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16/06/2013

Sujet Verbe et compléments possibles

 

Un livre remis des mains même de la mort ; toutes les pages couvertes de son signe inconnu qui attirent et attachent l'oeil étrangement ; une calligraphie remarquable qui n'a rien de commun avec aucune écriture humaine ; mais une puissance d'évocation du trait qui recompose involontairement, et presque malgré lui, l'esprit du lecteur qui l'aborde pour la première fois comme on recentre un miroir accroché a un mur pour se voir, en entier, au dedans de tous les angles de la vie et du rêve des possibilités infinies ; a propos de chaque signe, toutes les origines possibles et connues des écritures recensées se confondent ; toutes sont inadéquates quoique le livre ressemble a chacune d'elles ; une fois que l'oeil s'attarde sur ces taches d'encres, il en remonte le cours comme s'il enroulait dans sa propre compréhension éternelle le fil de l'idée qui a présidée a l'intention de le créer et qu'il redouble en faisant ce que l'auteur attend de lui ; tous lecteur est dans la même situation que celui qui croit Dieu ; beaucoup l'ignorent parce qu'ils ne prêtent a l'auteur que le dédoublement de leur propres idées, et non, une différence absolue qui fait de la lecture du livre, un acte de recréation intérieure dans la communication existentielle de la visée transcendante de l'auteur donnant son contenu inconnaissable a l'idée infini du sens que le lecteur désir. Heureux qui trouve l'accord enfouit comme un trésor dans son champs de ténèbres! Heureux le vivant, mort a sa volonté pour découvrir qu'en lieu et place de ses intentions arbitraires, il peut agir fondé en esprit et en vérité. Heureux celui qui a chaque instant remplira sa vie des dons imprévisible de l'esprit ! Heureux plus encore celui qui croit sans rien recevoir en confirmation du témoignage de l'homme intérieur!

Avoir besoin de Dieu a chaque instant est le fonctionnement normal, sain et saint, de la subjectivité. C'est dans cette faiblesse constitutive du point aveugle qu'est toute la perfection de l'homme. Lorsque un non boiteux mais vrai aveugle se prend a vouloir guider les hommes autrement que pour ramener chacun a sa condition d'éternel instrument de Dieu, il les trompe de la pire façon. Son désir de guider n'est qu'une prévenance éternelle de l'égoïsme qui craint plus que tout de devoir se remettre en cause, de faire face a sa non-vérité, (or tant que je ne m'aperçois pas qu'il n'y a nulle par en moi une vérité sur moi même je n'atteins pas a l'effroi qui, les mains tremblantes, remet en Dieu toute vérité et dépasse alors toute angoisse dans une humanité parachevée en elle-même) et pare a cette éventualité en se mettant tout le monde de son coté. Le principe des coterie a toujours une cause anthropologique dans la peur du péché dont la formation des foules et des phénomènes de vie en masse sont l'expression idoine. Le démon qui était seul se retrouve légion florissante, mais le monde qui tournerait mieux si chacun s'en remettait a Dieu plus facilement qu'a son coiffeur ou son voisin s'effondre avec la catastrophe spirituelle qui fait l'ordinaire du désespoir contemporain des êtres sans image du fol amour. Bien sur tout amour procède de l'égoïsme, et y retourne, mais encore faut il avoir un ego dévoilé dans l'effroi de l'inconsistance du vrai qu'il porte en lui-même pour qu'il se démasque, et non seulement un désespoir caché de n'être rien qu'une faible parcelle de la substance de l'Etat sans vérité éternelle mais piétre incarnation du désir refoulé dans sa parure d'entelechie sociale. Or qu'en est il de ces guides qui égarent la conviction éternelle de l'homme intérieur dans la volonté de ne pas être mis en accusation, et la crainte de se révéler non-vrai? Ils n'ont tous simplement pas d'ego c'est a dire que leur désespoir est tellement immense qu'ils ne sont que pure mégalomanie, comme Don Juan n'était que pur puissance du désir immédiat non réfléchit. En ce sens ils ne sont frères d'aucun homme, ils sont fils de la Machine, êtres aux dimensions du Système qui n'en reconnaît aucun hors abstraction de ces mesures abstraites, et qu'ils adorent comme un juif le talmud et le Pentateuque réunit dans la loi mosaïque. Et si vous leur dites que peut être ce monde manque un peu au plan politique d'amour entre les hommes, ils feront la moue comme si vous leur parliez dans une langue étrangère d'une chose qu'ils ignorent, et avec le plus grand mépris retourneront s'enfermer dans leur conclave de choux de Bruxelles, mettre au point la touche finale du décors du monde parfait parce que le décorateur d'intérieur, payé par l'industrie pharmaceutique qui fournit les échantillons d'eau stérile nécessaire a l'hydro-culture des tomates sous serre destinées au bétail soigné au principe de précaution, leur aura proposé un choix cornélien a faire entre le rouge grenats de la pink lady et celui plus lie de vin de la gala des prés....et qu'une règle en l'occurrence s'impose impérativement, si on ne veut pas que l'Europe des connards qui ignorent ce qu'est une pomme, ne retombe au néant, après des siècles d'empilement poussiéreux de la lumière, que dis-je si on ne veux pas que le monde soit sans loi eu égard a la mesure, au poids et aux couleurs spécifiques de la courge et du cornichon. Les hommes politiques de notre temps sont ainsi tous fait de cette glaise informe d'énarque inconsistant, qui n'attend que la concentration de tous les regards de la masse média pour se cuire en idole traînant derrière elle son lot de monde plus sur, plus parfait et plus certain que le royaume de Dieu lui-même. Et tout serait effectivement dans l'ordre si l'existence des hommes n'avait aucune réalité, si chacun comme un personnage d'Hoffman n'était qu'un assemblage de pièce de verre et de balais brosse indifférent a lui-même.

