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07/03/2015

L'instituti@n im@gin@ire de la s@ciété: @cte O; scéne 1: @vis de décé.

 

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Dans la réserve mondiale des emplois foireux du spectacle, la place de chacun se réduit a faire parti d'une partie de la partie la plus partielle du staff des ligtheux ; dans le réseau électrique qui mène a la clairière de ce qui est mis en lumière par la mécanique du monde qui est disposition d'une information, le message ultime que délivre l'occident est que patrick bruel est pascal obispo sont les entéléchies de d'un système qui n'est plus le notre seulement, mais mondialisé, le relief de ce que steve job et les princes saoudien mettent , malgré eux, en connexion. La lumière est le tout d'une connexion indécomposable quand a l'intention, mais infiniment friable du point de vue de ses composant. Le propre de notre époque est cette faiblesse, qui est aussi hypersensibilité, a l'absence de nature de la vérité engendré spontanement du compte que l'esprit se rend a lui-meme de l'usage de ses dix bras et jambes, l'individu n'y a de place que dans le soucis qui épluche la naturante naturée ; au vide tous condamnés a rendre a l'angoisse la dissolution de la solution de continuité, qui rend libre des lois la matière révélée de la réalité ; l’électron indéterminé s'angoisse d’être une partie inconsciente des rapport de classe qui selon la forme de notre pensée construit l'information qui organise l'organe de la perception de ce désarroi ; nous sommes devenu , plus que jamais les jouets d'une langue dont nous n'arrivons plus a prendre possession et qui nous parle malgré nous, produit elle même les fait dont elle suppose l'existence en suscitant en nous l'ordre de leur perception ; l’entéléchie du chanteur pop sauvé de la misère par le système soit disant légitime de sa mise en lumière par la reconnaissance unanime du tronc commun des artisans de l’atelier de son extraction de la mine condamnent trop de monde a ne jouer que le rôle de spectateur de cette histoire, et nous ampute de la possibilité de critiquer le spectacle... pas d'autre choix apparemment que d'y consentir.... ne serait ce que pour un temps. La société c'est l'idée partagée d'un destin individuel exemplaire d'un être-vrai ; sans accord sur ce que c'est que l’entéléchie d'un homme, dans son parcours et face a la destinée, est le fond intersubjectif que des individus partagent pour dire qu'ils ont vécu quelque chose en commun, ensemble. L’événement relève d'une histoire, c'est la première loi de toute physique appliquée, même lorsque l'histoire se réduit a rien, au quelque milliardième de nano secondes, cette poignée ultime de temps qui nous sépare de l'origine, et dont on s'approche pas moins théoriquement que subjectivement troublé, chahuté de désespoir comme si on s'approchait a quelque mètres de la surface du soleil sans pouvoir ni le toucher ni s'y poser ; vacarme au seuil de la nuées, comme si l'esprit s’était penché sur la graine pour reprendre l'histoire de l'arbre depuis la première poussée, la première intention, transcendante de dieu.

 

Si la société est la communauté d'un témoignage intersubjectif qui ne repose plus sur l'objectivité consciente de la construction de cette information légitime dans la tête d'un être, c'est que désormais la conscience du rapport de la chose a l'esprit ne repose plus sur aucune théorie de l'objectivité autre que radicale comme un sentiment vécu ; et non plus entrevue de manière abstraite ; le rapport vrai des choses entres elles, requiert notre passion plus que jamais, devenue concrète, comme liant, et sentiment ; la vérité avec l'apparition de la radicalité quantique a changée de statu, on ne se contente plus d'une vérité abstraite, cru de loin de l’existence d'un certain rapport entre l'esprit et la chose, mais on veut vivre cet accord, on le veut et on le doit parce qu'on ne peut plus faire autrement. La conclusion du structuralisme par exemple n'est pas théorique seulement, mais aussi disposition d'un nouvel élan, essor critique du journalisme indépendant. Ces modulations de l'information circulant entre nous, sont en tant qu'officines elles-mêmes emportées dans les tourments de cette radicalisation du rapport de chacun a la vérité ; les structures démocratisées de la technique rendant possible la communication de chacun avec chacun a chaque instant, cherchent a construire une forme différente d’entéléchie que celle fondé sur l'objective performance des star de télé qui ne requiert qu'une vague approbation du spectateur ; cette promiscuité digital, laisse apparaître que la vie, dans ce qu'elle a de plus personnel et de plus profond est pour elle-même ce que chacun peut aussi percevoir en grand dans la sphères des idoles qui s'effrite et tombent en divertissement ; ces officines ou s’élaborent l'information, sont elle-même des instances d'un jeu économique ou l'intention générale est la conscience de la langue triomphante s’étripant a vociférer partout la suprématie du règne de l'argent que contredit l'intention plus délicate et plus difforme a percevoir et a construire dans la langue du rapport au frère, en lequel hors de toute imposition social, l’être vrai parle a l’être vrai, selon le cœur et par les moyens d'une information que les officines journalistiques ne pourront jamais relayer, parce qu'elles n’existent plus au niveau des informations bâties en dieu ; par contre, ces divers instances possède le pouvoir de l'illusion, de faire illusion, d’éveiller la crainte ou de la déconstruire quitte a se disqualifier elles-mêmes, pour établir que la vérité est ailleurs et autrement qu'en leur système clos de production des etres faux, et que de la diffuser critique, en crise produit le trembler qui laisse voir l'ossature véritable de la société et du monde, avec vos yeux mieux que ne le verra jamais aucun cosmologue, dans les joue rose de son mensonge quand l'esprit en elle nie la vérité pour s'en faire un paraître.

 

C'est la lumière qui voit a travers l'esprit, l’océan dans lequel se noient les damné sur la porte des enfers, c'est l’océan de l'histoire, ou la lumière s'organise comme un fait dont témoigne l'esprit, si on prend les choses a l'envers.La langue est la tempête de l’indétermination ou l'esprit cherche son histoire comme l'air qui transformera les vagues furieuses en jardin d'une beauté indéfinissable.

 

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