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23/05/2013

Remarque

Ebauche d'une Hypothése incoherente

Votre idée Michel est du genre de celle que j'apprécie, du troisième genre dirait certains, de l'intuition; des que j'y pense la source s'ouvre et le problème n'est plus d'avancer des idées neuves dans le cours de l'écriture, mais de stopper l'hémorragie.... Non, je ne connais pas le Don Quichotte parc's mais je ne demande qu'a découvrir...ce qui a retenue mon attention c'est que, de tout ce que j'ai pu lire sur cette liste, l'idée du parc a mot est l'idée qui a le spectre le plus large, qui permet toutes les monstruosités artistiques, jusqu'à plonger notre temps dans le bain révélateur de la folie supérieure du paradoxe et de l'impossible réel. L'idée du parc a mots offre des possibilités infinies, un monde sans humour et sans ironie, qui prendrait les lettres aux pieds, qui au lieu d'ouvrir l'esprit le refoulerait en permanence en croyant faire le contraire..le fait que l'on puisse tout faire dire a la langue de notre époque, qu'en elle tous les concepts migrent d'un domaine de cohérence vers un autre apatride et inversement dit l'état spirituel de catastrophe naturelle de notre temps..mais aussi la foisonnant humus percée de galerie dans le mur de l'incompréhension, qui rend difficile de rendre une image de notre monde; tout y semble être en permanence contredit. Ce qui me semble intéressant, c'est la fluctuation des concepts a taille variable comme le corps de gargantua; et surtout leur migrations permanente rendu possible par la prédominance du paturage journalistique; ce qui est Plus insignifiant qu'une aiguille dans une botte de foin, comme un joueur de foot prend des dimension monumental de l'emeute au allure de guerre civile....pourquoi? …..ou plutôt, c'est quoi l'image du monde lorsque tout s'inverse ou presque, lorsque les pics et les creux du relief ne correspondent plus a l'aune du trou de l'effroi et a l'axe du réel impossible.......un hôpital psychiatrique pour les mots fous et ceux associés en corporation d'anonymes alcoolique shootant au prozac leur tremblements parkinsonien dans les redites du vingt heure pour que le patient de la confiance économique se calme avant de subir une ablation du sujet, sans laquelle il prend peur de sa mort; auatnt qu'il a peur du calme claquemuré des cendre dans le marbre de son immortalité que sa fille lui promet de graver en lettre d'or sur son urne vendue chez leclecrs, la ou justement il s'était marié...ca dit quoi du monstre qui s'habille en trois Pierre cardin? …..et si kate moss en guêpière venait me donner les derniers sacrements de son aura de star sur mon lit de mort, est ce que j'aurais plutôt envie de la baiser comme le saint suaire ou de l'envoyer se faire foutre un cierge ailleurs? Je trouve que l'idée du parc a mot permet toute les audaces, mieux que la libre association des surréalistes, parce qu'elle situe la libre association dans les mots, et que notre époque ressemble a un monde ou le langage immaitrisé, se dédouble et se redouble a l'infini en lui-même jusqu'à se perdre dans la bouche des gobeurs de mouches politiques. Pour moi votre idée du parc, a le sens de la langue qui serait devenue le bouc émissaire de toutes les angoisses humaines..et c'est la ou mon hypothèse devient incohérente....dans un renversement qui serait bien évidement un contre-sens du lacanisme: « l'inconscient c'est la langue », retourné en un « l'inconscient c'est l'homme sans la Parole », ou a la fois la langue est supposée parfaite parce que l'esprit critique est mort, mais comme cette langue parfaite, cette Parole, n'existe pas, (sinon pour la foi) l'homme s'exempte en permanence de ses fautes et de sa responsabilité en prétextant une imperfection de langue ce qui est une contradiction avec le présupposé qui rend possible que le monde comme systeme se develloppe tout azimut sans que plus personne ne l'habite vraiment; exemple une tempête dévaste le Maine