Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

22/01/2015

note

On a bâtit un monde sans Bien, reste le Bien a bâtir, c'est a dire la langue, l'entendement, la volonté et la sensibilité consciente de le vouloir malgré son caractère insaisissable, et en vertu de sa texture paradoxal en soi, si semblable a la conscience de notre chair, a la folie dépassée propre a la conscience éveillée, et aussi peu homéomére que pouvait l’être le ciel aristotélicien pour les briques de matière semblable et cependant transparent dans notre confusion sensible d'impossible image intellectuelle, vibrant comme un souffle, un sentiment très singulier, difficile a cerner, difficile a accomplir, mais renfermant le plus grand trésors qu'un homme puisse trouver sur terre, les prémisses d'une certitude éternelle qui met tout dans l'ordre infini de la compréhension.

 

Les commentaires sont fermés.