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28/06/2013

Squam your move


podcast

Structure de l'homme nouveau

Pris de panique je me réveille d'un bond je fonce sur mon armoire en sort mes plus beaux habits, c'est a dire, les plus rutilants, les plus dépareillés ceux qui me font semblable au dissemblable, identique au lazure du formica imitation noyer, encanaillé au tenaille des soutes caméléon pleine de maquisards rangés en mangoustes a pinces violette ouverte comme le bec des oisillons nichant au coeur du ramage d'or, et cours me fondre dans la glu ou la vermine dévorant les sacro-saintes projections sociales de la raison m'élève en me jetant hors des lois; mon sarcophage bée son calcul des viscères du sacrum ; je fais la sourde oreille et m'enfonce dans l'évaporation sociale ; l'effacement des identités de substitutions sur le dos ailées de la sang sue des sueurs froides me jette des regards de braises et me bave son placenta visqueux dessus ou déjà brille l'isocèle nettoyé de la volubilité du souffle tenant toujours compte de tout dans la nasse bigarrée de la masse des matières en bordel ; je m'habille et me prépare comme on se jette dans un bain de confusion prêt a recevoir en détail sur mon tout désirant l'électrode du démentie qui électrocute les vivants et ressuscite les morts ; je peigne mon souffle d'un gré tasseau sur lequel était assis Job, je me le noue ou cou comme un fétiche talisman, comme la biche peigne ses yeux des heures durant dans le miroir des cuisines ou elles épiles ses cuises pour mettre a table les aveux du désir ; je chute avec ma monture la ou l'ordre social n'est plus qu'une chimère absurde comme un moyen de suicider le desir d'avorter spirituellement dans la soupe aux esclaves, de me faire parler de dire et de dédire l'intention du désir sans jamais parvenir a son terme ; résolu je mélance a travers un premier cercle  d'illusion reflexive qui se brise comme des reflets au supports complice et les bris m'entaillent de culpabilité ; il fait plus sombre encore ; je ne perçois plus ni père ni mère ; ni commencement ni fin ; la neige est loin encore des écrans de controle ; le temps et l'eternité se noue dans un orgasme horrible  ; ou l'angoisse d'un instant dure une eternité; je continue pourtant vers l'ailleurs la ou plus personne ne peut plus rien pour moi; l'ordre du monde s'est évanouie et mon vertige me lessive et m'agite comme un grelot dans les ténèbres ; le froid est plus intense, mes dents claques je ne perçois aucun reliefs ; aucune saison n'a jamais percer l'orbe de ce mystère ; tout est tétanisé dans une béance qu'aucune raison ne pourrait remettre en ordre ; je sens que je m'approche de Dieu ;; penser devient une pure souffrance ; l'être est bien donné, toujours la, mais dans un tel démentie d'idealité qu'iinstinctivement je sens qu'aucune science humaine ne pourrait en  formuler la présence ; je cesse d'être au monde un être cohérent ; je suis dans le magma des matières tourbillonnantes et sans dimensions remis a moi-même a mon néant ; ce n'est pas d'une science dont j'ai alors besoin, mais d'un être dont l'idée soit tellement inconcevable qu'on ne peut le définir que comme Celui qui peut tout ; mais c'est ma monture maintenant qui s'emballe ; elle tente de me désarçonner et de me projeter dans le vide ; un immense regret me monte au coeur comme un souvenir de la terre ; je ne peut m'y attacher il ne peut me soutenir ; je sent soudain que ma monture se désagrège ; elles perds ses ailes unes a une ; la selle flotte dans le néant ; c'est finit....le calme revient....mes yeux a nouveau perçoivent la lumière je suis vide intérieurement fleurit de la confession de ma propre intention désirante ; gros d'un désir informulable sans la grâce de dieu ; le renversement est accomplit ; ma langue colle encore au palais des chimères abstraites mais au coeur des marais asséchant les deux ourlets des mes lèvres savourent le silence comme jamais auparavant. Une fine pluie d'antimatière filtre dans le soleil comme les lettres d'une annonciation de l'attente qu'on ne peut en bonne logique se faire a soi-même sans avoir reconnu sa sublime mort. La transparence est la matière de l'alphabet du parloir ou les connexions réfléchit sont établit sur la table de la totalité du désir qui sort du feu croisé comme un corps éviscéré plein de lumière ; taxidermie mentale, saut sur place, bond en soi-même ou se jettent les constellations comme les sabots des chevaliers de l'apocalypse ruant sur leur unique victime sauvé d'un coup de faux sculptant sa vertèbre; la moelle se lèche comme un chat qui se lave par la langue du venin des mesures ; le vin salut les éboueurs des citerne d'esclaves ; le banquets des silhouettes s'abandonne au baiser de la mort sur l'envers du vertige chancelant vers la rencontre du double par son trou béant de démolition chaste ; aucun reste de la fête, aucune trace du renversement objectif du courant des efforts vains en flux indéterminé du don proche des sources de la création ; rien je reste toujours le même plouc mon secret bien conservé dans son néant ; je reçois en vrac l'indétermination des pierres qu'aucun père ne donne pourtant a ses enfants ; je ne sens plus les déconvenue parce que mort je n'attend plus rien du monde ni des hommes ; je passe a travers ma victoire sur le