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11/03/2014

sans titre 7.11 (en cours)

Le passant est la voie immobile de la route sans fin font marche ensemble dans le rêve de la création de personne qu'ils se partagent, chacun a part, pour que nul ne puisse égaler sans être reconnu, confondu en sa chair immolant tout et rien mêlés dans les rues du polissage de la lentille du plus vif éclat. Du Tao tout sort donné et pourtant racheté au prix du vif sur le marché du gros  détaillé mondialisé de la vente a perte. Et depuis que les horaires des trains sont fondus avec les dates de la saison de pêche dans l'almanach, il est . Impossible de rien distinguer de possible  hors de ce monde qui engloutie les hommes et leur vue dans leur perte. C'est le brouillard complet si l'une par l'autre les opinions ne se défont devant la corne d'abondance. Un ouragan d'échos radians tourbillonne de glu lisse au-dessus de la plaie du cocon des faveurs au jour des naissances autrement monotones.

 

Ses ongles renseignent le secret, d'une image qu'elle seule perçoit, au cas ou il serait trop tard, ils l'ont tracé sans ma faveur, en mon esprit plus qu'en ma chair qui n'est plus là, pour elle, plat disparu du mercure de son esprit, fraîche victime jetée en herbe a l'oubli, traversé de réserves réduites a être sans importance, bouchons, pions comme le reste, comme le reste de l'appreciation de soi qui change, passe d'un extreme a l'autre, de l'orgueil a la culpabilité, une frequence radio qui larsenne et qu'on peut supprimer, en etant sans autorité en sa conscience, libre a moi de l'aimer trop en la mienne, ou se trouve l'équilibre, dans la norme dont je me contrefous, l'equilibre de ma passion addictive est le renoncement qui libere une vision de l'amour liée exclusivement a l'adoration d'un seul visage, c'est la voir acquerrir sa liberté de penser, son autonomie complète acquise avec le dernier lien rompu avec toute sa terrestre incarnation qui la nourrie d'une pure et farouche temerité féminine, la laisser s'envoler tendrement comme un oiseau qui n'oubliera jamais son premier maitre, est la chose la plus merveilleuse qu'il m'est été donné de voir s'accomplir en moi-meme, et en cette vie, même si ce fut au prix de faire connaissance avec la réalité d'une souffrance sans fin, qui est bien un acte eternel ayant un commencement dans le temps,acte qui doit etre renversée, subvertie et d'abord éprouvé et vécu bien lorsqu'on se voit s'eteindre sous son crane avec cette étoile qui illuminait jadis son front, ; j'avais la certitude qu'en sa lumiere briller autant qu'elle ma propre lumiere, et voir cette image de moi qu'elle conservait depuis si longtemps en elle, comme un ultime tresor de grace face aux perils absolue de l'existence, et moi mourir de m'etre vue conserver a titre de talisman en un etre vivant d'idealité et de grandeur d'âme m'etais survenu comme le premier miracle de ma vie, en sirène, repêcher les noyés de larmes, et tendre la torche de la dernière rupture a l'oeil des ciseaux, et autre coton du lien transformé en barbalés qu'elle provoque et nous traversent de part en part comme quelque chose de concrètement indéfectible; notre fond irréel en est tout ébranlé mais selon son coeur encore figé dans l'absolu lorsqu'elle plonge la main dans les massages de instant elle s'empare de tout absolu manque de grâce et le déchire avec les dents de l'oubli; la nymphe a nouveau s'interroge sur le sens du monde, et sa chair de poisson prend des teintes de terre qui a nouveau s'interroge, en soi, profondément comme une foret qui respire le souffle pénétrant; parfois elle pense a la manière d'une prière, parfois elle se déchaîne avec violence dans sa prison de chair jusqu'à l'orgasme.

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