Le mépris du peuple n'est pas un question de personne, mais la conséquence des occupations stupides au plus haut point de toutes les fonctions de l'Etat ; ces affairistes du système qui ne vivent que de faire perdurer la gabegie de lois et de réformes inutiles qui architecturent un monde ou plus personne ne vit. compense le manque d'education véritable au langage qui seul ouvre a la conscience de soi, par un surpeuplement des prison et un florilége de lois s'et de reformes s'enfoncant toujours davantage dans l'insignifiance de l'angoisse qui au fond est l'unique résultat politique de leurs actions alternatives sur les hommes. Nouvelle prêtrise d'Etat, aussi incurable que les caves pédophiles du vatican elle creuse comme un peuple de vers les murs de l'incompréhension qui la sépare des hommes autant qu'elle la met a l'abri du besoin et du regard de dieu ou jubile sa vaniteuse fatuité grasse de trouver dans l'insensibilité au monde de carton pâte qu'elle a bâtie l'entéléchie du vivre a son degrés le plus intense de la passion. Ce qui certainement les noieraient dans leur illusion égotiste si on les laisser faire, mais n'y noierait qu'eux, et certainement ne résolverait pas les problèmes du monde qu'ils bâtissent faussement et aggravent en fonction de ce nombrilisme dont ils se veulent le centre du décors, la ou il devrait plus être question d'autre chose que d'education et d'edification des hommes a un monde qu'ils n'ont nullement besoin de bâtir, mais a recevoir dans une ouverture d'esprit qui leur manquant, passera éternellement et a jamais a coté de tous les monde bâtie sans âme. Car le moi se révèle justement a travers cette mise en accusation de ce qui lui est cher, de ce qui fait toute sa raison de vivre et de mourir. En ce sens tout homme politique est un être a l'humanité foncièrement dépravée et pourrie, tout simplement parce qu'aucun n'enseigne a marcher dans la voie du développement de l'homme intérieur. Sa volonté n'est pas l'expression d'un désir lucide, devenu sobre dans la compréhension de sa contradiction interne qu'est sa mort nécessaire pour recevoir autrement ce qu'il pourrait, peut-être, aussi appréhender et se donner par lui-même illusoirement ; et sous son apparente bonne intention aussi épaisse que sa bonhomie se cache la violence la plus effroyable du moi qui se croit sauvé et revenu de tout sans avoir fait jamais la moindre expérience de sa perte  et ne voulant bien souvent, jamais en entendre parler ; car l'important dans le désir n'est pas son objet, qui est toujours l'un, mais la manière dont on s'y rapporte ; en esprit dans l'humanité du livre qui conserve une image de soi, ou en force dans l'immonde inhumanité de l'amour égoïste qui exprime partout sa haine de l'ego qu'on n'a pas, et qui se masque sous l'apparent effort de solidarité et le bois des grand mots ; la mort en soi et la vie en Dieu, sont notre origine commune ; et quiconque n'a pas été brûler et réduit en cendre par l'effroi de la révélation de son péché, de sa non-vérité, ne peut être solidaire qu'en ce qui ne remet pas en cause sont bien les plus chers sur cette terre : lui-même ; car ne nous y trompons pas, il est facile au poète de dire qu'il aime son autre plus que lui-même, mais beaucoup plus difficile de se sacrifier vraiment pour lui ; c'est une humanité de surface qui masque un démon toujours assoiffé de sang des que l'obstacle arrive. Les obstacles de la vie sont pour lui toujours ce qui arrive de l'extérieur, jamais ce qui remonte du fond de sa mort et exige son tribut pour que tout soit dans l'ordre de l'esprit plongé dans la plénitude du temps.

