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08/06/2014

sans titre (en cours)

Quand Uzéciel eut effondré la terre ou le pas d'un dieu avait manqué une marche en disparaissant, il jaillit du degrés manquant les dieux de la mécanisation de l'information, qui inventèrent le récit de leur propre invention gravé au fronton des stèles boursières qui les représentaient mascarons de la clefs de voûte du continuum mensonger, chevauchant vainqueur et tout puissant, des explosions d'arc électriques dans les fenêtres des communications ; vampires aux squelettes de fibre de verre, incrusté comme des tiques dans l'or des sens, il battirent le carcan aussi souple qu'invisible, aussi léger que contraignant, de la sphère électrique tranchant dans le vif la cinesthésique artère du continuum d'espace-temps d’où s’échappaient en volute d'image sonore tout un chaos cosmétique propre a renverser la terre en un pur réseau de remugle semblable aux constellations des tensions qui peuplent de fantômes l'univers du signe mort.

La grande dilatation sensorielle put commencer, sans queue ni tête, mais de nul défaut protocolaire au zéro du hardware quotient de micro-méga ; l’épine blanche de la fulguration mordit la terre devenu indigeste, le rictus aux lèvres de l'anorexique trouble des digestions sensorielle de l'imagination, le barde enta sur les sommets des plus hautes montagnes, les relais du halo qui devait transformer la boue en écrin de lumière brodant constellation confondante ; de l'idole synthétique qui avait éclipsé les ténèbres du dieu mort, les bâtisseurs de brèches aussi grandes qu'invisibles, recouvrirent des labiles néons l'aurore muséale des anciennes lumières ; l'histoire s’était éclipsée derrière le temps en décomposant les corps en stalagmites de foutre âpre au gain dansant dans la poudre du spectacle permanent.

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