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03/05/2015

La glande pinéale

 

Tous les partis politique ne se valent pas ; leur axiologie dépend de ce qu'ils font de la France comme détermination dialectique intermédiaire entre la mondialisation et l’intérêt eschatologique de l'Individu; or c'est un fait que dans la conscience contemporaine standardisée, tous s'amalgament dans un même dénie et refoulement du peuple qui ne s'y reconnaît plus ; ce dénie généralisé pourrait être le signe d'une impasse des anciennes logiques de la seule consommation qui ont médiatisé au prix d'une javélisation de l'identité nationale, les intérêts particuliers dissous dans ceux des grands groupes multinationaux qui les subsument ; de toute évidence aussi, le fait que ces grands groupes ne jouent plus le jeu de la valorisation des intérêts particuliers qui les fondent par leur efforts (optimisation fiscale), le fait que ces grands groupes aient dérivés d'une logique de l'enrichissement de l’état nation (groupe nationalisés) vers une logique de financiarisation qui exploite univoquement les nations, les déchirent et les appauvrit de toutes les ressources et richesses dans lesquelles ils puisent pourtant leur essor, a augmenté l'angoisse existentielle primordiale et l'a portée jusqu'au désespoir qui s'exprime partout comme étant désormais la qualité propre de la médiation entre l'universel et le particulier ; l'universel, a cause de cette expatriation du cycle de la souffrance et du travail a délocalisée dans l'abstraction la souffrance du désir qui meut tout ; l'individu soumis aux puissances de l'argent n'est plus le lieu régional de la réalisation de l'universel, l'universel devenu abstrait par la puissance de l'argent qui n'ont aucun lieu sur terre, ni aucun nom, ont pris les apparences d'une langue de l'eschatologie et du telos suprême, alors que dans le même temps, elle désolidarisaient concrètement l'universel de toute région, ainsi les puissances de l'argent ont aliéné le devenir spirituel des individus en leur arrachant les moyens d'expressions propre a la langue de l'eschatologie qui seule fonde le paradoxe de l'Individu conscient de son universalité en chaque région particulière de son existence désormais exploitée et rédimé.

Note

Il y a deux manières d'envisager le présent, soit comme substance de l’état de nos représentations soit comme angoisse ou téléologie en suspend de ce dont on ne peut pas se faire de représentation. Dans le premier cas l'esprit est contraint violemment de se retirer face a la réification qu'il déserte de sa présence, dans l'autre l’être est le telos du devenir qui se forme après l’avalanche de tout support de représentation, il est signifié par l’entière réflexion de l'esprit transformant l'absence de représentation en ouverture de son parachèvement.

02/05/2015

Quand le mal absolu n'est plus qu'un détail de l'histoire.

 

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Alors c'est ça... c'est comme ça en deux milles quinze qu'on fait preuve de courage en rédimant a priori tous les témoignage de la présence du mal absolu... oh que c'est grand et beau de nier les enfants de quatre ans jetés vivant vivant dans les les fours... comme c'est incomparablement noble et élève, de nier la réalité d'une telle abjection... tas de bouffons putrides petits pétainiste aux gros bras, adorateur des blagues douteuses vous vous recueillez au pieds de la plus grande sainte de France pour offenser tous les combat... mais quel combat reste t-il a mener quand on a fantasmé l'éradication du plus grand de tous les maux... ? Quelle grandeur louez vous quand vous niez l'existence de ce qui aurez pu vous valoir la couronne et les laurier si vous l'aviez affronte... tas de merde infecte, pu virulente, affront a la France dont vous n’êtes même pas digne de maugréer le nom... vous en appelez a la vierge pour un mal imaginaire ??? bouffon pitoyable, colique politique, résidu d'aigreur cristallisé en une lâcheté a peine capable d’écrire de mauvais livres... vous parlez de quoi ?? politique ??? mais qu'est ce que la politique si la mal absolu n'est plus qu'un détail de l'histoire... !!!? quatre ans, même moins... au four... jetés vivants... j'ai pas de mot pour décrire les ombres que vous êtes et qui sont deja rejetées au néant, j'ai pas de nom pour vous signifier tant votre irréalité n'est déjà que tourment... rentrer chez vous scolopendre infects, fascistes sans cervelle... et vous voudriez rattachez la lobotomisation du mal radical au terrible nom du crucifié... OH putain... quel abîme de connerie sans borne... sans logique, sans cohérence aucune... chacune de vos parole est un pétard sans poudre qui se noie dans le néant... et vous en êtes pas conscient... pauvre types, caricature d 'existant, que reste t-il de la parole quand elle germe sur le refoulement du mal radical ? Un trou vaseux de merde puante qui se repend partout demagogiquement.