14/06/2013

Aphtes

Une lanterne frontale pour l'exploration des trous de lampe ; un toit en rupture de banc ; une couronne d'épine macérée dans le cerveau d'une sainte ; un alambic du massacre pour la soupe a l'oseille ; la liste des courses éjaculée dans le chariot de Pétri ; le déficit des richesses en plus value des déficits ; le steak du macaron a l'américaine ; le prêt a spolier ; le singulier crédit d'une dette universelle ; une dette universelle qui accrédite chaque singulier ; une procuration des vies consignées chez ma Tante ; un compte en suisse au crédit mutuel ; un pied de biche cruciforme pour réparer la pince MonSeigneur ; un crève coeur de baudruche et ses fléchettes d'Appolon ; un passe port illisible estampillé : dette mutuelle d'amour ; les cendres d'une combustion instantanée de la seconde puissance de la conscience ; les ailes de l'angoisse dans leur sous-verre ; un trou de verre dans les replis de la conscience de l'espace-temps du rêve ; un regret relatif au manque d'anagramme dans la bible ; la paix des cartes épinglée sur le vide ; l'araignée du silence dans sa toile en bataille ; un terminal de la terreur dans les bourses du gardien de cage ; l'équilibre de l'amour dans la civilisation globale de la dette mutuelle  ;  un tue mouche a monter soi même, glu et papier séparés ; une longue vue capable de couvrir tous les péchés ; une économie pathétique de ceux qui grandissent en fonction de ce qu'ils en comprennent du sens de l'être ; un navigateur gps qui bug hors les murs ; un formulaire d'imposition des charges dans les mains insolvables ; une rente a vie du flux des balances commerciales dans son délit d'initiés ; une banqueroute qui peut rapporter gros ; un matelas nouménal des encordés de la finances qui dévissent sans parachute doré du sommet de leur mauvaise conscience ; un séjour chez Pasteur pour les enragés du fric ; les pompons du risque dans le chapeau du magicien ; le sourire du chat d'Alice et le lapin blanc croisé de Moby dick qui disparaît lorsqu'on lui lave les dents ; un piège a dentifrice pour écraser la finance ; un état de la conscience réduit a un fantasme sans vérité ; le carrousel véloce d'une accusation éternelle ; un microscope électronique de la police des moeurs ; deux forts volumes de Pantragruel l'Inquisiteur ; un balais d'oseille pour la chasse aux sorcières ; un point d'orgue dans le silence qui s'enfonce comme un bouchon dans les profondeur s insondables de l'esprit ; la quatrième mesure de la truite de Schubert fumant comme un joint dans le cendrier palpitant ; le huitième du quart d'un commencement qui s'attarde le soir ; un tableau adamique de la démesure qui gagne sur tous les plans ; le boulier d'un bouclier fiscal dans sa trousse de premiers soins pour rapiécer la science des cons ; un spasme de la damnation dans les décharges de rages vierges ; le dernier numéro de la parution d'un quotidien éternel désinformé ; une quille fluide et sa rame en A4 pour naviguer dans l'imagination ; tous les états de la matière précipités dans les flux internationaux de l'ex-change nombriliste ; l'absolu de rose en spéculum auriculaire ; une cheville ouvrière dans la mécanique d'évaporation de l'Etat des liquidités des sueurs ; un ciel en hausse indexé sur le prix des famines ; une métabasis prête a ne rien céder ; une dette d'enfer qui peut tout racheter par miracle ; pleure et