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26/07/2013

Permanent vacation

La main dans le coeur de l'oiseau

boit la palpitante averse

de maints couteaux lamellant le coeur



Lire de désir le chant d'être

au miroir tressaillant d'une unique peur

ou l'âme meurs chair

au tranchant de la nuit



L'arme dissimulée dans le bris du premier éclat

sort fervente du tombeau,

mûre.

20/07/2013

http://www.youtube.com/watch?v=MCQ7VLoY7bQ

Les éthers modulent

l'impossible étang

less more Mo'(n)T

centre d'intérêt

dater a fixe jour le tunnel de l'image du jour, par ou passe la lumière, le canal, le joyaux, la clarté premiere de l'éternité, la franche glace dérobé imaginant le feu qui brûle sa peau.


://www.youtube.com/watch?v=q27BfBkRHbs

http://www.youtube.com/watch?v=og8RLL6LpUQ

 

"Il pleuvait dans la cours quadrillée, le ciel quadrillé ressemblait au rictus d'un robot ou d'un dieu fait a notre image, sur le gazon du parc les gouttes de pluies obliques glissaient vers le bas, mais ça aurait eu autant de sens si elles avaient glissé vers le haut, en suite les lignes obliques (gouttes) se transformaient en formes circulaires (gouttes) qui étaient avalées par la terre qui portait le gazon, le gazon et la terre paraissaient parler, non, pas parler mais discuter, et leur phrases inintelligibles étaient comme des toiles d'araignée ou de très éphéméres vomissures cristallisées, un craquement a peine audible, comme si Norton, au lieu de prendre du thé cet aprés-midi là, avait bu une infusion de peyolt.

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http://www.youtube.com/watch?v=T7EzQvnA4DQ

http://www.youtube.com/watch?v=b09PB3KwEyk

18/07/2013

!?!?

Est ce la toute ma matière mêlée au monde? Morte pluie d'automne remontant l'arriere cours des saisons. par les tuyau transparent et les canaux vide des ville d'eau, petite venise suis la contre, toute projetée dans les contours de son ombre comme une nuée invisible que la lumière dessine ; et je ne sais plus compter ; la face obscure qui m'attire de tout coté ; c'est la main plongeant le flambeau dans le noir soudain conjuré que je veux voir ; les débris de la vie dans l'explosion d'étincelles qui l'écaille a la dérobée, et délivre la date d'expiration de la mort.

A chaque crépusculaire elle respire défroissée, un vide qu'elle allège du terme de sa gravité lorsqu'il est attendu. Voilà ce que parler veut dire.



Mais la mort inattendue surgit de l'indiscernable, et déloge par l'angoisse la pensée du désespoir au sol qui s'effrite sous nos pas? Ce qui advient alors est une pensée toute autre, qui se déploie dans la conscience d'une allégresse dont la cause est incompréhensible.



Allô! T'es une Femmen et t'as pas d'shampoing?!?!?!



Entre grave et futile ?!?!? Le grave, est aussi bien ? Que !

Est le Bien Absolu discernable allégé par le « ton » de la synthèse

Mais comme le grave est ?, aussi bien que !, et qu'il en va de même pour le futile, les ordres du discernement dans la clarté, se recoupent dans la tête relative de la jeune fille, mais pas en réalité si on considère que l'inquiétude qui l'accable n'a trait qu'a l'exigence d'un ressouvenir éternel d'elle même dont elle ne sait rien puisqu'elle n'en fait pas le poids de soucis a allegé d'un dire, ni ne s'y reprojette morte ou décoiffée, et c'est ce qui nous fait rire.