Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/04/2014

Tout homme devient stupide par sa science.

Au loin la ville, ou ce qu'il en reste de la communion, fermée sur elle-même, dissolue et grouillante d’incompréhension comme l'immense nécropole du présent en dépression permanente, en crise pressé par l'outil de presse géant qui vit de sursoir a la bonne nouvelle, préparant la béquet quotidienne a la masse media bétonnée aux armées du salut des temps de cerveau indisponible et congestionné; l'énorme imprimerie du savoir de la manipulation mise sous presse et sous tension, trône en son centre, en cervellant de bon matin sa daube d'informations consanguines et suffisamment débiles pour occuper a la journée, l'intérêt éternel de l'ouvrier embrouillé de milles nœuds impossibles a défaire, serré comme un écrous aussi absolu qu’éphémère aux circuits imprimé du formatage autorisé des réseaux qui iriseront ses bras et ses jambes des luminions conceptuels les jours de foire de Bengale ; plus loin encore, sonnent les cloches de la très douteuse culture de papier qui n’émet plus que des sons de coton dans un melting pot monstrueux, une cacophonie d'enfer, un mur du bruit bâtie par l'argent ; et au sommet le vide, l'air humide déverrouillant le ciel en trophée de l'unique production spirituelle, sculptant l'humain fêlure façon resto u, façon bouffe infecte apparue dans les supermarché les soirs d'orages, pâté pour chien réchauffé au soleil des limaces et des aticots par nuées; a l'ouest, les usines, ou se préparent les condiments du moment recalant les cerveaux dans l'orbite de la projection du film en cours de production globalisé, de dépouillement consentie au miséréré; et aux fenêtres les familles scrutant un ciel de carte postal qu'un buraliste fait tourner sur un tourniquet de fer rappelant l'existence d'un monde ou la communication ne serait pas du cinéma, et signifierait vraiment la mise en rapport des éléments de l’éternel roman; mais en bas dans la vallée flamboyante, au sein des intestins du système le service de presse est au commande, et rabat l'exigence incompressible de l’éternité comprimé en l'homme, sous la coupe du profit incompressible de peine assuré supplémentaire aux mourants dans la quiétude démoniaque et morbide du confort que leur inquiétude a peine éveillé, étouffée,  leur aura permis d’acquérir sur terre au moment de la quitter pour aborder l'autre Bien dont ils ignorent le souci terrible; peut-être s'imaginaient ils qu'ils recevront la félicité comme le premier prix d'un jeu télé, un prix d’académie, un paquet au pieds du sapin ou sous la forme d'une traite volontairement consentie de cinquante mois a quatre pourcent pour l’achat d'une voiture dernier cri, rehaussant d'un ton le timbre déjà tendue du relief nocturne de leur cadre de vie prêt a exploser et sous pression.

C'est le temps de l'organisation de la lumière dans la conception hertzienne de la déchetterie mentale, puis satellitaire parabolique du numérique et câblée salut cathodique illuminant d'une voie sans timbre les taupinières du néant. Le temps de l'insalubrité spirituelle et anonyme qu'on tue en masse au vingt heure de messe quotidienne pour l'argent, le temps des incendiaires synaptiques consentie et brûlant les frontières de la confusion se gargarisant de l’Éden en poussière dans l'esprit de leur présence féroce de prédateurs errant par le monde; ne soyons pas méchant volontairement, les meilleurs d'entre eux savent qu'ils sont a la recherche d'une absence sans fin de leur réalité propre et que cette complexion spirituelle peut très bien se cacher sous l'amour de l'argent.

Mais l'homme appuyé sur la frontière s'avance maintenant en lui-même et entre dans son propre champs de vision; il sort du cœur infertile de l'outil de presse géant qui sert aux hommes d'exosquelette des handicapes du cœur a restaurer la communication pour mettre au point les plans et réaliser, les prototype sociaux des usines cadres en vue de la perennité monarchique de l'unique valeur du règne infini de la perte de conscience; usines qui enfin adapteront l'animal le plus rétif a l'avenir de la télévision en lui concoctant au plus vite et sous vide, tous ces bons plats photogéniques entrevue a la chaîne de l'intuition démembrée et désorganisé en chacun d'eux. Car c'est un cloaque sans borne que leur intelligence élabore en permanence, un festin indigeste qui s'interpose entre l'œil et la cornet du cœur qui les maintient dans le coma généralisé a coup de corsetage jurice-prudentiel.

Et au milieu des fumées et des vapeurs toxiques, par zones hiérarchiques d'ordre de grandeur de l'appétit des vautours, la rumeur permanente du monde circule et rogne sur le relief des vrais sentiments; une fois coupé de sa racine, l'arbre meurt, le cœur perd sa séve, se tend a l'impact de la lumière, sans plus laisser venir a lui la réalité nommée; cette ardeur passive devient incompréhensible aux mots creux de la ville media qui les agitent comme des briques capables de construisent la lumière des réputations, et trompe jusqu'aux musiciens qu'une neuve sensation de dégoût envahie quand ils conservent l'impression des légendes et des fables authentiques.