tu pisseras moins au lit ; un arrêt de travail des cornets brûlées par la fascination des richesses ; une mise en bouche de l'éblouissement des vapeurs d'airain fuyant les bouches de métro comme la peste ; une atlante captive des yeux ; la ceinture de contention stellaire d'un monde sans pardon ; la dernière condamnation a mort de la poésie ; la première poussée de la jungle dans les terminaux boursier ou seul être digne est interdit ; une règle du jeu sans règles ; un enfant de bohéme tractant les muqueuses dans son cachet de cyprine ; les calendes grecques de la finances ; la mort pour projet politique et constitution républicaine ; une volte face de Caîn qui torture l'innocence jusqu'à la culpabilité ; une science financière de l'humiliation ; un procès verbal a l'encre sympathique ; un échantillon de Carmel numéro cinq pour les gens foutre ; les doigts d'amande des pervenches rue Lepic ; l'amour d'un monde qui ne colle plus a la peau ; un halogène de lumière glauque impropre a la reproduction des faits ; une centrifugeuse a flouer le développement des films ; un portrait de Dorian noté triple A par les serrureries Fichte and Poors ; un lot de ficelle ex machina pour les mollahs du décors de l'effondrement durable ; un buvard des lignes de compte en éponge Marianne ; tout un lot de paires de couilles a greffer sur les banquiers pour qu'enfin ils éprouvent un sentiment humain au moins une fois dans leur vie avant de pourrir en enfer



13/06/2013

Hausse du prix des famines

Paradoxalement le règne de la finance est celui d'une dialectique de la pure immanence dans les catégories usurpées du langage de la dette, du lien a l'être, du langage de l'Esprit et des catégoriques transcendantes qui n'ont de réalité et de contenues que si on commence par les reconnaître et les distinguer de celles de la pure immanence. Si on considère que la finance est par essence une indexation du temps dans sa totalité a un logos de la pure immanence, alors la ou règne la finance, il n'y a plus ni passé ni avenir, ni Être, mais seulement le reste incompressible du langage fondamental de la dette. L'instant alors est détaché autant de l'héritage du passé que dénué de projet d'avenir ; et si l'instant cesse d'être une césure dans la discontinuité de la nature et de la liberté, il cesse aussi d'être un lien de la liberté a elle-même dans son dépassement de la nature ; de la sorte plus aucune fonction de la culture n'est possible, parce que la culture qui ne rétablit pas la dynamique subjective du devenir esprit du moi dans son opposition a l'immédiateté et par la médiation du logos dans les catégories de la transcendance qui sont celles de continuité du moment dialectique de la liberté a chaque instant, dont on ignore les tenants et les aboutissant, est morte purement et simplement. On peut construire tous les stades de France qu'on veut, gagner toutes les coupes du monde tennis ça ne change rien a cette état létal qui fait de la vie de tous, un désespoir ordinaire. La culture au contraire se transforme alors en arme de destruction subjective, qui aliène les hommes a une dépossession de soi qui va toujours plus dans le sens de l'insensibilité a cet état de choses ; et plus grave, contraint chacun a l'inversion des valeurs qui font des innocents les responsable de la dette ...envers la finance qui s'attribue le langage de la dette ontologique.

