Contre des bêtes.

 

Strip de C. de Trogoff
"Contre des bêtes"

 

Elle penchait trop au mur, par dessus le miroir pour ne pas se sentir happer par l'eau du vide,

qui la traversait par la moelle des os jusqu'aux vibrations synaptiques, toutes inondées de vase, de vaseline, écorchée par les vagues de lumière indivisible,

et la marée nouant la gorge envahit d'algues, respirantes du sommeil des nattes,

le souffle profond d'une oreille de tourbe concentrerait les fables.

On savait qu'aimer été le seul lien avec l'eternel objet de notre malentendu.

 

Lirréparable, amalgame  de la langue au grain percé de secret, défibre chaque articulation d'ombre, chaque photon, dechirant, dévoilant un atome de l'incandescence éternelle de l'oeil du père

ravalant  mon vocabulaire de chien au domestique abandon du mirroir,

une syntaxe infinie du désir signifiant l’un-saisissable

rendait le mouvement immobile,

innoculé la peur,

et l'immobile mouvant comme une ardeur irréfrangible et libre.

Pas un jour, pas une heure nous ne l'avons dédit!

L'un signifiant n'en finissait pas de luire......

Jamais il ne parla.

Mais épela le mort qui dévorait la lumière de vague encens,

subtil comme le mensonge,

fort contre sa calomnie.

 

Cosmic strip.

Silence au parlement.

 

 

L’équilibre dialectique sera t-il atteins cette année? C'est en tout cas, la question que nous avons poser au ministre de l’Économie et des Finances.

Le rapporteur des séances me confirmera, bien plus tard par sa réponse que notre choix était le bon. Le sens de l’équilibre, n'est pas le perpétuel échange mais l'accumulation. Mais son avis avait été plus mitigée, concernant l’enthousiasme des sénateurs présent a la séance, lorsqu'il fut question de l'a-croissance des pôles de production des différences, de la dilatations des tensions et des arguments visibles pour des raisons de se déchirer. Bien évidemment c'est dans l'esprit de protéger les possesseurs de richesse, comme il est légitime de croire chacun possesseur de son bien, que nous avons, dans la sérénité je dois le dire,  légiféré en faveur de la sauvegarde des droits du travailleurs (auquel nous pensons pouvoir reconnaître d'ici le printemps prochain, la pleine est entière liberté sur ce qu'il produit) et pour la justice du producteur. A ce propos je rappelle a nos collègues écologiste que la conscience de l’origine a en permanence sous tendue l'ensemble des débats.Tous les sénateurs présents a la séance approuvèrent ma proposition de loi, j'ai même cru un instant qu'ils y voyaient tout un ciel de solutions. D'ailleurs, un panel de loi devrait voir le jour a la rentrée. Il s’agira pour elles de contrebalancer l'effet pervers de la croyance en la suspension définitive des raisons d’espérer, et de renverser la forteresse du paradoxe existentielle qui rétablit la confiance.

-N'est ce pas, au fond, a vous les hommes politiques providentiels, de refaire ce que vos collègues de l'opposition avez défait lors du quinquennat précédent?

-Pas du tout! le gouvernement précédent avait toujours ajourné les décisions importantes en matière de bien publique. Nous au contraire nous nous attelons a la tache

  L’assechement des bulles financières par le crédits investissements sur l'avenir, produit de la conscience de la confiance en l'argent, dont je rappelle que le projet avait été approuvé par Bercy et par la Cours des Comptes. C'est pour cela que si l'impôt fuit du ballast, nous ne lutterons pas efficacement contre l'accumulation quantitative d'une tendance qualitative toute a fait arbitraire... Nous , et quand je dis nous, je veux parler du gouvernement mais aussi du peuple, des frmncvw dont je tiens la légitimité de mon pouvoir, et auquel je veux, ici, m'adresser a travers vous Mr le Ministre des finances et de l'industrie, Nous avons les moyens de mener a terme l’Équilibre dialectique de l’histoire, le présent, nous le croyons et des millions de gens le croient pour nous, les hommes politique....etc...etc...