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08/01/2014

note

Le lieu c'est l'ancien temple de l'amour aux portes éventrées et sans flamme symbolisant sa renaissance ; le temps c'est la pluie diluvienne qui arrose la carcasse de rumeurs présupposées bruissant encore d'entretiens avortés et gelés dans les murs et l'espace inextricable et empoignant des forets, ou les poignards jouent des rôles dans le silence, et surgissent de nulle part masqués; c'est dans la foret ou passe la mort de l'illumination du couple, que va se jouer la partition en image du mouvement décomposé; c'est l'absurde extinction du temps des apparences, le basculement dans l'absolu qui plane, qui vient qui gronde comme un orage plein de foudre  et qui avance sans récit entre les pins chandeliers aussi rugueux que lugubres; par ou vient-elle la mort? C'est indiscernable, c'est caché a toute science, c'est celle qui plante son chemin comme une bête que rien n'assomme; et quand elle aborde c'est pour consommer l'histoire  de l'esprit incarné, anéantir le défilement pas la durée.

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