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31/01/2017

33/01/7021

 

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eran fowler

 

Pourquoi y a-t-il tant de reniement, tant d'abnégation dans votre cœur ? Si peu de destinée dans votre regard ?

Nietzsche

L'aube pétrifiée défige les lettres du sommeil; Nangul nébule l’arriéré mental jusqu'à la prochaine station d’astéroïdes ceinturant les nectars spiritueux; il tire rageusement sur l'encre qui le rattache a la carte ; halète et crache un mélange de nuit et de feu; la corde trace sur les flocons de ciel insulaire, le signe de la foudre qui le fend ; il erre un instant a travers d'immenses cylindres de lettres en révolution ; il s’écrit muettement, au moment ou le rouleau s’écrase, qu'il ne veut pas perdre l'esprit, que l'impression d'être parlant est une seconde respiration qui vient d’au-delà de la trachée, émane du corps de la pensée éclairant les mœurs de la parfaite porosité; dans les crissements du verre poncé et les étirements de pensée, la finalité de la langue et le moyen d'exister se déforment; porté a blanc de spectre, il entends... je te retire la langue ! Qu'il se cache puisqu'il en est indigne ! Et l'ange des ténèbres lui versa dans la gorge les nœuds indissolubles du ciel fait de molécule d'azote raréfiées ; son âme se déchire entre ses mains impuissantes... Nangul ne s'effondre pas, il titube, touche a l'horreur, a ce qu'au plus il craignait ; il y a la une physique très particulière, ou une phénoménologie inversée de l'objet de la peur ; son irréalité informe est tout a coup en prise avec chaque recoin de la conscience ; il regarde le mat de la tente s'envoler a travers le rideau baissé des phénomènes ; le monde disparaît dans cette nuée informe qui couvre la genèse ; sous un ciel ovipare les éléments du guet sont compilés dans les mains courantes ; les soldats passent de casemate en guérites jusqu'à la frontière ; Imx se retourne sur la langue arrachée et détruite, qui gît a même sa création; au pieds de l'arbre de feu, les cauchemars s’immiscent par les fibres des constellations dans la puissance sauvage d'un temple fait de vie ; son dos s'ouvre et scindé, il accouche de ses cotes, le briscards de la mort roulant sur la brume noire et repue de son esprit ; la fleur d'aquila infestera sa vigueur, polluera son ventre mat, jusqu'à ronger la perle, si la langue ne meurt et ne renée pour le réconforter ; Nagul s'enfonce très profondément dans l'illisible, il se débat comme un noyé que les rides de l’océan effacent et biffent, sous les repousses explosives et verdoyantes de l’exhalation ; la fleur exulte des cendres dans l'encre invisible de l’âme ; s'il dessine avec ses bras autre chose que la panique et l'effroi c'est qu'il a déchiré sa langue comme plus tard il rompit le pain, et noué les coins des tringles de la parfaite intelligence; maintenant, irrésistiblement sa main cherche son image dans le dessin que filent les parties aériennes de sa viande.

 

 

 

23/01/2017

A fable!

 

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Incze Mózes

 