Or le langage de l'argent est devenu la langue naturelle de la plupart des hommes sur cette terre ; au même titre que la langue de la foi habiter et édifier l'existence de nos ancêtres. De sorte que la pure angoisse insignifiante de l'instant ne peut plus retrouver sa puissance structurante tant que l'identification du langage de l'argent avec le sacré perdure. Mais identifié au sacré le nihilisme absolu de la finance s'arme contre toute critique en désarmant la critique par un essor de la culpabilité qu'il faut renverser pour supprimer le refoulement salvateur. Or pour cela il faut croire ce que dit la langue sacrée : ne vous souciez pas des richesses de ce monde. Aucune civilisation ne peut plus se bâtir, parce que le socle de la charrue de la finance n'entame nullement la fertile terre de la subjectivité, mais l'effleure seulement a sa surface ; mais en outre il n'y a plus ni effort ni récompense de l'effort ; parce que le temps saisit en sa totalité, la totalité du passé ouvrant sur une totalité de l'avenir, n'est pas en soi la condition d'une présence de cette synthèse redoublée au coeur de ces éléments en rapport ; si la récompense de l'effort est immanente a l'effort, alors elle devient dialectique au moment même ou elle paraît dans le temps, et ainsi n'est qu'une illusion, un spectacle de récompense, et un simulacre d'effort, qui s'il devait se transformer en passion révélerait non qu'il tend vers sa propre suppression mais qu'il use toute son énergie a masquer sa contradiction. Paradoxalement, la ou règne la finance, qui se veut une axiologie darwiniste des valeurs sociales, il apparaît tout le contraire, qu'aucune valeur ne résiste a son acide corrodant qu'aucun logos ne signifie plus un sens, mais qu'au contraire, le désespoir s'installe partout ou le rapport a l'un sans lequel les hommes ne peuvent plus se comprendre cesse d'être la verticalité sacré, absurdement immanente au logos comme est présent l'éternité de l'amour dans ce qui fait toute la noblesse et la dignité du mariage entre les amants dans le temps ; la finance suspend toute valeur, imprègne l'humus social d'une inversion de l'image qui devrait habiter tout homme en constituer la passion de vivre et son intérêt le plus cher a en dénouer la contradiction ; dire que la finance est le mal absolu de la post modernité serait encore un euphémisme ; c'est que sans transcendance toute édification devient impossible parce que la distinction d'une valeur revient a la remettre en circulation dans le relatif. De sorte que le règne de l'or est bien un règne de rayonnement d'une valeur unique, mais absolument négative. Rien n'a plus de valeur sinon celle du moment ou un semblant d'ordre s'établit autour d'une projection du désir, toujours reniant sa subjectivité infinie et infiniment négative qui déplace la récompense dans le domaine de la transcendance. Ainsi de bulle en bulle la finance instaure un mode d'être au monde ou l'instant n'est qu'une tension angoissée cristallisée autour d'une mode. Ce nihilisme est la conséquence du matérialisme dominant (une piètre idée du désir, non comme incognito de l'esprit, mais comme besoin qu'un certain ordre du monde pourrait satisfaire) qui, en l'absence d'une culture de la reconnaissance de la réalité de l'intériorité subjective de tout homme, a extériorisé par inculture, cette négativité infinie et infiniment négative de la subjectivité dans la pseudo valeur démoniaque de la finance. De sorte qu'il faut s'attaquer a la finance comme a un symptôme de l'inconscient comme a un fétichisme du néant.