Le chapitre de bishop

 

 

Olivier de Sagazan

     La nuit devanbas apprit a se méfier des maraudes de la clarification logique qui rodaient sur les ponts de l’Abstraction a travers la cité flottante des défis sciences regorgeant de beautés glauques ; ces phalanges traquaient les va nu pieds comme devanbas qui avaient perdu leurs pompes en débarquant en plein marécage ; elles les interpellaient souvent a la pointe du jour noétique quand épuisés, ils s'effondraient dans leur perte de moyens, et mourrait a l'instant ou ils étaient le plus délirant ; la sentinelle s'approchait, une tête horrible de tarsier jaillissait d'entre ces ailes de chauve souri, un métallique éclat posait  sa griffe sur une joue, une poitrine, un cou de la section analytique qui les foudroyait d'un coup de grâce; il s’échappait alors de leur crane ouvert le jus de l'intellect recelant la tache, l'ombre arachnéenne du fruit de la papaye indicible de la réalité faite de matière pensante, qui reflétait tout l'univers, rendait palpable le courant d'air des ponts de l'Abstraction qui opèrent le transfert de données a travers la percée des éléments concret de l'abstraite dissolution des maux et des souffrances dans la ceinture d’Orion qui gravitait sous les arcanes de la Rédemption; ce n’était pas le sang qui jaillissait en premier de la pensée désespérée, mais la moelle de l'intellect, l'encre indélébile de la sempiternelle suite d'idée et l'os de sa boite crânienne solide et victorieusement immatériel comme l'est aussi la joie de sa vertèbre entortillée dans les touffes d’étain et d'Adn sylvestre, les mains trempées dans le sang, dissolues comme les franges de sa silhouette palmant dans le bouillon de leur yeux troubles jeté sur la notion nébuleuse du breuvage de la liquéfaction d'aimer; sauvé parce que perdu, parce joué, comme ces litres de chaire blanche qui ruisselaient en gencives le long des cathédrales molaire d'Hidlux ; devanbas savait que quelque part derrière ces murs l'attendait la pièce manquante de son nouvel organe, a commencer par les vocable de sa définition, lustré par des siècles d’œuvre toutes plus géniales les unes que les autres, mais dont, pour l'instant, il ignorait encore la texture ; et c’était pour ne pas a nouveau egaré son cœur dans ses pensées qu'il croyait que cette pièce existait... c’était au moins déjà ça, puisque de toute façon les philosophes qu'ils visitait de nuit et sous le manteau, le lui apprenaient, de leur façon si radicale, dans ces cercles informels et surveillés par la police secrète, qu'en tout chose comme en celle des plus importantes, il faut bien commencer par croire a l'existence de ce qu'on voudrait vivre comme une réalité, donc commencer par croire a la réalité d'une valeur absolue; la philosophie n'est au mieux qu'une escarboucle, une mèche du scalpe solaire, dont la section analytique n'est elle-même qu'une fibule qui tend a se développer comme un cancer du sang et de la peau et a contaminer, la sensibilité naturelle d’Adam au sorite. Un tas de choses les scandalisaient, mais non que l'eau puisse se figer en glace.

 

A minuit les dévideurs de trempe étaient prêt a flotter par les véritables artère de la vie et du sentiment, qui après un long et sinueux parcours entre les méandres brisée de l’incorporation, s’évaporait au chute du ressentie que le regard intérieur éprouvait comme un mur que devanbas et fouine avaient pour mission de piéger ; les charges post réflexive de la passion furent distribué en quinconce le long du mur et relié entre elles par un minuteur qui échelonna leur action instantané et cumulative ; le mur tomba de la cornet et l'organe manquant apparu par transparence et superposition des vitesse d'exposition a la pensée ; ils piégèrent aussi, les postes stratégiques de communication impersonnels; de toute évidences la pluralité des mondes multiples ne formait pas pour eux, un système ségrégationniste d’univers causalement isolés puisque devanbas chuta de sa cascade dans la poche décorrélée d'un maton spatio-temporel et imperméable; il chu comme le sorite qui inondait de neuve abstraction la viande du continuum faisandé de l'espace temps.

mary-anne kluth