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28/04/2017

Note ni relue ni corrigée (je suis en pleine pollinisation, je fais comme je peux)

 

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http://www.lacanquotidien.fr/blog/wp-content/uploads/2017/04/LQ-674-1.pdf

 

 

La séquence politique du choix entre Macron-Marine ne serait pas dialectique ??? je tombe des nues ??? savez vous bien ce qu'est la dialectique ? … apparemment non … car tout au contraire on est dans un séquence tellement dialectique que pour la plupart des gens voir cote a cote la cause et l'effet, cela les trouble, je veux dire de ceux qui désir encore et qui souffrent et pas des macronistes qui ont déjà effectué leur choix avec la certitude propre a l'insensibilité spirituelle qui semble les caractériser, c'est même a un vertige dialectique qu'on assiste, un abime ou cause et effet se melent et se juxtaposent jusqu'à l'angoisse du choix qui, et là vous avez raison, procede de cette dynamique subjective et de la maniere dont elle est traitée ; marie toi ou ne te maries pas, tu le regretteras egalement, dit un speudonyme de kierkegaard dans les diapsalmatas … or ce moment dialectique ou l'ame est prise de vertige devant sa propre liberté est proprement le signe non pas du tout d'un sommet dialectique, mais du degres zero de la dialectique ; et certes vous pourriez dire que ce degres zero de la dialectique est aussi l'absence de dialectique ; mais vous auriez tort, car le depassement du dialectique dont le degres zero est le vertige de l'angoisse, ne peut se faire que lorsque les premisses de la conclusion, les premisses du choix, sont tel qu'une verité eternel paraît dans le temps ; la on est au terme de la dialectique terme au-dela duquel s'ouvre l'immense sphere du religieux et de la foi … voilà pour la mise au point, et encore une fois cela ne m'etonne pas du tout que les lacaniens comprennent en grande partie les choses a l'envers ; cette erreur a sa cause dans la lecture freudienne de l'angoisse qui est vue comme une conscequence du trauma et non comme l'ouverture dialectique d'un possible qui depasse le dialectique …. par contre milles merci a Miller de mettre de l'eau dans le vin des anathemes idiots qui nuises a une lecture lucide de la catastrophe que represente , en plus de Marine, Macron, l'idiot utile de la finance perverse … je m'etonne au demeurant qu'aucune analyse de la situation n'est été faites sur le mode de la repetition nevrotique dont nous revivons tous les cinq ans un episodes de plus en plus histerique … votez macron comme il vous plaira, mais arreter de dire que vous faites ainsi barrage au fn puisqu'au contraire vous lui preparer le lit pour les prochaine election.

 

Note ni relue ni corrigée

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http://www.lacanquotidien.fr/blog/wp-content/uploads/2017/04/LQ-673.pdf

 

 

