10/11/2013
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Abraham n'a t-il pas voulu tuer son fils? Une idée a rendre fou brûle la langue jusqu'à la conscience ; la langue du pére qui traversa Abraham d'une transcendance de sens en chair réellement ; désigne le père meurtrier qui ne se dit pourtant pas poète mais père du mutisme nouveau escaladant Morija une arme blanche a la main, aiguisé sur le fils de l'homme qui tranche le fil de la paternité physique de la narration et raméne la conscience face a son inexistence première, in-signifié qu'elle retrouve dans le sens du motifs devenu transcendant ; briser la lumière et mettre le cercle de la promesse a la nuit, c'est introduire au plus profonds de la conscience, l'événement d'une autre naissance, capable d'ébranler les fortifications crenneleuses de l'anthropologie en contact avec l'oubli ; en se brisant dans la tribulation sémantique du paradoxe, un in-dicible jaillit de la langue comme un liquide pétrifié, ce corps de liège sculptural se peinture, comme une scène de crime ou n'apparaît pas le sens du motifs, mais juste une folie de volume impossible a comprendre dans un fond plat a deux dimensions, ou semble se scinder en deux tout le visible, et surgir de l'impossibilité de dire le réel sans le tuer, le ramener a une simple possibilité agissant comme un acide sur la subjectivité, la possibilité de dire l'impossible conceptualisation de la réalité, et rendre palpable l'étrange éclosion de la lumière , qui comme un bouc surgit de la herse qui ceinturait le parc, la création du monde renouvelée ; du cataclysme toujours on voyait deux hémisphères de cervelles, se reproduirent l'un l'autre, dans l'âne et le bouc, Onfray et Sollers signifiant la fin de toute vie intellectuelle française, acclimaté a l'heideggero-hédonisme du solipsisme le plus inconscient, le plus fermer a toute forme authentique de réflexion sur la valeur absolue du lien qui lie le secret a sa clefs ; supprimer la transcendance du sens, et tout devient plus que facile, faux ; d'un coté on perd l'intériorité, car Heidegger n'est qu'un plagia éviceré de l'Oeuvre kierkegaardienne ; de l'autre on prétend établir sans paradoxe, une loi des plaisirs et c'est le sens du réel qui est perdu ; dans un cas comme dans l'autre le paradoxe redevient un jeu impie avec la structure la plus fragile et la plus décisivement constituante de toute personnalité : l'impossibilité de dire l'être sans le faire disparaître. Il faudra peut-être encore un bon siècle avant que les descendants de ces faux philosophes ne finissent par lire les écrits de leur père et par comprendre que le philosophique dans une oeuvre est toujours ce qui relève du secret et non ce qu'on expose, et qu'ainsi petit a petit, les intellectuels rebroussent chemins, et remontent de leur fausse philosophie, mais vrai nihilisme qui réduit l'être a un événement impersonnel, jusqu'à la Foi qui voit dans la Parole, l'ontologie d'une communication existentielle ou Dieu donne a être au personne qui ne sont rien par elle-même, et tout par Lui
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