Nidus avis

Albin Brunovsky

 

 

      On avait démasqué depuis long-temps qu’un liant du nombre des mers indisciplinées, écrémait sporadiquement les nappes du dub entre les passes informatique et ces châteaux de lettre élevés a l'allure des sédiments du fleuve que le cerveau dépose en image synthétique d'un éternel mouvement; chaque vigies étaient lovés sous l’écume grise du dragon digital ; les charges, disposées sous les colonnes du piége offraient dans son cadre plastique aux landes du psychopompe, les montant vulcanologue de la proue qui jaillissait a l'improviste. Les quarts dans la folie faisaient le tour de l’océan, et de ce tour, un chemin de ronde, une ode onde de silence, le dernier souffle recueillit de la bouche ouverte d'un livre en folie ou l'alphabet change avec le temps. On ne savait ni ou ni quand il surgirait de la masse galactique, et la négation de cette certitude avait une portée infinie qui nous rivait l’œil sur la frange houleuse du verre en ébullition pour en scruter les moindres signes.

 

   Sa coque en gabelou vaporeux était entièrement ciselée de formes baleinières, la voilure, toute galonnée d'arabesque subtile ne formait qu'un fil tiré par les cheveux et susceptible de répondre de chacun de ses brins; qui alors n'aurait tuer père et mère afin d'éloigner cette forme ravageuse qui torture la raison élucidée, hante l'esprit jusqu'au tréfonds des terres meubles, et le soulève d'une force neuve, bienheureuse et apaisée; qui n'aurait sauté dans la chaloupe, et ramé d'un bond de division mentale jusqu’à l’induration bucolique de l’arène ; car celui qui parvient à ne rien faire face a dieu, à l’aide d’un instrument tombant, telle une lame d’évier, sur les teintes naturelles de ses malles repentantes, entremêle dans le principaux grief qu'il formule contre sa vie, la structure poreuse de sa conviction qui le tient debout, et anime le ressort qui introduit la clef de la néottie en toutes les souffrances. Insouciant, il résiste aux collagène maquereaux, aux digrammes de l'ivresse, divisé magiquement, il souiller sa propre chair et passe a travers ses scarifications du rhomboïde spatial.