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19/06/2015

Idéas for the house

 

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WALDEMAR KOLBUSZ

 

 

Découvrez pourquoi ces nouvelles épingles sont affichées sur la fibre composite de votre ordinateur naturellement synthétique de fibre mélluferique brique de sèche écaille sur le retour de la chair comblé de sensation déliées par la torsion incalculable du lit qui recouvre le fauteuil sans rideau jambe con pubis, voit mieux a travers l'épopée de la transparence ou les hommes se jettent aveuglement, combien le néant est vivant en dieu, s'expose la jouissance et les cris d'horreur qui remontent vers la surface de l'interrogation, là ou tout est silencieusement clair et dissous, et si l'histoire crue sans braise reste vrai éternellement, sans terme dénommée, ayant eu dans le temps un commencement unique et éternelle, celle d'un relatant improbable du sculpteur d'oreille a terme forgées sur les enclumes souple du temps qui vibrent la cadence des arcanes de l’âme en progrès de sécrétion des organes spirituels du silence rigidifié; leur progression a travers la merde verte et blanche que nous avons au fond du tympan accumulé comme une épave recouverte de coques et de lichen, détimbré pour entendre vibrer toute la création première des mouvements contestataires de l'algue et du roussin, l'opposition scalaire de la résistance a restituer, a projeter a penser, donc a concevoir ce qu'on peut recevoir de plus grand, concevoir ce qu'on peut vouloir quand on en a fini avec les besoins terrestres, désirer a nouveau reprendre un whisky et s'y projeter comme si on voulait voir le passage, pénétré dans l’œil de dieu, les molecules de paysage urbain retenu par un dessin animé et deux perruches dont la pellicule roule et s’évide a la poursuite pas encore tournée du trait ou le metteur en scène du film possible commence par trouver emmêlée  la bobine, la mine et le crayon pelote de la première scène de l'oubli et du souvenir, ou l'un est l'autre en lutte comme une bulle d'air est aussi la roche des parois interne d'une même pulsion inspirée, en chambre capitonnée pour mieux t'entendre mon enfant, j'aurais pu dire plumer, plutôt que pulsion, tant, tendre, si tendre, tellement bon a croquer mon enfant, que ce serait comme de parler dans une langue absurde mais apprise, qui dit de la réalité dont on ne peut rien dire, quelque chose, qui s’achève a la porte de la parole et de l’être et y meurt épuisé comme une intention qui se libère des crispations de la pulsion allongée de toute son intention le long du seuil encore inchangée du ton lit sexué sur le fauteuil de toute façon inexprimé; l'alpiniste en bonnet suit une brèche entre ces souvenir et ces pro-tensions ou la continuité de sa vie devrait faillir et vibrer et lui être transformé, changé en lui-même entièrement, comme s'il était passé de l'autre coté de la réalité, co-naissant les deux bords dialectique du réel et le cœur transparent de la tranche ou ils se touchent imprimés, incarnés en terme d'espace temps, scindant l’idéalité des corps sublimés en forme concrète incarnant Sa mesure, comme si chaque homme était le symbole et les lettres vivantes du cœur texte de dieu.

L'heure pique son court a la machine des jours ou chaque pics implique un creux, puisqu'il s'agit d'apprendre a marcher et non a se tenir immobile en dieu, palpitant sciant sans trêve de colère parfois, le rideau des images sans repère qui s'ordonne psychiquement autour du vide concret au coeur, la pulsion poussée a produire elle-même du rien quelque chose, un rien auquel elle croit, comme a un espace entre ces choses, ces routes ces immeubles qui ne sont pas les demeures, mais les geôles auxquelles on ne veut plus penser quand on se confie a dieu, un but iconoclaste qui se transcende se fait d'image, concept de l'image refoulée, Porte, la jouissance de dieu, la jouissance parfaite de l'unique gond, pénétrant le puits d’étoiles sans fin des vibrations de sa parole, créant autant de clous merveilleux au ciel qui resplendissent et étincellent la brasure du ponçage des incisives que le dentiste déguisé en boucher, vêtu d'un grand tablier blanc, scrute en bouche comme si vous aviez avalé Michel ange, trouvant par hasard le beau coin de l’être corné par ou on peut attraper la soudure et en retourner la peau toute entière, la belle carie de pue dans le partage de l'homme et du divin, le cœur des gencives du saint esprit rayant des yeux le premier désir jamais apaisé, le mur de plâtre soupire, cloque, s’élève au niveau du téléviseur, forme un renflement qui grand comme une station de métro, mais revenir sur place, manger une pizza a l'huile pimenté « qui senior » avant de se perdre a nouveau dans la ville et la foule, laisser le flux me caresser a une terrasse de café ou un garçon blond comme un Ases me sert histoire de mes pastis sur un petit buvard rond.

 

Les glaçons fondent le fleuve qui se lève un peu dans mon verre quand je le tiens entre le pouce et l'index a hauteur d'yeux, la marche spontanée de son cours s’écroulant a travers le bout de tesson, renverse le sens de filtration de la lumière qui était sous la garde de dieu, comme celle de Percy Grainger jouant en noir et blanc un Irish folk song: "Maguire's Kick" sur les verres brisés de son cœur délirant.

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WALDEMAR KOLBUSZ

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