La dynamique est morte, laça Imix sur la mer d'huile, a Mix qui farfouillaient les limbes du dessin sous la surface de son cerveau ; quelle est épaisse la couche de verni! épaisse comme une foret l’hiver qui étouffe tout éclair de clarté ! Il s'en saisit, soulève l’épiderme par les branches et le sol se déchire en morceaux spongieux de roche et de lisière ; la pièce gluante lui colle aux mains, ils les secouent et les écureuils s’échappent par les filaments qui se balancent et dessinent la théorie, le schème a peine perceptible d'une Jérusalem avide  de réconciliation; la justification flambe dans la nef avant l'acte précurseur ; la toile pleine de galets vert amazone, vagit comme un trou noir absorbant au seuil de la vérité toute trace d'illusion et d’errements entachant le plus précieux; une exosphère sans porte ni fenêtre s'enroule autour de sa jambe comme un anneau d'or qu'il voit rouler sur la voie extatique, tout au fond du carton; quelque chose s'enroule a l’écho, un doute parcours le fil de la pensée comme une ouïe percé a même le corps d'un instrument ; étonné il se retourne, et gobe le plomb qui lui fait les bottes de scaphandrier, le teint de soudeurs des grands fond, vivant dans les ténèbres de la passion, a mille mille de toute terre habitée ; sous l'eau, il saute a pieds joints sur la surface sans parvenir a la briser... puis tout a coup, s’arrête … vol et plongeon se confondent ; l'esprit alors se détache du monde ; il cesse de s'occuper des mouvements qu'il y perçoit et il découvre que son intimité déborde et survit a l’arrêt du temps, a la fin du monde quand tous les mouvements sont en suspend ; bien sur, l'intimité de la conscience se dévoile dans la poussière ; dans les ruines … mais c'est sans importance puisque l'amour ne les voit pas tant il est transparent auprès de son terme ; l’arrêt du temps est le terme de la déconstruction morphosyntaxique des amarres qui en rompant, rendent a l'esprit ses eaux, l'impression lustrale de lui-même, l'impression maritime que le passage de soi en soi court comme un ruisseau secret sous le sylvestre spirituel ; le faune sensible, se coince les doigts dans les impressions décalées du doute qui cherche la plus intransigeante lumière de vérité éclairant le sarcophage d'une matière non physique; la douleur le réveille de la mort enchaînée ; il se cogne la tête au plafond bas de la crypte ; se lève de sa tombe et ne cherche aucun couteau dans sa poche pour couper les longues radicelles qui descendent de sa motte de terre ; il ne cherche pas non plus a trancher les puits artésiens qui lui traverse les veines vendu a la mort, avec son âme et toutes ses forces ;mais il est certain que c'est dans ces bois qu'il vient d'arracher qu'il trouvera ce lien rompu a nouveau fleuri.

 

 

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Nature savante

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Santiago Caruso

 

Les bois sont la maison du haut parleur ou il colle l'oreille a l’affût des moindres signes de déchirement irréversible ; une armée est a l’écoute du sempiternel chuintement des nappes profondes de la vie, elle scrute dans les interférences de la chute, la naissance du premier mort, l'apparition de la forme qui ruine comme un acouphène le caillots de fleuve. Le mélange d'espace temps est un foireux détonateur de vie qui ne maintient pas par lui-même l'ardeur de la lumière au-delà de l’étincelle ; Ô transepts muets des fakirs mondain ! Homme élévation des chrome a prise rapide !Le chant qui bomba le poêle est hors-la-loi ! Il s’est enfui ! Ô transept fakirs des morts muet! Tout parle du commencement absolu du monde, de l'instant ou l'on ne bouge sans se rejoindre infailliblement ! Un reflet informatique du désir guide la passion absolu de la félicité ! Les mouvements ancillaire des sciences ondulent dans le cœur taillé pour vivre la route. La colline compte les os perdus parmi toutes les ordonnées immuable du vent ; entre les Monts du sommet exceptionnel de l’OMC à Toronto (2014), et ceux télégénique, du shot télévisuel vue d'avion, la pâte n'a pas levée convenablement ; la transparence reste une fève dans la gueule des goélands, fuyant loin du pétrin ou roulent les brumes de comptoirs, comme des yeux tournoyant sur l’âme des plaines gestation ; au commencement, le pressentiment, le terme de la transparence avorte sa fausse couche de mort qui creuse les artères et porte les mots a la bouche ; l'âme est le regard alors sont un, sans distinction, c'est a dire, sans image, pure vision, quintessence de soi dans l’hiver des représentations sensible; l'intelligence dépeuplée, allège du chaos le sens a suivre et projeté non pas en vain, mais concrètement, mot après mots ordonné au ressouvenir restant de la phrase en fin de lecture qui colle a la peau, roule l’épiderme en palpation; le désir qui oriente la réflexion, porte les conditions de la vie a signification possible du bien en des terme qui sont ceux de la langue des yeux et des oreilles, du toucher qui se dresse éternellement en tout ceux qui , comme Imx, progressent dans l’intériorisation ne sont pas sortie comme aphrodite d'une flots de beauté, mais qui furent révélé par un bain d'effroi; Imx, elle, ne peut jeter qu'un regard réducteur sur la révélation explosive du savoureux antérieure qui car elle prétend ne se rappeler de rien, tout en cherchant résolument, et a tâtons la justification de son existence, dans la tension parfaite de sa propre image dans les nœuds d'estomac ou elle s’ébouriffe jusqu'à la clarté; les rayonnage de marbres ouvrent alors leur perspective intemporelle dans la galerie des glaces ; elle n'est plus seulement elle-même, elle scintille et se redresse, perdue dans les produits sanitaire ; et replonge loin, sous le flux superficiel, ou elle raccroche, en bon scaphandrier, les câbles sectionnés des instant parallèles de vie absurde, respire comme une baleine par l’ouïe intérieur la pierre du vide absolue de la vie, l'air intelligible et la lumière conceptuelle transparaissent comme un corps caché dans un ciel de neige ; la vacuité sidérale s’agrippait aux cheveux et aux muscles d'un consommateur surpris par la présence du gouffre sous les néons du supermarché ; comparés aux lueurs d'ordinateur se cache encore des processus d’intériorisation, mêlant lueur supraterrestre et conduit terre a terre des bouche d’aération surannées. La justification rend difficile la procréation.