temps, sur l'avenir qui s'enroule et se masque dans ses redite mythologique du souvenir pour ne pas affronter sa mort et son effroi ; c'est lui, le temps que j'ai vaincu dans le combat nécessaire de l'angoisse ou s'annonce le retournement de la victoire dans la victoire de la parole qui traverse son fil décousu ; mais cette victoire n'était pas inscrite dans le temps mais présupposée par le mort qui devient croyant ; tout désormais est don ; mes caries mon lumbago mon futur cancer et toute la litanies des souffrances des plus connues aux moins visibles et insoupçonnées ; chacune est un barreau de la gloire qui abaisse dans le renoncement absolu a soi ou tout alors redevient possible a l'être nu touché par Celui qui peut tout ; il ne faut se méfier que de ce qui réussit ; ce qui fuyait derrière l'horizon se tient maintenant auprès ; maintenant que je suis a l'envers et que l'interdiction de toucher, de voir, d'entendre ce qui donnerait joie au désir, s'est lui-même offert au mort et donné a toucher, a voir, et a entendre ; mais raison? Juste une apparence sociale qui doit se denier en ce qu'elle a projeter pour que la monture de la sang sue s'explicite en vertu de l'Un transcendant intérieurement. La friche se couche dans le souffle du jardin ou le sillon retourne pourrir le germe de ce qui ne peut se dire et être en vérité et en esprit qu'en étant absolument mort au monde, aux hommes et a toi même ; un dieu sensible au coeur est cacher derrière le monde ou règne la confusion dans l'esprit des hommes ; son souffle est un mécanisme délirant, détachant, arrachant l'es fruit de l'un au monde ou il se sont formés pour l'éternité, délivrant la plante interne qui germe dans les friches de l'extériorité ou l'un n'est pas, et s'accroît de se perdre constamment au-delà des scories a travers les écorchures et le sang qui baise son mouvement des lèvres ; son mouvement est la contradiction même et sa contradiction est la mue qui glisse lentement vers le néant pour ne laisser que l'éclaboussure dans la lumière ; c'est le siphon intérieure de la myriade des feux réfléchis dans notre folie de la source des lumières ou il n'entre pas ombre de variation ; le renversement de la subjectivité a quitter ce monde depuis éternellement ; elles n'y rencontre plus rien qui ne viennent d'ailleurs ne descende d'en haut comme un don excellent et parfait ; elle vit tête bêche le coeur faussement révulsé mais réellement joyeux d'être contrit ; non pas mue par quelque sainte colère mais éternellement mort et apaisé dans sa commotion logique ; mais dehors tout est tellement différent, tellement organisé tellement direct que seuls les serpents y rampent allégrement ; pourtant Pan et Dionysos et Phusis étaient déjà des crabes délirants mangeant le foie des hommes comme des cancers ; ils étaient trop aimer pour n'être pas ordre du chaos et trop amer pour ne pas les pousser de la confusion vers la clarté revenue de l'ailleurs ; qu'on nomme sa présence au sein des forces directrices et l'on croit voir rêver par quelques brèches encore ouvertes le monde ensevelit dans d'archaïques truismes ; le décors est un terrain vague toujours en ruine florissante, lacéré de rues et de boulevards dépavé abandonnés depuis des lustres, gonflé et vertes comme les veine évanouies des junkies ; tout est en ordre pour l'hémorragie quotidienne des fluxs excrémentiels du paradis ; mais je n'ai qu'une vielle chemise de coton peignée et un jean qui commence a s'éclaircir aux genoux; je m'habille et m'agenouille devant l'autel au reflets ; l'hypnose a cesser de fonctionner et c'est déjà une merveille qui s'ouvre en moi ; elle n'a pas jaillit de mon coeur anéantie ; je ne l'ai pas inventé ; je l'ai reçu d'ailleurs et d'Abraham qui le premier l'a formulée ; aucun homme ne donne la foi a un autre ; la littérature peut bien user et abuser du paradoxe et de la théantropie qui en découle ; si elle ne rend pas a César ce qui appartient a César elle ne rend pas service a la culture ; parce que c'est seulement quand chacun lit sur un etre cette structure du désir comme totalité signifiante qu'il peut a son tour y pressentir qu'elle est aussi la structure interne de son désir d'être, a moins bien sur qu'un quelconque parmi nos auteurs contemporains particulièrement doué en jonglerie paradoxale ne soit l'auteur d'un livre sacré et lui-même un dieu sur terre ; mais la ce sera sans moi. Je regarde fasciné le déroulement des opérations....apparemment il faut prier sur un tapis rouge, mais je n'ai qu'une vieille serpillière; il faut des projecteurs et beaucoup beaucoup de lumière....je me relève encore, saute sur tous les interrupteurs de la maison, allume les bougies qui baignent mes yeux dans mes temps de porcelaine rose et bleue....et me retourne sur le temps figé de ma vie qui se décolle comme un papier peint du mur des maux ou tout a coup les autres motifs enchevêtré des vies inconnues m'apparaissent comme des vides comblés de sens et d'amour, des négatifs du monde en plénitude d'elles-mêmes sans parcelle de faille, des cordes a sauter dans la lumière bleue d'un sel que je devine parce que j'ai soudain envie d'y goûter sans le voir ni le toucher ; c'est finalement beaucoup mieux ainsi, sentir dans l'ombre que dieu nous a aimer le premier, et toucher « ainsi » a celui qui nous touche finalement....Amen.

