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27/09/2013

sans titre (en cours)

Pour qui pénétrait pour la première fois chez Siphyl la façade de la maison donnant sur une rue du centre ville, ne laissait en rien présageé ce qu'elle masquait. Une lune empruntée d'un guide touristique affichait sa mine resplendissante de vent d'autan, plus luisante que jamais, poncée et vernis par le vent, revenue des sombres nuées, elle deversait sa vision, comme un oeil amondé qui roulaient dans le ciment crevé des briques romaines ; celles qui restent bien en place droite et stoïque n'avaient pourtant pas le charme des empilements tassés par le temps ; et qui font que les batiments sont moins raides que nobles, moins visible que lisible, dignement apaisé, acquis au repos justifié ; ainsi de ces briques qui poussent le longs des murs des augustins et qui avec l'age laissent apparaître le mouvement du temps sur les longues distance, lorsque le flux de matiere se repenetre et que l'effrittement de la poudre matte la cascade comme un signe ntre, qui bave legerement, dans ses joints d'escargots a cornue de phoenix et que les murs disparaissent et laissent apparaître la charpente des portes du temps se refermer comme un secret.

Sous un bref mais étincellent tapis d'étoiles, la façade semblait une mer dont le toit etait un ocean, hérissé de bornes inconnues et massive d'ou s'echappé l'hivers une belles fumée ; les fenetres etaient les plus belles en plein jour, quand le diamant gris de la garonne chantait sous les vitres aux allures d'orient, de conques chinoise, scrutant sous un oeil de bois, les toits en quinqoence, de l'autre rive, qui la recouvraient tout autant, dans un drappé jeté de vagues qui faisait que ce toit la particulierement, ressmblait a un navire sur la vague du temps ; le batiment semblait voyager dans le temps, un navire tout au bonheur de la traversé, de tuiles qui manquaient et par ou la forme du navire risquait de s'effondrait, si on passait devant sans se retourner, sans s'etonner de leur clin d'oeil qui fasciné pourtant souvent le regards avide des touriste en quete d'authenticité, de verte primitive expression de l'impression geographique qu'une contrée de l'etre imprime sur l'etant ; mais aucun touriste ne connaitrait le peintre connectiviste qu'elle abrité ; sa geographie en aurait ete toute modifié etr il n'aurait put rentrée chez lui, a moins de transformer sa vie en odyssée ; ce qui est risqué meme pour les agent d'assurance qui ne propose pas cette option aux agences touristiques.

 

Cette pittoresque maison brillait comme une enlumineure au coeur de la ville, elle ne battait pourtant tambour devant sa porte toute tapissait de persienne ombres tombantes comme une fantasque mantille sur le regard clos par des volet de bois dejantée qui lui donnait l'air de sourire melancoliquement ; une enorme porte cochere de bois sculptée en interdisait l'entrée ; mais pour en lire les blason il eut mieux valut etre aveugle et le dechiffrer au toucher tant les couches de graffiti avait recouvert l'ornementation, qui s'etait rebellé en les deformant, non pas sans malice ; quand la porte pivotait sur ces gonds en grincants, on etait de suite confronté a un abime d'obscurité, qu'aucun eclat de lune n'etiolait si bien que pour ceux qui ne connaissaient pas les lieux il etait impossible d'avancer autrement qu'a tatons, et de rejoindre le jardin de la cour interieure dans la gestuelles des zombies surgissant des fosses eternelles. Ils etaient recu par deux tours rondes, coiffées de toits en éteignoir, qui leur tendaient les bras, flanqués aux angles du bâtiment, et sur la façade desquelles une tapiserie de lierre couvrait à demi les briques rogné et poreuses comme des pierre au seuil de la pulverisation. Entre les deux tours de cet ancienne gentilhommière qui avait un temps été convenablement transformé en hôtel particulier, mais qui desormais semblait le spectre croisées de ces anciens visages, s'étendaient une série de cinq ouvertures dont quatre etaient des fenêtres éteintes et delabrées ou avaient du dormir les vaches avant les chevaux, et qui maintenant servaient d'atelier de peinture a Siphyl. Les toiles se compilaient dans l'ancienne mangeoire qui faisaient dans l'ombre, comme un maroquin de cuir souple rattachant toutes les pages d'un épais livre. De toute évidence c'était un lieu solitaire dont l'incurie montrait que le propriétaire ne recevait que peu de visites soit par goût de solitude, soit par dégoût des hommes, soit les deux. Au fond de l'atelier, pongé dans la pénombre, grésillait la chaude lumière d'un panel d'écran d'ordinateur ; sur le sol entre les palettes encroûtées de peinture sèche, se tortillées un nombre incroyables de fils électriques qui alimentaient aussi bien plusieurs puissants ordinateur montés en série, qu'une petite scennette devant laquelle un appareille photo gros comme une tête de boeuf attirait sous le feu croisé de trois parapluies de lumière argentée chére aux photographes qui éclaboussaient la remise d'une fleur de moisissure présentant les tons pales et décharnée de cadavre surexposés en leur décomposition sous l'oeil parfaitement aveuglant des pierres. Syphil peignait avec les outils de son temps ; et de même qu'un changement technologique est capable de révolutionner toute une civilisation, siphyl , de peintre était devenu, « connectiviste » après avoir était subjugué par la peinture de Shalima en Espagne. A le voir, on aurait cru voir Montaigne dans sa tour bibliothèque, en robe de chambre de damas lisant et méditant a la lueur des inscriptions de cire rouge des sentences de Pyrrhon, gravées aux solives, les oeuvres de saint augustin et de virgile dans leur langue. Le rayonnement au plasma lactée le visage de siphyl d'un bain au néon qui modifiait étrangement ces trait et le rendaient semblable aux choses et aux etres de toutes sortes qu'il collectionnée par amour des situations ambiguës, des états de la vase, de la boue reflechissant sur l'entre deux, comme ces vase étrusques aux formes totalement barbares, et ces coraux et ses fossiles de vegetaux marins qui s'accumulaient dans une indescriptible pagaille tout autour de lui entre les planches entomophiles et le tapis de croquis qui jonchées sur le sol. Désormais,