Et comme en toute meute, les dominants dominaient leur propriété comme s'il s’était agit de toute leur parcelle de vie pavillonnaire concentrée en chose bien connue et bien délimitée, se posant en propriétaire négligeant leur possession infinie, pour se consacrer acharnement au maintient et au développement de leur cent vingt mètre carré d'espace clos ou l'intime ne déborde jamais des anneaux de basket pour se perdre dans l'infini et revenir les encercler des anneaux de saturne charger de neige galactique comme autant de plumes du vieux chef sioux; en grande banlieue de la périphérie du ventre de la ville, ou ils descendent en viré expéditive, crasher la tension de la semaine, par le siphon d'alcool; l'ivresse est leur totem, leur attrape rêve par lequel ils évaporent tout ce que leur esprit peut concevoir de distorsions structurante; rejettant tout, devenant mauvais, en vraie démons du silence, ils passent leur jours a gravir l'étang marécageux de la semaine, comme des mouches pondant leur œufs dans la charogne d'un escalier de temps en ruine; et si l'humeur ronronne parfois égal a elle-même, c'est que le point de comparaison en eux s’évanouit et se dissout dans les rires et la dope ; aussi, généralement, quand il leur arrivait de se réunir entre voisins, ce qui n'arrivait que très très rarement, se contentant la plupart du temps de l’indifférence civilisé qui stylise l'humanité soumis a l'efficacité machinale, ils s'apercevaient fugacement que malgré leurs âges avancés et leur position sociale accrédité, ils n'avaient pas encore commencer vraiment de vivre, de mourir a eux-mêmes pour devenir transparent; ils s'en apercevaient alors parce il sentaient qu'ils n'avaient pas de temps a perdre avec les autres, et que secrètement, comme une didascalie rentrée en leur fort intérieure, ils considéraient a priori tout homme comme une embrouille possible, une pelote de crin qui finirait au placard; en eux la conscience était encore un mur de lamentation qu'aucune larme n'avait rendu transparent; ils n'avaient pas assez souffert, pas suffisamment désespéré pour se rendre compte qu'ils préféraient le tricots laterral de préférence a la kalache entre deux bennes a ordures pour les cadavres civilisé de la base au sommet de leur esprit fermé; mais malgré que les temps de guerres et de paix ne sont pas des temps commun a tous les hommes en même temps, les moins insensible d'entre eux, ceux qui avaient le plus loin glissé dans le mixeur du désir et qui étaient prêt a ouvrir les yeux, savaient que l'horloge atomique de l'ocuménie fraternelle existe en toute conscience ; et a ce moment ou a nouveau ils pouvaient se laisser glisser le long de leur pente naturelle, ils se rendaient en ville, pour l'oublier, parce que c'est en publique sous les yeux du général, que la conscience du commun disparaît pour laisser libre cours a la conscience individuelle et propre éternellement ; c'est en son centre que s’opère la disparition du manifeste, et que courent les amants sous les apparences trompeuses, vers le vice libérateur du scandaleux poids d'esprit réarrangée au dimensions de nos cellules conceptuelle en gestation ; mais gratuit comme l'amour fou sans lendemain, l’épreuve du franchissement du bain de bulle touchait a sa fin, et les éruptions de violence qui trahissait les premières manifestations de l'esprit sortaient des condition de la première confusion alcoolique des gestes gratuits, explosait en violence vindicative et sans fin se retournant contre elle-même, elle se transformait, passait en elle-même, devenait consciente, s'apaiser, et convertissait toute l'obscurité en lumière caché par notre faute ; ce n'est pas l'homme qui instruit l'homme, c'est dieu qui instruit chacun, lui donne une taille a Sa mesure; mais leur rêve comblés de songes publicitaires leur épargnerais a jamais l'inquiétude nécessaire a ce genre d'ardeur qui a tous le moins commence la ou tout a toujours commencé, la ou elle se retourne idéalement sur sa vie pour en avoir la lecture éternelle comme la vision d'un fil qui relie l'embryon a dieu ; cette ardeur a son zèle comme les crocs qui saisissent la proie, elle harponne la chair inquiète jusqu'au tremblements, dépose en elle sa question du geste honteux ou le concept colle a la chair, mais aussi, avec la question, l'incertitude qui ébahit la tension, renverse le dionysiaque en apollinien ; les rumeurs circulaient des otages décédés aux rouge a lèvre de goût des actrices; l'une d'elles était coiffé d'une racine de radis, les feuilles de choux aux oreilles, elle se jouaient a elle-même la comédie, face au miroir plus profond qu'elle, mais s’éprouvant en lui a plus proche d’elle-même ; sa passion ne s’était jamais démentie, elle était actrice en ayant éprouvé qu'il lui était plus facile de traverser le temps en y jouant un rôle dans une pièce imaginaire supposée connue de tous, ou son humilité ne s’attribuaient pas d'office le premier rôle, mais souvent le plus ingrat, comme celui du spectateur essentiel qui ne perd pas une miette du soliloque de la vielle sorcière avec elle-même et en paix le prix de la conviction; et qui trouve en elle un temps complet, un temps habité par lui-même, un être, qui se déguise et joue un rôle pour apparaître ; parfois elle se dénude en lisant face au miroir ; le rôle qu'elle joue est écrit dans la pièce dont elle seule a la lecture ; mais a son air il sait, le spectateur unique de cette pièce étrange que l'actrice fardée de no est autre que son rôle... a moins que folle, jouant vraiment a son idée, elle est rompue les amarres du temps et qu'elle finisse par ne plus jouer que le rôle de la femme passionnée qui dépérit de son impossible amant. Chaque instant est un écart trop long pour elle, pour qu'elle en franchisse un seul sans s’évanouir a son approche tant en sublimant la distance pour agrandir la venue, elle avait forcé son coffre-fort d’idéal refroidit et s’était laisser perdre en son trésor; parfois elle couine et se jette, sans raison, a terre dans un coin, le visage pris dans le pli du mur ; personne a ce propos n'est certain de l'avoir répertorié dans l'inventaire du décor de la TWA qui fut détruit en Memphis en 1953 et retrouvé au catalogue de la redoute ruiné lors de la lecture du procès verbal au tribunal des liquidations; parfois, elle sort d'une malle comme une poupée sans fond, qui se chiffonne dans la glace.

 

Les commentaires sont fermés.