et le désir en son vide se figeait, se caillait comme la membrane d'un nouvel oeil formé autour de l'iris aveugle du manque, et du néant qui reste quand tout est accomplit ; plus lourde qu'un cocon de plomb, le coursier sentait la porte se refermer derrière lui, alors qu'il plongeait vivant et redoublé en lui-même dans ce qui avait été la sonde de la densité du malheur sensible qui l'avait pétrit et broyé dans un tourment propre aux retournements de situation. Alors rejaillissait un cheval neuf, éclot directement de la dépouille expirante du parfait et total dégoût qui marque l'essor entier du désir et qui le laissait presque mort, mais enjoué et heureux ; rattaché a tout par un éclaircissement profond qui lazurait son âme d'une sorte d'illumination, un épanouissement de signes renversés, paradoxalement emporté par l'édifiante paix de la déconstruction.
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Rappelle toi Abel
Vous demandez, face au croches d'or du gazeux poison, une part justifiée d'horizon, une portée pour le granuleux herpes? Mais empesé des balancements de la justice, vos mains vachement raclées du si fonds, disparaissaient sous le make-up tendu d'avance d'inquiétude. Le si tu le respires comment? Tu l'inspires par le nez et l'expires autrement? Sans sentir ton coeur trembler mais battre seulement? Le trait mal pané de la très pâle trépanation transpire en dix long mois plus de mie de verbe qu'en un instant...? vas y tousse un peu pour voir? La voie qui demande, s'abîme et s'anime dans la vision de sa perte, qui fait qu'elle demande en priant avec un accent lyrique propre a l'acoustique finie de l'échos du témoignage, et demande que la nature de dieu dont elle est aussi faite, ne l'anéantisse pas vivante, mais que melé dans un accord heureux, elle puisse par des remerciements éternels, par une redondance, qui rend grâce de recevoir la grâce de rendre grâce, trouver le repos en Lui.
Renifle la fausse couche du prénatal avorton! Apprend nous a Prier si tu veux que je pense a quelque chose d'éternel! Qui demande en priant, enracine une langue dans la vision des souffrances, et donne aussi, une voie a la passion autrement muette comme un animal porté a la haine a l'amour se devorant, et qui, jeté sur la terre du désespérant rapport a l'absolu, voit du sang noir de ses souffrances, éclore l'étirement de la mesure pathétique du point aveugle de la mise au point, de tous les points dont sa certitude est chargée en poids de gloire pour l'éternité de l'esprit disparue pour l'instant dans la réalité du temps.
La mort serait d'être aveugle a cette vue. La voir c'est en mourir. Mais en mourir c'est en faire renaître la vision vaincu.
Mais y'a quoi la'dans? ….ça pue le cadavre ? Con....quoi?...l'odeur congelée jongle avec trois piments rouges arrachés a l'iris des phoques mordus par les lions de mer. Flaire pas ça! la prosopopée du petit jus, le crème, le demi écrémé, l'épopée rabougrie, le chant funèbre des savates du larynx dans les fumigènes des pieds nicklés, mais rappelle toi plutôt l'extinction de voie de la souffrance dans la lenteur du déroulement de la douleur, rappelles toi les phases de la souffrance, la logique de la ruine, l'humiliation nécessaire au langage pour que les images formées dans la douleur recoivent leur poids de sens, rappelle toi de combien d'instants l'instant s'étire dans la langueur de l'angoisse, rapelle toi Abel! quand tu formas le projet de tuer Caïn! rappelle toi ce qu'offre le temps redoublé de matiere opaque a rendre translucide pour faire le point dans l'élongation parachevée en elle-même du coeur dans la course de son projet formé, jusqu'à la transparence, le bon ton de la note personnelle percée comme un roseau ou souffle le vent, et qui rméle son sifflement a celui de la flute, ou qui rend compte comme une lune du témoignage d'autre feu dont l'angoisse est la méche... Ou qu'ils fourrent les morts par ici, quand l'instant a disparu?Ou donc est-ce qu'ils reformulent l'éternel disparition du présent dans le temps, s'il n'y a pas de mort pour recevoir et comprendre cette parole dont la condition est d'avoir la certitude de son éternité, avec bien sur la pluie de tribulation qui vous tombe a l'instant même dessus.
Receleur du présent, l'espace temps? De l'être dénué ne fait pas l'ici et maintenant d'une cache, mais plutôt une anomalie permanente qui a disparue de dessous nos yeux depuis qu'on a appris a user de son libre jeu pour se forger l'illusion d'une puissante civilisation.
Non cache misère, attrape couillon, présents, cerise sur le gâteau et pompom camelot; que nous manque le présent devrait être un sujet de prière; ils nous manque tant que nous n'avons plus de coeur pour en formuler la connaissance de sa valeur ; ou alors sottement sans avoir aussi une expérience de l'idée pathétique que nous évoquons par de grands mots ; si grand qu'on nage facilement dedans, se donne l'air de spéculer, spécule effectivement quand le sens de la langue échappe au désir d'en rapporter les propriétés a la plasticité de la souffrance d'où s'étend le sens du dépassement ; le sens de l'être selon l'air du temps est au saisissement du frou-frou des pom-pom girls, que rien ne manque, aux prises du désir incertain, au chavirement indéfini du désir hors du cadre de l'éternelle certitude qu'il porte en lui comme une voie sans parole, un bruit qui a besoin qu'on l'éclaire pour trouver le repos dans la volonté d'un autre auquel il rend grâce certainement.
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