11/06/2013
La déco du cercueil
Un hémisphère masqué sous l'autre fesse ; la langue tombée au fond d'un vers puise la maxime du songe gravé sur l'architrave qui n'est que pour moitié le ciel ; l'ordinaire des jours du cintre entre les extrêmes friands de viande ; l'huile des prêtres a porté de l'embaumement ; l'aura d'un scellé du dit ; le cocard des ions chargés positivement ; du noas mes restes de la veille bourrés de galaxies ; l'huile sweet heaume des prêtres du lavoir ; l'A oiseux val dingue ; l'élongation des pleurs du rire, en interférence dans les longueurs d'ondes imaginaires ; la pluie qui claque des dents ; la mer qui glousse comme un jus de citron ; la répulsion des appels au moment de leurs conceptions ; l'attraction des preuves dans les hantises du forceps ; la symphonie des goulots de bouteille dans l'indifférence a la qualité du vin ; la gorge étanche des assoiffés du vain ; les piliers du temple trempés dans la pensée et l'encre ; un égouttoir a cendre ; un butoir a fermentation placide ; un billot de caille lait pour le sevrage des terres du silence ; un écrou a visser sur la coulée d'ivoire claire ; une sélection d'affinités ajointée dans la feuillure des inconnues de la fonction sympathique ; une livre de chair remisée dans l'oubli ; un stip-tease dans la garde robe du soleil en manque d'habit ; le Scotch d'apesanteur dans la cabine des suies glace ; l'intemporelle évolution de la danse des flammes ; une tablature pour flûte amnésique du taureau de phalaris ; le ciseau des dieux dans la boite a gant ; la décoction du caquetage des ampoules ; le grésillement de la masse au réveil de la terre ; la carcasse du chéri sous les implants mammaires frotté de brasiers ; l'acide gastrique en soda sucré ; la grenade au coeur battu aux cartes explosives ; l'affolement du rythme dans sa chevelure d'os ; le plafond de sol de la chambre d'un adolescent ; l'impression que Dieu y a vomi dedans ; la racine carrée de la mandragore ; le faux semblant des surplis ; ton brushing a l'argentine émulsion des squames pelliculaires ; les draps des cimetière du laid ; une nomenclature du sommeil hiérarchique chez Total ; une glace a la poitrine dans son cornet ; un encorné téton incarcéré ; un hectare d'une mandarine ordinaire ; la stèle du god vibrant sur sa peau de banane ; un stérilisateur de suçons ; une rage de dent de la pensée contre laquelle on ne peut rien taire ; la tour d'airain des sécrétions pubères ; la semence symbolique du bonheur encore dénué de réflexion ; une joie céleste inflexible et irréfléchie ; un ballon atmosphérique dans son nuage de foutre ; la naissance de l'ironie a chaque anniversaire du poète ; un an père maître du sens a termes déréglés ; un bonsaï a nuées mangeur de ciel, qui fleurit par la racine les jours chômés ; une culbute en nacelle dans l'assiette en miette du bonheur révolté ; le pont trop loin de la réalité pour le génie civil ; le clôt des abbayes se parant d'un toucher ; un scalpel émoussé du fort intérieur qui n'élude pas l'organe des boutons ; la fureur du décorateur d'intérieur dans le mental d'acier des managers du Mac Do
11:10 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Il est évident que si l'on oublie le "cu" d'un cercueil, cela devienne un "cerseuil"... CQFD.
Écrit par : collignon | 11/06/2013
merci, autant pour moi...mais ça peut devenir aussi serre-feuille, cerf-l'oeil und so weiter...
Écrit par : jerome | 11/06/2013
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