peindre ne signifiait plus pour lui, représenter quoi que ce soit, mais subvertir, rendre l'intelligible aux inconnus, leurs rendre au moins cette justice là, manifester le paradoxe ; depuis sa rencontre avec Shalilma, peindre était devenu pour lui un acte aussi complexe et contradictoire qu'une revelation ou il s'agissait de franchir le mur du langage tout en épousant les moindres modifications de ses reflets et par eux toucher a la fois au réel et au dédit de la langue se purifiant d'elle même ; car s'il ne représentait rien, son connectivisme n'était pas un art dit figuratif, ni abstrait, mais, foncièrement éthique, qui rendait au spectateur le sentiment de soi, et sensible la pate essentielle du rien propre a tout parachèvement de la compréhension ; c'est l'essence de l'amour qui prenait forme sous ses doigts comme elle avait pris forme sous ceux de Shalima ; comprendre et être compris était pour lui l'essentiel de l'amour ; et a bien y regarder, quand depuis le bouleversements de sa rencontre en Espagne, il y avait été porté des son enfance par son goût pour les collections qui avait peu a peu dévoré sa vie en envoyé en Espagne rechercher la pièce de nautile fossilisé qui lui manquait ; pour rendre sensible son intelligence du réel ou croyait il ce réel, cesserais peu être de ne manifester que de l'indifférence objective a l'endroit de son existence ; la sienne, qui lui était plus chére qu'aucune autre, puisqu'il n'avait jamais connu que des amours malheureux ; jusqu'à le recouvrir, l'ensevelir physiquement, de sa bure iconoclaste de cornes et de vieux grimoires parcheminé du feux des morts qui y avaient avant lui trouver trace de la vie, et qui reposaient désormais comme un archipel d'îlots, sur une mer de relief écumant dans son atelier de la rue de la Pomme a Toulouse l'eau par le sable parlant. Il peignait « la pure porosité de la mort », « l'eau du styx », comme d'autres avaient peint Ophélie emporté par un court d'eau ; ces toiles avaient la forces retors de conviction philosophique mais exprimait directement, prise au pieds de la lettre, il ne peignait pas quelque chose avec son intelligence, mais l'intelligence déployant son poème. Un buste d'Aristote gravitait immuablement eteind sur un manteau de cheminée ; une vielle armoire dégorgeait de livre, qui n'était qu'une vague de plus dans tout ce maelström ou Syphil, loin des commodités de la vie, apprenait a nager seul dans l'éternité.

 

L'écran palpitait au rythme des transformations du vide ; s'il s'arrêtait sur une image c'est qu'il lui trouvait, une vacuité encore plus grande, une vacuité redoublée, ou l'objet infini du désir trouve le cadre réflexif de l'éternité, un sujet, auquel appartenir réellement, pour envisager le néant immédiat de toutes les matières qui respiraient malgré tout, encore contre lui, mais tellement subvertie par sa mort a lui-même, qu'elles ne signifiaient plus rien immédiatement, si ce n'est que la machoir du grappin planté dans le monde se détruisait irréversiblement ; alors le combat commençait pour , de lui contre lui-même, exprimer la réalité de l'idéal distance, la réalité de la mort a soi, qui est la réalité la plus intime dans l'intime de l'existence et de la vie.