Il arrive parfois que les somnambules en leur divan s’assoupissent et rêvent a haute voie ; on leur dit « bailler » et il ouvrent la bouche d'ou s'echappe un socrate de songe pactisant avec criton … et en leur rêve l'injustice qu'il contribue a perpetuer les bercent et leur procure telle sensation de délice interieure qu'ils jouissent de volupté ; le spectateur normalement contitiué de cette scéne s'effrait bien evidement de voir que les defenseur de l'être, les gardien du dynamisme premier, tire leur jouissance d'un acquiesement avec le diable ; si socrate n'etait pas mort au soir de son jugement, la cité d'athéne aurait sombré dans la folie sophistique avant qu'il ne soit longtemps ; aussi voter macron c'est consentir a preter ses forces a la cause qui precisement produit le mal … est-ce celà une bonne chirurgie ? Ou nles pratique d'un charlatant ? … le christ aussi c'est tut devant Pilate ; alors je comprend bien que des psychanalystes preconisent le moon walking a haute doses généralisée mais de la nous faire prendre un reflex proessionel pour un acte libre, y'a encore du jeu … de ce jeu, ce bac a sable a taille extensible ou des clones de macron reve de château en espagne …. non mais sans rire !!! ENORME MON NEZ !!! … nous devrions sacrifier toute notre liberté pour en retour recevoir par charité express, un peu de compassion sur la laisse qui nous rattache a ce monsieurs … JA-MAIS !!! … je prefere un liberté acquise au prix des plus grand risques qu'un verre de lait chaque soir assuré a la tête .. putain mais chacun prendra tres exactement sa place si le choix du pas de coté pouvait vous arracher a la jouissance de votre propre mensonge … car un mensone il en faut bien un au moins a la racine d'une ame, s'il faut qu'elle se la raconte pour l'éternité .. cette alternative qui s'affiche trop ostensiblement comme une parfaite symetrie est le choix des imbecile c'est un choix qui n'est un choix que pour ceux qui ont renoncé a toute intelligence … en choisissant de chassez marine du temple vous faites entrer les marchands … faut dire que c'est con … c'est con comme la naissance, si vous faites un pas de coté, et que par un risque plus grand vous laissiez le monstre a deux tete s'entre dévorer, s'auto-detruire … est-ce communiste ? Troskyste ? Lepenostallinien ou arabomaoiste ? J'en sais rien et je m'en fous … car encore une fois nous ne voyons pas tres bien ou commence la cause et ou fini la conséquence … Althusser aurait voter Macron ?? La bonne blague … lui savait le paradoxe et ça l'a rendu fou … vous voulez trodre le cou a Marine, ne votez pas Macron .. , mais bon, parler de Répétition a des psychanalistes qui n'attendent même plus le retour du refoulé c'est peine perdue, parc'est leur job en fin de compte n'est pas de sortir de la névrose mais juste d'apprendre a danser ; mais, ils sont tellement professionnels, ils ont la tete tellement dans le guidon qu'il ne s'en rendent meme pas compte que le silence de melenchon est un pas de coté, un silence qui en dit long sur l'autre possibilité, compltement differente d'exister ; toute verité en psychanalyse n'est pas mutadis mandis une loi politique ; le retour du refoulé, si on vous suit, ne reviendra jamais … adieux berte on fait une croix dessu et on vote Macron … et vous condamnez l’esprit a l'immobilité ; c'est plus Socrate c'est le juif errant ; Ashaverrus tourne dans le tore infini de la terre comme une décharge electrique cherchant les pôle de l'apaisement ; la fillote du père le pen se sentirait coupable d'avoir tuer le père ?? … j'entends ce que vous voulez dire, mais ce n'est pas suffisant, il faut y adjoindre l'autre possibilité existentielle, l'autre lecture de l’enthousiasme et de la joie de la liberté qu'elle conquiert et qu'elle ressent comme un destin qu'elle veut faire descendre sur la france .. est-ce moins raisonnable de penser ainsi ? Je ne crois pas … pourquoi voir les choses par le petit bout de la lorgnette … on ne vote pas donc on est fasciste … je vous dis moi qu'une énorme poutre flotte dans votre œil et que son nom est chimérique comme la courbe de moebius tournant dans le néant de leur langue venimeuses … .… et c'est ça qui vous taraude au fond, vous les psychanalystes, c'est pas tant l'histoire de la France qui vous inquiete, ce que vous aimez c'est d'errer comme des ame en peine autour du mystère de la fondation sans pouvoir contempler l’œuvre entière, toute la production .. et c'est ce schéma qu'au fond vous voulez reproduire en ce monde … vous êtes des ames captivées par la mitochondrie … votez le mâle et vous aurait la femelle … et ça ça vous fait jouir putain ! a un point extra ordinaire ! au point de passer votre vie a ecouter mettre vos mains sous la source pour l'entendre chuinter, assis dans un fauteuil … vous citez les femmes savantes mais la situation relève davantage du médecin malgré lui.....

 

24/04/2017

Anthrobscéne

 

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Francesco Lorenzetti

 

 

