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22/01/2015

Tomawok fan's clash dub

Et ils se battent dans la fange inerte pour l'attractif aveuglement de l'avidité première, pour son plat de complétude, de pain dans les ouïes du vide de représentations, bouchant les trous de la bouchée pleine, de mie de seigle interstellaire qui innerve de blanche portes et de ruban d'horizon, le col inerte des parfum de la faim et de la soif, ou l’atmosphère est aussi le concept ; par la fonte des matières premières, glisse entre les doigts comme un serpent, comme une image du doute qui épuise l'être de reflet, c'est a dire le réel, celui qu'on épouse, qui ne fait qu'un avec soi, et qui nous produit autant que nous le produisons ; force égale entre dieu et l'homme sur la balance quantique des positions dialectiques des êtres sans étant, s'indeterminant dans les gaz projetés de la pesée de la grâce d’atmosphère vraie de joie; le calibre de la joie, une fois tombé sur terre, se transformait en tout autre chose, et errait comme un air saturé de graisses bon marché, bien manger, bien baiser, bien usinée, désirée dans la graisse du maintenu en vie par l'action industrielle et informatique des sans esprit ; du saint esprit, il en avait des récits simple comme la description du paradis, son paysage essentiel, cette forme ontologique qu'il trimbalait partout, qui trembler en lui dont la phénoménologie mettait temps de temps a advenir, qu'il préférait souvent se défaire de sa vie plutôt que d’écouter jusqu'au bout toute la longue phrase de dieu par laquelle il proclamait sienne la souche de la vie, a laquelle on peut adjoindre des études quantitatives, minéralogiques de plaques datant des années cinquante reproduite dans le tableau, proprement captivant de physiciennes mesure, galbe des seins au demeurant, écopant le tourment des égarées, certainement, séductrices aux règles approximatives, qui fait feu de tout bois mais comme les autres se prend a son propre piège, pour avancer dit-elle souvent pour rigoler, et c'est vrai que c'est marrant, devoir grimper au lois de l’apesanteur, c'est fantasmatique, informe, a souhait, on tomberais pour moins, a moins qu'un trait plus profond face fondre ce chewing-gum, d'un goût de cerise, d'huile d'olive ou de pain laissant a chacun un vide a soi, pour exprimer a sa manière l'esprit, sa communication personnelle avec Dieu, a moins que vous ne vouliez laisser de la place a la naissance d'un tyran, d'un chef de groupe qui dans un rapport avec d'autres êtres étoufferas les routes, déroutera les gens pour qu'il se perdent dans l'oubli de leur or personnel, chemin par lequel paraît qu'un maître fut suivi comme un vide par une foule, de ceux qui veulent rencontrer la lumière ; ils ne se croisaient jamais et pourtant personne n'allait au Père autrement qu'en connaissant la voix du bain, c'est normal, c'est l'ordre le plus logique d'une pensée du réel fondée dans les entrelacs absurdes de l’insondable ou pousse les chêne des siècles, et les lilas au printemps ; on ne pouvait pas mieux inventer d'ailleurs, pour conserver un peu de lumière après l’hiver, et la faire renaître dans toute son épaisseur solaire brisant jusqu'au souvenir qu'on croyait indélébiles des rigueurs du froids et passer de la neige versé d'un sceau noir, a la plénitude malgré la conscience qu'entre ces deux états différents aucun lien rationnel n'est possible, entendre son fils parler de ce bien de plénitude comme d'un don de l'esprit aux hommes, qu'ils conservent entre eux, quand disons ils sont au mieux de leur forme, une communication d'existence qui se fait a chaque instant alors qu'a chaque instant aussi dieu refait le monde, et moi et ma question de savoir jusqu’où mon pouvoir de créer me cache le sien; la filiation est une étincelle dans la faille, un exemple et une langue que chacun répétera en devenant père pour commencer s'il veut parler de l'esprit et de la communication du don d'existence aux êtres aimés; identifié au rôle, ce ne sera plus non plus une question sexuel au sens du tabou, mais la matière première de la lumière, le souffle, devenu difficile a trouver ces derniers temps; c'est un peu comme la dope, il faut de plus en plus la chercher, ou alors la faire pousser comme une plante au fond d'un puits, un tournesol brûlé racornit comme un œil divin couvé par le cœur a l'ombre des regards; ceux qui se croisent dans sa tête, et dont il voudrait bien éprouver toute la grandeur sans démériter d'aucun des points de vue non plus de l'unique secret ; et qu'être digne de son pardon éveille ma confiance, plus que la défiance envers son incompréhensible déité; dieu de surprise en quelque sorte qui te fait claquer les os de terreur ou de rires au théâtre des marionnettes, qui imagine pour toi un scène ou tu n'as encore jamais mis tes pas, comme si un chasseur alpin, une sorte de guerrier grecs, un légionnaire, se débattait dans une fosse de boue avec un boa géant sous la canopée primaire, mais plutôt que le brut de décoffrage, tu ne dois l'adjoindre a aucun moule pour être toi-même, absolument ; et je te raconterais pourquoi ce sentiment est une lumière, la seule histoire que je connaisse vraiment, ou plutôt dont l'idée dépasse la connaissance finie que j'en aurait toujours, et comment il se tient droit quand il explose aveuglement, se tue, se supprime, pour qu’au-delà de tout incertitude, de tout désespoir, il éprouve la plénitude encore une fois, une dernière fois, avant la représentation, ou elle déchoie immanquablement en lui, tant il est faible et détraqué, quand il se vide d'un souffle de toute son énergie comme un acte sans raison, une libre décision de dieu, de créer l'univers dans un souffle comme une lumière de cave ou résonne le pas encore des chemins de conscience que nous emprunterons ensemble, si vous le voulez bien, a tourner au hasard dans se perdre, ou l’indifférence touche encore le tableau de sa lèpre, tant que manque la dernière touche, tout bouge encore, la suppression entière et complète de l’indifférence, la plénitude de la sensibilité, le mal du siècle, le règne de l'argent et de la notoriété, petite chose hagarde qui touche elle aussi a d'autre point de conscience qui éveillent toutes et tous l'autre énergie percevant l’éternel travail de la Source ; toutes les rumeurs s'y rassemblent comme autour de ce qui reste pour l'opinion dénuée de science, une pierre ; la pierre tombale dépose le pieds dans la conscience et son jardin de paix ; un jardin éclaire la lumière ; un jardin tout a la française, mais aussi et en même temps, tout ébouriffée comme un pollen, les vibrations de l'esprit qui se communique a la conscience ; la vie des sceaux, des abeilles, des arbres immobiles qui tombe en missel ou plutôt, du ciel en pages d'amour dans le lit des luttes et des déchirements.

 

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