26/06/2013

Vrai ment

Une liste de toutes les raisons d'espérer mendiant la suspension de séance du tribunal sans arbitre ; un artichaut de lumière crue qui rapt la langue ; un ajournement des voies dérangées consultant l'air des lettres sous les yeux du papier vol au vent ; un risque non reconnu par les assureurs qui ne prennent pas en charge l'inquiétant bouleversement de la langue du salut ; la commotion des bulles papales en vibre encore de toutes les fibres parkinsoniennes de ses chéres lumières qui communiquent indirectement ; un maillot jaune taché de chant du peloton d'exécution du tour de transe ; la gnoséologie du rire de la raison qui est une passion comme les autres a rétablir dans son équilibre paradoxal ; une commotion d'expert en double des faux papiers de la raison dans les cavernes de l'illusion d'acoustique ; une avancée significative du monde civilisée dans le recul de la vérité ; la bulle du niveau dans l'oreille interne du maçon qui reflète l'image de Dieu dans l'éclat des murs de nuits ; un chat de fleur en cerisiers couchants ; un grelot de paumes nues entres les lignes du vagin ; un élargissement tremblé des espaces cognitifs nés d'en haut ; un remblai de main bleue caressant les surfaces rugueuses du restaurant étoilé ; une vigilante lampée d'ombre croupi du nectar dansant dans l'élastique du maillot de bain lumineux peint par Staêl ; deux silex de vielle passion castrée univoque et un alternateur électrique de lien réciproque ; un antidote contre la volonté d'avoir raison ; l'âme dialogique du corps social vendu aux enchères a la foule criant : Barabas!! ; un vrac battu en brèche ; une précision effroyable des indices de crème solaire qui fait place nette avant de se jeter dans la lumière de l'oeil qui dit tout ; un imperméable porté par le mépris des opprobres de l'élévation ; une assiette de lentilles qui a fait sont chemin par la rumeurs des villes avant de frappez au temple de Zénon ; la réfraction de l'espace restreint ouvert au game over de la raison ; ou sont ceux qui t'accusaient? ; une distinction particulière du dandysme certain de comprendre que la raison est entièrement une volonté de ne pas se voir mort de ne pas se souvenir de soi ni se réjouir de se reconnaître meilleur lorsqu'on s'avoue coupable et qu'on franchit la mort ; celui qui croit en moi vivra quand même il serait mort ; une résidence secondaire si proche du rivage qu'elle reste a cliver tout l'été ; une mine de rien a ciel ouvert ; un bilboquet offert avec le filets garnis d'emmerde ; une copie anonyme de « l'imitation de Jésus Christ » adéquat pour tout projet du désir fait homme ; un livre épuisé ou l'on apprend a lire dans la mort son tort sur toute la ligne du RER supprimé au terminus ; un proverbe portugais qui dit que dieu fait des lignes droites avec des courbes ; une carte des rues en double sens de Foix.