 

Face a la toile il avait éprouvé ce que c'était que de faire face a un signe ; comme a une disjonction du cours des eaux d'une cascades ; la, a n'importe quel moment, comme une tranche harmonique d'une symphonie ; la coupe humaine des fibres optique, le cisaillement du coup de foudre, du coup de foutre ou du coup de folie ; le sens, son apparition est impossible, il n'est que disceminé dans un réseaux qui nous échappent mais que traquent les « connectiviste » qui en suivent la trace brute en quelque sorte ; objectivement angoissante cessure du cours familier des chose ; interruption des programmes ; il peignait avec l'instinct retrouvé d'une fleur pour le soleil, mais il s'ouvrait plus difficilement qu'une huître ; aussi muet qu'une tombe, il faisait parlait le silence en lui, a grand de tour de vérins quand il devait raisonner ce qu'il exprimait aussi bien en chantant ; il écarquillait son intelligence borné comme on brise un oeuf préhistorique, a coup de refus de la masse dans le thermomètres du vide ; Le feu de synthèse ne reflète pas les lettre qu'il porte écrite ; siphyl, parfois sentait que la peinture le portait a écrire des sermons ; ce point d'orgue ou la mèche frappe la chair sensible pour la remnaner a son angoisse et a l'intelligence de la seule chose dont l'homme soit capable sur terre, son néant ; mais les lettres inscrites sur la page blanche, comme sur l'ordinateur, ne formaient aucune ombre ; aucune autre ombre ; elle en arrêtaient le cours ; le signe traçait un point d'arrêt a l'action et offrait un soutient ideal qu'il faillait percer de mystere réel ; les premières présentations préhistoriques temoignent de la boucle éthique de la representation ; de choir dans l'esthétisme était sa tentation.

 

Ce soir la, Gil surpris Siphyl devant son écran, plongeait dans le souvenir d'une causerie qui avait été cause de querelle avec Gil ; mais alors qu'il se ressouvenait du motif de la querelle, et que la justification lui semblait gagné, le réel le rappela a lui, et il effaça sans remords ce sujets de troubles entre eux qui brouille aussi ce qu'il y a de plus intime en soi ; c'est presque s'il se jeta dans ces bras, accablé de cet autre souvenir de la mort de nerey ; mais il se retint a la joie de Gil qui semblait avoir tout oublié en le voyant. Et Gil ne venait jamais les mains vides, il arrivaient qu'il ramena de ses voyages des objet utile aux collections de Syphil, mais cette fois, la, il tenait d'une main une bouteille capitonnée de cire dans la main droite et une liasse de feuilles dans l'autre main ; syphil en les voyant pensa a tout ce temps qu'elles comprimaient en fine tranche ciselées de rupture d'anévrisme de la sensation, et a la passion aussi, dont il faut être habité pour pouvoir vouloir y lire autre chose qu'une information, et voir surgir de ces signes, la réalité transformée, la grace de toute une épiphanie du fluide de verre inconnu, du tabouret qu'on tire de l'ombre et qui se rapproche pres des verres qu'ils rincent a l'évier.

 

  • comment vas-tu?

  • Bien...

  • vers ou?

  • Toujours le même chemin...ni plus ni moins de bosses que de coup de marteau sur l'airain...

  • ...t'as l'air en forme dis donc! mon cher marteau...

 

L'écurie plongée au trois quarts dans la pénombre, avait les dimension d'une cathédrale ; mais Syphil chassa cette idée parce qu'elle était une tentation de la peinture de fourvoyer son coeur en s'attachant davantage aux reflets qu'aux êtres.

- j'ensemence des larme du regret, les perles de ma clairvoyance.

 

 

La nuit, se consumma lentement, comme prise dans un sentiment immobile,hors du monde, ou la matiere de l'autre et la juste devant vous et hors du temps ; une qualité humaine transcendante s'insinuait partout, dans le motif du tapis d'orient. Et gil se retourna pour saisir le feuillet de poeme posé sur une boussole entre les mots bureau et danse qui coincée une serie de spets livres parfaitement reliée et posé sur le bureau.

25/09/2013

Chateau misére

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24/09/2013

sans titre

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