19/06/2013
Lyrisme universel
Le souffle contenu dans la boite a musique ; une chambre musicale ou s'enroule l'air pneumatique ; les pigments de l'encre noire de l'imprimerie clandestine des fausses monnaies écrasée entre les murs confiné de la lumiére irrespirable qui écrit son oeuvre éternelle ; un courant d'air provenant des confins téléologiques de la science des relectures historique du sens ; la langue pincée dans l'hélice du soleil trempe dans son thé de piment ; une voie de surplomb qui entre ouvre ses pages a la lumière des lettres qui burent comme un buvard l'eau précieuse de la vie ; le mur de l'abbaye perdu au fond des sagesses de l'amour ;derrière l'enceinte de notre entendement stérile mais riche en stupidité mesurables sur l'échelle de Richter des digestions des barreaux des cellules ; un rire éclot de ce a quoi on n'a pas de coeur ; le dynamitage des prisons et son sismographe des catastrophes de l'esprit comique ; une tectonique des plaques d'eczéma dans la peau de son personnage irritable au mue ; le script des dialogues des acteurs du coeur sur la scène vraie des actes du verbe ; l'acteur mis a l'ecart de l'idée du rôle dans l'esprit de l'auteur ; l'entrée des artistes par la porte de service de l'humour ; un acide maïeutique qui repeint tout l'intérieur a l'eau de javel ; la liste complète de tous les asiles ruinés par Buster Keaton et Chaplin réunit ; un sujet du bac : les punks sans avenirs ont ils encore un dasein? ; le retour a l'errance des lieux sous les cieux ; la faille de l'humour en rupture avec soi-même, dans les lamelles that's all folk du microscope électronique des cartoons ; le bords du précipice ou notre compréhension s'arrête ; l'interdit dénuée de loi écrite, mais qui fait rire les enfants de la lumière ; l'herbe sapée sous les pieds de l'ironie ne grimpe pas comme un lierre contre le mur du refoulement de la compréhension de soi du projet interdit de l'humour ; le seuil de l'ailleurs qui nécessite une révision complète de l'instrument du délire ; ou choix soit on détruit l'obstacle soi on se convertit ; l'accès, en soi par un autre, a une idéalité qu'aucune praxis ne produit ; l'événement christique qui ensemence d'une nouvelle réalité l'idéalité devenue impossible du comprendre ; enfin la merveille de l'esprit dans son écrin de Répétition théantropique, la ou naissent les images achevées, cette pure merveille de lumière incarnée du livre ouvert sur les pages du coeur triomphant ; l'image vraie la parfaite intelligence du terme dans le derme incarnée éternellement, engendrée de la parfaite émotion de vivre en accord avec l'éternel renouvellement du voyage au coeur immuablement inexpliqué de l'éternel amour.
(désolé pas le temps de faire plus durant la surveillance et la correction des torches culs de nos chères tètes blondes)
11:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
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