de fond en comble...c'est la faute a la météo, c'est a dire a la langue rationnelle des nuages qui n'avait pas prévu l'avenir dans son logos total; les politiciens vendent le berceau de la démocratie c'est la langue qu'on vend, et c'est la langue venimeuses des financiers qu'on accuse; une société commerciale se forme sur la base d'un contrat, mais se désigne elle-même dans ses statut comme n'étant pas la propriété des contractants, mais d'une autre entreprise prête nom, et ainsi échappe a l'impôt , c'est encore la langue qu'on pervertie...etc...etc... la langue n'accuse plus les hommes, c'est l'inverse, les hommes accusent la langue de toutes leurs fautes et s'en decharge dans des montage transversal qui minent tout presence possible au monde...mais votre idée michel permet aussi de jouer justement sur les chemins de traverses, de maniere transcategorielle comme l'est le devenir du monde soutneu par une langue sans saujet, que pourchasse le poetique puisqu'il n'appartient lui-meme a aucune categie, hormis celle de sujet vivant et prennant conscience de l'effroyable folie du sens de la vie; sujet qui peut relier les mots fous du monde en perdition, et permettre de penser toute la part obscure de notre époque; pour les mots fous, des psy poètes errant dans le transfert des liens de moebus intersubjectif; pour la grosseur des verres a dépolir un opticien lisant la métamorphose transgenerique des lueurs du verbe en transparence, malgré la fuite graphique des mots dans la presse « Narcisse », la revue poeple hebdomadaire ou chaque jour Monsieurs teste apprend, tout étonné qui il doit etre pour exister : que, due, pue ect.... un monde de mots fous dont la folie échappe aux lunettes des logiciens analytique parce qu'ils ne dissèquent que les peaux mortes des propositions logique du langage du XIX....et cantor et frege et gargantua et ruis blas, et moliere et les stoïciens, et les villes et les champs, et les haut parleurs de Stalline jour et nuit dans les goulags, et la merde dont Parmenide dit aussi au jeune socrate qu'un jour il l'a concevra comme une idée; et le mot politique, blindé d'insensibilité écrasante de mépris comme le plomb dans la gueule des lynchés, et les mots femmes tourbillonnant l'air de l'axe du vertige, et les mots sexe, pornographie si esthétiquement léché que le désir précise son pincement de volupté ou de pudeur? dans la matrice des contraires et manque d'une langue pour se comprendre en dépassant l'impasse ou le mène la langue au seuil de la confusion; et ceux de l'argent de la drogue et l'argent de la drogue et la drogue par l'argent, simple changement de syntaxe? Et l'ouvrier s'embourgeoise et le printemps prévue par la météo qui n'y arrive pas a dire un bonne nouvelle, et dsk qui vous demande si la bonne est nouvelle, et si le tir a l'arc aux jeux paralympique panse l'indifférence aux souffrances des hommes riche et puissant d'une médaille plaqué d'or l'oeil, parce que le couple originel finance l'avenir de la substance des mots creux par la ruine et la misère du présent....quelle est l'unité de tout cela? Le sexe? la fête?la mécanique vice-versa? ...peut-être justement le parc a mot comme folie supérieure, comme principe de la folie supérieure capable de fourrer son nez jusqu'aux fond des galerie du langage ou se terre la monstruosité de notre époque difforme a bien des égards; la folie supérieure du parc a mot comme la plus fidèle transcription de la folie de moebus qui circule entre tous ca, toute cette porosité qu'aucune science ne peut mettre en oeuvre, et qui nous brasse et nous emporte dans les courants d'air constant.....le gros problème serait: quelle structure? quelle architecture donnez a la folie supérieure du temps? Peut être justement, le religieux comme pureté du coeur, transcendant toute cette boue en en engrenant tous les paradoxes, pour toucher a la transcendance des mots qui tiennent debout dans la folie du temps.

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