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09/01/2015

Des entrelacs de la dingue.

 

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Le caviar du premier jour quitta les appartements funèbres de la pyramide sacré; indirectement elle resta vide de représentation et de l’être a rien moins qu'inventer ; son esprit remonta les longs boyaux de pierre taillées a la lueur des flammes croisées ; et les quelques joies du filons entrevue pendant la fuite, il les sema en route, ou elles allaient toujours grandissante derrières ses pas, s’élargissant de jour en jour, gagnant le temps a la transparence des appartements décloisonnées de la terreur des apparences ou l'on écrase comme un cigare dans l'ombre des faunes de cendriers ; le disjoncteur ronfle dans la boite électrique; il empêche l'alternateur de saccader, maintient le flux de l'attention sur la matière atomisé de sa représentation; elle lui échappe, il croit qu'il s'en libère, hésite, la rattrape en coup de vent, elle se fait chair, se paie sa gueule, et s’achète par le sacrifice de ce qui né des reliefs du fleuve un vêtement pour vêtir l'absence d’être; l'esquisse d'un cheval ou d'un pin chevauchant la mort est un présage imminent avec la proximité du message enfermé dans son ultime comprendre ; parfois il redouble de tension, sans que jamais l'homme de bien ne désire pas même paraître bon ; car de toute façon il ressemblerait a un gros ressort vibrionnant, un empilement de vue de coupe, un hamburger macdo, un éclat de rire soufflant l’horreur au risque de l’attiser.

 

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Le volatilisé hier migra en taille organiquement dimensionnée au deux mains du présent; et le silence borna la lutte dans la bouche des destinations ; un repas chez Joe ou on mange de l'ange braisé a la langue de porcs a tous heurts ; viande vidangé la jour même par le boucher ami, qui débite l'artificieuse nuée de rond de cuirs en cavales, en écoutant la radio soupçonnant les nuages de parler pendant les nuits d'aurore atomique ravalant la gloire lunaire du tube cathodique de matière noire.

 

Traces a 4 ans.

 

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Le parking du lavis, est un black-jack qui roule les véhicules métaphysique dans la poussière du voile sacré ; éteins le moteur fume encore un saint de glace sur le parvis moquetté de la transe qui n'est pas blindée, loin de la, mais transparence aux apparences, tranche d'espaces riemannien de l’hôte bleue ; la sensibilité égarée rugie comme un météore de feu précipitant l’éther fossile de l’indéterminé ; les murs couverts de mousses gondolent d'angoisse roulée en tranche de vie, selon les vue de coupe de l'implosion organique d’où s’échappe des sous papes le souffle incolore de la conflagration du vide carboné ; la lueur des calcinés abreuvent de larmes les germes du souffre ; un corps prend forme, au places du transport hallucinée, le car boule de sel roulant au pli de l'avenir, la pierre sans regret du pixel au bout du clavier ; d’amères notes tombent des romans ; elles sont des lustre somptueusement ébréchés, des liserées moussu qu'agitent de grandes lianes ; et, la ou la mer éventre ses galets, les pâtés de maison se recouvrent de gréve ; les cloisons enfle comme si elle contenaient les quarante jours ou il parlèrent des choses de dieu ; des qualités premières et dernières des êtres et de celles qui leur est commune ; la demeure s'effilocha dans le temps ou le corps habite le foyer de la méditation, et disparaît ; ils fermèrent les volets sur la disparition du corps qui aurait scandalisé la multitude; et les murs ne revinrent que comme des voiles de pudeurs qui modelaient les distances incalculable dans l'espace et le temps des aimants ; un sifflet enroule son grand corps moulé autour des tribulations soufflée par monts et par vaux, et, a la fin, pousse un cri de bois; les murs vagissant du voyeurisme expirent le dernier souffle de la croyance spontanée en la vision des êtres, tout s'effondre, et l’œil s'incurve dangereusement sous l'implosion de la désillusion, qui lui reste coincé comme une arête dans la gorge que seul le rire peut déloger ; car ici disait la femme du médecin, la demeure est propre et sans poussière sous le tapis.

 

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