   Quand Nicolas de Cues déclara, cent cinquante ans avant Galilée qu' « il n'est pas possible que la terre soit au centre de l'univers !!! », il s'agissait pour lui, a titre de tâche personnelle dans l'existence, de redonner au pendule de sa sensibilité son diapason perdu au cours des rythme faux des feuilles pendues, aux branches de la parole en expansion, et ainsi de rendre la vérité aux êtres de son expression; et il devint sensible plus encore aux écarts fait a la justice, quand la tête dans la cruauté des pensées, il ressentit que s'allumaient des étoiles dans sa poitrine; la connaissance perdue revient sans cruauté aux revenants que le monde a écrasé ; ils s'enseignent par l'amour de la vie de la certitude retrouvée ; ce fruit de l'arbre de la connaissance que les sciences avaient troublées ; ces feuilles qui s'agitent en tout sens quand le vent est mauvais ; les branches secouées de rêves et d'illogismes, craquant sous le poids des aiguille, tombent a terre par saccades ; l'herbe noire sort alors du trou en renouée de pierre et de scellement posé sur le brulé qui n'est plus que l'ombre d'un soleil désarticulé; l'horizon tourne comme un moulin a vent enchanté; et ce carrousels de colchiques, de pissenlits et de navets se voit telle une bannière déconfite, avec encore au fond des yeux, l'oriflamme lamentable des défaites, et leur couleurs de couleuvres avalées pour retrouver l’apesanteur du désir ; la tête dans l'étiolement de l'insensible, son trône plus grand que tous les scenarii possible, se positionne dans la théodicée des gestes quotidiens; gestes de la pensée dont les faces se mettaient en axe avec ce dont on ne peut rien concevoir de plus grand, quand le trouble disruptif de l'angoisse dernière collapsait le doute réel; Nicolas se reconnaissait existant a travers le paradoxe, plante célestement suspendue au chaos apparent, qui, en savant narcisse du reflet, savait que le redoublement de l'idée, n'avait pas d’intérêt par son contenu, mais par sa forme dont le rôle était de confondre la sensibilité a elle-même et de pétrir la tripe tel qu'en soi, le mensonge confondu et déchirant la sensibilité fut lesée ; penser c'est connaître un état de suppression, c'est dire « cela n'existe pas » puisque rien de ce qui est dit ne pourra prouver sa réalité, dire son simple fait d'être qui échappe a la pensée ; mais donne a moudre les graines de sénevé et la certitude propre a la chair coupée du monde ; penser c'est se sentir et travers le dévoilé, c'est tâter de la trame par le voile; aussi essaya -t-il de penser en se tapant sur les doigts !!! et il vérifia que c’était impossible parce que le flux intérieur des sentiments sous le coup de marteau chasse la langue, pétrifie la vie, assèche instantanément les muscles et les tendons de toute capacité de parler ; et cette crainte de la conséquence dernière et inconnue de ses actes s'actualisa comme la plus grande souffrance: celle de l'existence privée de langage, l'existence de la confusion des trains et des chambres a gaz; et entre deux exterminations le vote pour le gentil macron, pour renouer avec les signifiants mort-nés; il rota, a la santé de son action désintéressée ... Musil en francanie va devenir nécessaire...  alors que le joug pourtant léger qui vient après le coup de marteau etait a nouveau refoulé. C'est toujours ainsi lorsqu'on vit à périssons, fit armorier la Graine d'un ton bienveillant, alors que la dette tournait au-dessus de leur tête de con... lorsqu'on vit à périssons ! … la mémoire enterre plus vite dans les deux sens, a périssons ! De malentendu en mauvaise intelligence des formes du printemps le dessin de reforme s'estompa, les chaines signifiantes des agencement de l'esprit exilé sous les nuées de lauriers obtenus sans combats couvrirent les intentions pleines de bonnes mesures propre a faire plier la règle; les fleurs sans dessin, épongeaient les cerveaux ivre et en plein dépaysement;  l'aiguillon de porcelaine blanche perça la poche placentaire, et fit jaillir du bubon le pus jouant des ronces ; l'avide herborisation des cloches mathématiciennes, poussa son chant oublié en des lieux inhumains ; la vision greffa au tronc aveugle, des projets de propositions des projections de projets et de stockage du châle d'argon parlant cosmos du paradoxe à voix haute. Le jardin a nouveau se couvrit d’épine et au centre des galeries interminables de l'Hades, le cloitre esquissé avec sujétion, redevint, par la science étrange du récemment, l'inactuel secret du nid enfouies dans les branchages du palimpseste.

 

Qui veut de l'objet contre factuel de la science selon l'ergonomie épistémique du paradoxe, veut aussi de cette matière première, insaisissable, fluente et immuable, du dernier voile du saint de la mue. Job assis sur le massif de déchets sans queue ni tête de sa science de la vie qui s’étiole, de fils en fils, brisé, rompu, accablé de souffrance, rendu au creuset de la certitude coupée de la relativité de la félicité absolue, pense que la réalité de l'impression d'exister en sa valeur absolue, se perd souvent dans l'instant, dans la mesure ou les heures sont déjà déchargées par avance du poids et des conséquences d'une parole, alors, vide de mot, qui chantait, malgré le désir et ses souffrances, ivre de parole.

 

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