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07/07/2014

sans titre (en cours)

Des segments lourds du magnolia coulait le parfum d'un pi visqueux hérissé d'incisives pinces éclatant la fontanelle de l'intelligence relâchée au front jupitérien du jardin relaxé; les branches de l’étincelle collaient a la main et se rétractaient et s'écartaient a mesure du recueillement du lait dans la paume des fontaines extatiques du nid d'os rutilants ; l'oiseau de feu surveillait l’œuf unique du vide ; la serre déjà étincelle dans ses yeux, pleins de doigtés musiciens et de fantomatiques liaisons prêt a déchirer les organes du reptile lien qui pourrait emporter son bien dans d'autres intelligences cachées; un cormoran vint a passer qui arracha la première pétale, puis une mouette migra au-delà des océans en emportant la seconde; enfin la chèvre et la jument, tour a tour avalèrent ce qui restait du bien apparent; l'oiseau de feu tournait plus haut dans le ciel ; il lui sembla qu'il n'avait rien perdu mais que l'extase de son renoncement s’était agrandit d’une douleur supplémentaire, au-delà des bornes de l'univers, ou il n'avait aucun espoir de revoir l'apparence du bien perdu, qui cerclait son œil défunt et perçant de l'orbe d'un éclair fouillant les herbes a la recherche des racines les plus hautes du ciel.

05/07/2014

note

Au-dessus de la lucidité de la parfaite frustration des départ en vacances, l'ombrage d'une humeur qui prouve qu'on est encore loin du seuil de pauvreté, du deuil de la terre quand on est sur les aires d'autoroute enervés et peu prompt a la joie du sacrifice, quand le besoin que l'on a l'un de l'autre fondamentalement s'obscurcit de voluptueuses reflexion sur notre confort qu'on prend comme objet du souci et qui pour cette raison doit s'effacer, parce que la joie de l'existence de ceux qui nous sont cause de sacrifice, est la réalité sentie du dépassement de la pensée abolie, reconnaissant en ce besoin la nature éclaté du lien humain a refaire en matière de joie céleste; le cauchemar des contes agite les ténèbres contre le pouvoir agissant déterminant, scintillant du développement de la conscience; son ciel symboliquement admis a demeure d’être complètement juste quand on éprouve un sentiment pour l’irreprésentable dont Dieu est le concept. Cette pensée éteindra le souci en illuminant le renoncement a soi qui l'incarne, et tu seras toi mais comme tu ne l'as jamais été auparavant. L'obscur souci qui encombre l’âme s'agite et se déchire en une ultime déflagration virtuose pleine de boulons et de ferrailles enherbée, lourd ciel chargées de carcasses comme une casse auto, comme une tache solaire rutilante des grain de la photo en pleine lumière du bain dans la javel des noman's land en friche d'absolu. L’idéal en effet n'a rien de platonicien, il est l’essor de la conscience dans la performance vitale de l'amour, aussi vide que le retour au rien de la pulsion dans la compréhension de soi, accomplissant ce qu'il en comprend du sens de l’être s'abolissant lui-même en pensée, pour s’annoncer et paraitre hors de toute représentation quand il parait face a l'autre bord, celui auquel tu touche quand le rideau se baisse et qu'alors comme un humus dispersé dans les racines éclatées de l'humanité, a travers l’électricité conflictuelle de la mise en rapport du bien commun diversement définit et interprété, unanimement reconnu et supposé tu déposse sur la terre nouvelle une foulée incommensurable dépassant toute pensée. Toutes les racines mènent au tronc, c'est a travers leur rassemblement que monte en sève la conscience du faîte. Mais il ne faut pas oublier de concevoir le reflux essentiel, l'espace vide du boyau de projection, libéré des operculaires représentations mensongères de la vérité.....des mystiques effusions de lave sur la sève des maux, et de flétrissures chamelles engrossées de drapeau hurlant dans le ventre comme des arpéges de douleurs, nous apprenons que l’harmonie du ton infiniment disloqué et dissonant de la souffrance qui se torture elle-même, manque de courage pour se renoncer, et que le désespoir infini nous apprend notre manque de foi capable d'endolorir encore davantage et sans fin le tourment des pensées qui broient le cœur redevenu sauvage de l'appétit premier de toute splendeur fondamentale et derniere; la vie humaine, est éternellement simple quand elle n'a plus a s'occuper d’elle-même, que de relever les piliers du ciel sur la terre ou elle ne fait que passer.



Du tout. C'est tout le contraire, de c'que c’était ! c'est un état de manque absolu, dépourvu aussi de toutes frustrations qui s'alimente de saine lecture de la procrastination ; qui ne regrette rien de ce qu'il perd, mais allège l'espérance de tout un monde ou s'expertise justement l'élévation, l’équilibre de ta valeur absolue, ton charisme éternel de ciel bleu houle comme les chaînes aux chevilles de condamnés a rouler boulet du jugement a tout bout de champs obstrué, les écrous hérités ne te sont ni fatal ni destiné, voilà ton héritage commun ; mais en lui la possibilité t'es offerte d’éprouver ton être absolu en sa valeur véritablement éternelle, aussi simple que transfigurée en un salut souriant qui réchauffe le sang d'un mot d'amour subvertissant le sens de la menace induite de nos court poème, la souffrance disparaîtrait alors d'une telle pensée et du corps qui se libère lui-même, s'abolit en faisant le choix de sa réalité supposée don excellent et parfaitement incompréhensible et réelle ; nulle maîtrise ici, de l'absolu et pourtant son maintient dans le rythme atteste de l'effacement progressif du faux dont ton corps est infesté ; de quelle branche le départ de feu est-il la partie ? Lui qui éclaire sa propre présence n'est qu'un corps labyrinthique sous les lamelles du microscopes électroniques, une forme informe qui informe toute forme.

Peut-être ne retrouveras-tu jamais l'arbre si le décollement culturel de ta sensation a son intuition, ne s'unit a nouveau selon le concept du dépassement des myopie qui ne perçoivent que les mycoses de sentes dans les voix du mystère et s'en font un alibi de haine? Liberté, égalité, fraternité trois déclinaisons du même être progressant dans la compréhension de son propre concept de fils de dieu. Et déjà plus le même ressentit non plus quand tout est décollé, quand le cauchemars des contes rappelle l'agitation première de l'esprit qui trouble jusqu'à réaliser la difficile et douloureuse nouaison de la joie. Mais l'onto-poeisis est une musique qui coud la poche de transparence d'une cicatrice faite au dos de l’âme, un lifting de l'eau des yeux qui élargit la sobriété jusqu'à l'ivresse de la portée agrandit par la souffrance, de la vision, une superposition de l’écho du silence de la pensée, réfracté comme un heurt sur la conscience de l’éveil, résonnant par mont et par vaux qui le répètent comme la bonne nouvelle, du scandale absolu d’être en vie quoiqu'intégralement mort au monde systématiquement cohérent et aimé de celui qui t'as créé.

 

s

La faim est l'appétit, la peur de manquer s'installe dans l'aliment le sentiment du ventre sexuel de la realité. Il y a dans l'effroi une disproportion entre la beauté ideal et l'horreur constaté une difference totale de tonalité qui rend les choses d'une certain point de vue, dependante et identique, fluide dans leur nouaisons qu'elle en abolissant constamment la charge et s'eleve dans l'oubli pensant retrouver l'abolition contante des données les plus cheres et essentielles de la realitrés, selectionné et defendu par la souffrance.