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11/04/2014

note

Élever le réel a l'idéalité est impossible (contrairement a ce que croit le progrès et en regle générale l'éthique première qui travail dans ce sens, c'est a dire dans le sens de l'impératif pratique kantien) sans s'anéantir dans l'aporie de l'ignorance et sans la culpabilité ou je reconnais mon néant, et devient l'être existant dans l'idéal devenu réel.

La chute de l'ange permet la décomposition de l'intuition idéale de l'éternel (qui en soi n'est que confusion et angoisse intellectuelle) dans la fragmentation sans fin du temps ou l'idéal devient réel par l'anéantissement de l'innocence angélique d'Adam faisant de ses choix les viscères de son corps de gloire auprès de l'amant dont il est le secret; c'est alors que le réel est élevé a l'idéal de l'intuition sous la motion de la liberté qui doit faire la vérité pour entrer dans la lumière...reste alors a se repentir, car l'inscription dans le temps découle de la naissance de la culpabilité qui dénote a priori la possibilité d'un progrès ontologique, loin devant l'éthique première qui patauge dans le discernement du bien et du mal déconnecté de la tache liée au devenir, d'élever le réel a l'idéal par l'anéantissement de soi.

 

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