 

 

 

Chien, parking. Coffre prés de l'escorte ; l'encoche file sur toile goudronnée ; Mix sait qu'elle se trompe quand elle se représente le monde comme une bibliothèque, elle sait qu'aucun savoir ne peut exprimer la nature de l'information qui la guide dans les ténèbres du nihil, ou filtre la rumeur de son acceptation; Imx de chaque coté du miroir attend qu'un vide objectif se présente, qu'une impossibilité la fige dans son chant d’éternel reprouvée ; la mort est comme la voie du verbe qui la penetre de son jugement ; et elle se demande comment ce qui était hier encore une fumée aussi incertaine que l'horizon lointain des poètes, est devenu la vie légère du marbre qui l'assoie face a elle-même la relie déjà a demain ; elle embrasse une place entre deux chaises pendant que les cerveaux du kremlin attendent que l’hystérie de la révélation retombe dans l'histoire du secret ; un soufflet camouflé déstabilisera l'image, gauchira l'idole … tordue, difforme, elle divague en train clownesque vers des messe de pitre exposé dans toutes les foires du monde ; l'affiche est un golem aux formes scandaleuses ; « Demain », le grand quotidien titre : l'hebdomadaire nous a échappé !... les syndicats rappliquent, expliquent les condition paradoxales de la vie et la paix ruisselle sur le verre en forme le tain ou paraît le grain de folie ; des branches de quel savoir sommes nous tombé ? De quel inconnu objectif sommes nous né ? Sang de navet pense au bordel que ce serait si chacun devait subitement intérioriser la parole, l'indéfinissable réalité de ce qui existe avant le temps ; l'anté collision du verbe sur le réel surpris au jour de réflexion, s'extasiait par le néant ; la face grandeur terrestre mêlée d'une présentable image du ciel ; si c'est une bibliothèque qui précède, elle est beaucoup plus intelligente que ça ! Qui dira, en vertu de quel savoir, elle bougea ses yeux ? Sur quel délié de l’interrogation son âme avait-elle trébuchée et chuté des régions qui précédent le savoir ... le sang qui glisse la transparence de la peau donne une autre dimension a ce qu'on entend d'ordinaire par verbe et par langue toute humaine … plusieurs fois elle s’était effondré dans de confuses ténèbres, elle avait été plongé dans des bains de nuit active; mise au courant de la géhenne, l'opacité de l'existence avait tressaillit depuis le germe transparent de la vie ; nombre de fœtus avait été cueillit ; ils étaient travaillé par la grandeur ; ils désirait le déchirement intérieur, la lumière inquiète, qui sombre dans l'ombre de celui qu'elle éclaire en mourant, qui ne la laissera jamais tranquille. Elle le savait par le ventre de ses chienneries et ses doigts tachés de sang, enfoncés dans la viande de la mémoire.