02/07/2014
sans titre (en cours)
La double peau du miroir de notre propre scandale nous retint dans la logique de l'humus pourrissant, qui avait éclaté comme un arbre sacré plein de fruit noirs pendu a l’artère d'ombres au cordon ombilical irriguant le cerveau des ballots de paille dégorgeant de la grange du magicien d'oz; le développement de la pensée qui est retour a l'impensé, laisse comme un vide d'humour que la violence des apeurés de la lévitation expurge dans la ritualisation du compos de la haine éclipsant toute lumière dans les régions glacières de la ballotte sans pouls des boues qui se redressent dans le vent ; le pentagramme syllabique des étoiles de chiffons déchirèrent au coupe coupe les milles voix de violence des organes de la loi des lamelles ; la vraie difficulté, le seule et unique est de surmonter le scandale de narcisse affolé apeuré, d'avancer sans repères tel nemo la boussole déglinguée par la proximité du pole, d'avancer sur le rien du projet de l'amour quand sa voix prend la mesure de l'avenir non en définissant ce qui vient, mais en abolissant ce qui interdit de le recevoir et qui ne peut se représenter, le don atopique a l’intégration des données de l'information au système du big data rentre en résonance avec le le vide contractant du report de peine; à suivre la fertilisation croisée des concepts du génial archer la pointe de l'intelligence artificielle enfoncer dans le dépassement de soi sort du tombeau et touche l'autre bord, celui auquel l'amour touche toujours et qu'il n'a pas créer mais qui nous incendie de toute ivraie et chausse trappe ou se prennent les pieds ailés de l’élan indépassable; nos corps sous l'effroyable tempête d'orchestre tire au pire nos âmes tant est si bien qu'on ne peut vouloir que se sacrifier, et fondre toute la glace qui nous enroulaient comme une autre peau dispensé d'organes directement faite de vision et de la lumière enfermé dans le cristal de nos os, les flocons formaient des ramures d'arbres en chair tournoyante comme des nombril autour de nos moelles en bénédiction, il est impossible d'aller plus loin quand on touche a ce bord révélé, tout reflux, tout mépris, toute velléité de rébellion s'eteind dans le feu de l'adoration, comme est chassé de l'adoration des foule, toute haine de l'individu ; l'idole de la double peau de résistance intérieure se brise quand jaillit l’élan de la vraie liberté qui reçoit l'incréé, le justifié de l'inconscience du ton absolu de l'orchestration de la vision finale ; tous les spectres nous traversent comme surgit de nos ombres face a l'imminence de l’éclat, l'incessant ressac reflux produisait un tel charivari de segments qu'on cru un instant flotter sur le bois morts d'une foret toutes retournée, le fleurissement de la mort mentale de la représentation dans un perpétuel remous d'harmonie décomposées, de mélodies allégorique engendra l'aberration ultime du miraculeux attachement a ce qui n'est pas encore, se referma la dalla sombre de la mort derrière nous, la substitution du mort au vivant, comme une ultime frontière une brasure franchit au seuil de plaie de notre embarcation ; l'estuaire du chaos verbeux ouvrit son inflorescence astrale du reflet verbal de l'inaccessible étoile, qu'on aurait cru glissante et retirée dans un tube de verre fuyant les horreurs que sa radiation révélait ; sur le pont les mesures et les contre mesure se précipitaient l'une sur l’autre, l'effroi gagnait le cœur de la langue qui semblait prise de vitesse par un événement innommable ;allongé abasourdi :j'interrogeais ma double face : tu respire quoique mort, tu es dans mon récit une réalité insaisissable qui occupe toute les positions, tu es moi et plus encore tu me débordes tu excèdes ma pensée, c'est la fin, je le sens bien, la fin de la représentation le but de la solidification du concept par un salto mortale du spectacle de l'invisible prenant chair a travers mes souffrances, et je te dis et t’écris mort de représentation comme un coup de sang contractant nerveusement la déflagration d'un saut de genoux sous le reflex du marteau au clou du spectacle de la souffrance éteintes, en cendre, complètement dépassé et absorbé dans l'oubli des profondeurs insondables de dieu...
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