Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/01/2015

Le roman du coran

 Si le coran se veut une révélation, il se veut des lors ipso facto, une communication de l'esprit de dieu qui établi une communauté de rapport, de vie entre dieu et les hommes ; or l'esprit ne tient jamais a un verset qui pris entre eux peuvent être contradictoire, mais a l'intelligence générale qui se dégage de leurs affrontements (ainsi moise proclame que la toute première loi de dieu est : tu ne tueras point ; quoique dans le les nombres le même moise exhorte aux massacres des païens; exode 20.13; nombres 31.17), c'est a dire a l'Idée, la perspective générale qui se dégage comme projet, pensée, intention vide ou le sujet pourra se projeter en une réalité cohérente

 

Le propre de tout fascisme est le nivellement absolu de la société corrélatif a l’écrasement et au dénis de toute réalité intérieure propre aux individus, c'est a dire la réduction de l’épaisseur du mille feuilles nécessaire des différents plans du désir dans le devenir conscient de soi par les azimuts de la parole, a l'unique platitude de la conformité de l’expression de soi identique au modèle général de la pensée unique qui dévitalisé de son fondement intérieur et reflexif n'est plus qu'une hypocrisie généralisée.

 

Se faire le défenseur de dieu est une contradiction dans les catégories une contradiction au niveau de l'entendement, qui fausse a priori l'esprit de toute lecture ou le croyant en quelque sorte se pose de fait comme plus important que dieu qui a besoin de lui pour se défendre. Voila par exemple une erreur naturelle , un fruit de l’orgueil que la laïcité avec la liberté d'expression prend en compte dans son laxisme et impiété apparentes, en autorisant cette sorte de blasphème tout a fait invisible puisqu'il s'inscrit dans les pensées les plus profondes du cœur qui en contre font le sens de la pureté, du moins jusqu'à ce qu'elle s'extériorise, se formalise et s’exprime c'est a dire puisse se rendre compte de son péché et se corrige. Ainsi la liberté d'expression n'est pas un état caractéristique du pécheur, mais un principe, une instance intermédiaire d'articulations entre différents états sans lequel ni la société ni l'individu en elle ne connaissent d’évolution spirituelle consciente. L'illusion d’acoustique dans laquelle s'enfonce les sectaires défenseurs de dieu, consiste a croire que ce principe est en soit pécheur parce qu'il permet de formuler le désespoir et le péché, alors qu'il n'est que l'instrument capable de cristalliser la formule du désespoir propre au cœur nécessaire a son dépassement conscient. L'illusion qui consiste a croire que ce dont on ne parle pas n'existe pas tient a une essentielle méconnaissance des réalités du cœur et du chemin a parcourir pour que l'amour de dieu y naisse comme autre chose qu'une formule de signifiant mort-né n'ayant rien sondé de l’abîme sans fond de l'amour ou c'est bien au contraire par la reconnaissance interne du péché que la nature de l’espérance peut naître réellement comme redoublement de l'esprit de dieu en nous. Or c'est la formule du djihadiste : supprimons toutes possibilité au péché de s'exprimer de se former et la société et les individu seront dans la grâce et la foi, comme si la suppression du péché par l'assomption de la foi n’était pas précisément le travail que chacun doit faire en reconnaissant lui-même librement son péché ; travail dont seul s'exonère le défenseur de dieu a cause de ses catégories fêlées qui empêchent la formation de toute pensée saine. L’idéal sociale du djihadiste est une société sans correction du désespoir, un état spirituel que ne précéderait aucune étapes intermédiaires, une perfection aussi immédiate qu'une génération spontanée de souris fantasmatique; il ne veut pas la mort du pécheur mais la mort du devenir conscient et de l'homme qui bien sur supprime la question de son péché et renverse le cours de la révolution, de la conversion en involution et règne absolu de la terreur qui le grise et le confirme dans son phantasme (renversement du sens de la réalité) d’être le saint pur défenseur de dieu, qui n'en a nul besoin.

 

Maintenant effectivement, je ne suis pas le défenseur de dieu, mais son instrument ou son collaborateur inutile qui mange du porc, mais cuisiné aux épices du verbe né d'une conscience sainte et vierge. Ce n'est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l'homme, mais ce qui sort de sa bouche et qui vient du cœur. Encore faut il laisser le cœur s'exprimer, et lui offrir l'occasion du pardon ou il pourra traverser et reconnaître toutes les avatars de sa passion, et la très délicates conscience de son sublime et paradoxal objet autrement que morcelé et défiguré par le détails des interdits hétéronomes ou l'esprit de l'unité gît quoiqu'on en dise a terre et quelque peu exsangue et essoufflé.

Les commentaires sont fermés.