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22/10/2014

Exit.

Les bouts du labyrinthe laissent entre voir les trous d'obus entre les segments du rebrousse poils qui câline le presse papier sur le sein des hurleurs ; les morts parlent des étoiles dans la carrière de leur dernière conversation, comme des luzernes en fleurs qui paissent leur âmes violette regorgeant de sincères pensées ; mais au saint siège, l'accusé et le procureur général sont une même personne référencée dans deux bottins séparés mais proche parents, cousins éloignés habitants deux villes imaginaires qu'un fleuve humain de masse moyenne sépare et relie sur la foi des interférences dans la transmission des informations que jamais ils ne pourront recoupé ; on vit alors éclore de cette dyslexie toute une armée de journalistes tentant de relier l'impunité entre personne dans la conversation des privilégiés du système financier élaborant le mystère de la grâce sans communiquée de presse ; mais la substance de la désinformation précipitée dans les éprouvettes chimériques du substitut de la transcendance n'accouchait plus en guise d'ultime qualité de la création que de leur putain de langage ontologiquement apocalyptique, assise sur le dévoilement mystifiant la réalité sauvage, hystérique et inhumaine du fric a l'effigie captivante de marxistes servant de torche cul a leur cynisme grossier; juge et partie, frontière et douanier comme toute réalité dénuée de dialectique, devenaient insignifiantes de ce que les manchettes a fort uppercut social sur l’assommoir nommeraient les belles personnes de l'année; sémantique de couveuse, fumier ontologique couvrant le monde d'un ciel sans front ou pourrait se cacher une pensée; l’assommoir abaissa son plafond faisant de l'espace un temps schizophrène, et la folie le doux poison du glissement de la jeunesse vers les richesses de la confusion; entre les danseurs de chaînes et les faiseurs de hasard rabotant les dés ; sous les arcanes du temple au dieu inconnu ils ont des airs d'atlas parlant la langue des billets et autre tickets pour ce monde ; les draps de ma grand mère étaient raide et rêche comme les planches du cercueil gorgée d'amidon ; et c'est pourtant en eux que j'ai appris a rêver dialectiquement d'une vie de permission inconditionnée qui plongé ses racines par delà l'infini, dans les sueurs froides et chaude du temps.

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