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23/01/2015

Hallali

 

Déjà les ratures griffent les souches d'ovulation des appeaux de l’Hallali ; d'aromatiques flammes sourdent des geysers de libellules, des vertes fractures végétale qui enrubannent le vent des nuées prisent au ciel; c'est la course de l'esprit a travers le suspend du sens dans le temps ; les mots incertains ratissent le sable de l'hippodrome sans aucune possibilité de démonstration d'existence, ce qui est là, attend, tout simplement d'eux l’éthique de la conjuration du néant ; sinon, ce seront les pierres du premier miroitement qui téteront du ciel les couleurs décapités, et la chair reviendra a l'abstraction; la représentation incarne une lumière seconde dont il faut attendre qu'elle se refroidisse entièrement de son cri primaire pour que les murs du dojo apparaissent réflexivement du milieu de sa cendre ; le lieu de la suspension, de l'effondrement, ou on recherche le sens, le nid du désir est aussi sa tombe, l'ensemencement de la première levée du grain mort en raison de l'esprit ; l'image abattue, projette son chaos, est le fleuve du tourment tourbillonne son verbe en tribulation ; le maelstrom devient aussitôt fardeau de l’incompréhensible, mais la mort au fond de l’œil, au fond des caves suscite l'ultime forme du désir projetant son non-être dans le miroir de l’Être qui le rend conscient ; les collisions de l’itinéraire électronique des véhicules de l'information, s’enchevêtrent en un amas de science image des nébuleuse formation des pelotes d'adn d'adam dardant le temps ; la clef ? Le mot manquant, la science affirmant l'inexistence du synapse, ouvrant la brèche dans le mur du temps a partir de la fin réelle de représentation, l'assomption du cœur et de la réflexion, transcendant le monde aporétique d'un seul enjambement, d'une seule pensée concernant l'absence d'intelligence de dieu qui est tout le savoir qu'on peut avoir de lui ; chacun la porte au cœur comme l’électron manquant, perce les poumons écrasés par le néant, rend l’oxygène possible d'une respiration selon le souffle qui affirme sa propre suppression, marche selon l'élévation possible par grâce au cœur du rythme de la rédemption des fautes reconnues et oubliées; là est l'extase consciente, l'esprit d’apesanteur céleste de ceux qui marchent sur les charbons ardents comme sur le centre des poussières sans teint réfléchie dans le rayon gracié du voyant; mais ne regarde pas le miroir, mais l'impossible image, c'est la le travail le plus profond de ta conscience, l’atmosphère saint du désir dans le treillis des os ; l'aveugle amour voit en parlant, l’œil solaire écartelé au palan du travail d'entendement, écarquille a son tour la machine a martyr, et obtient par le vide, créer et reconnu, l'organe de toute œuvres, la vision des sibylles pleine de becs de gaz et de confettis d'aluminium voletant comme des cendres prémisses d'une matière indéfectible qui consume ta raison pour son enchantement; l’irreprésentable c'est Lui en toi emporté dansant; c'est la brasure du vase qui rend a la chair la conscience d’être Son étincellement. La chaire du mot de l'absence qui incite a l'ordre de la quête prend alors conscience de l’œuvre recherchée de la pleine présence de la félicité.

 

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