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10/05/2015

Mookse

 

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  Le silence intérieur des osiers murmure a l'oreille de la langue, le Nil qui la démange et dont elle remue la fange comme l’éveil d'un ange transpercée et souffrant, sa face immatérielle refletant l'inconnu léchée par un chien savant disséminé sous ses jupes; taches en pas japonnais projetables par l'entendement plus subtils qu'aucun ciné, car n'est sérieux que la possibilité du tout, quand tout est possible, le corps vibre comme un piano accolée a une note transcendante, vibrant intérieurement d'un orgasme redoublant la portée de toutes les cordes filandreuses du serpent ; de la langue donc, le faune tâte la peinture a tête de choux, il enfonce un doigt dans le crane le retire et le suce comme pour gouter le parfum de la jungle mais a sa grande surprise, ce qui l'attire autant n'est qu'une lampe noire, un verbe insipide en soi, un vide dément matériellement cohérent, un inexistant signifié sans saveur a la chair, une cave ou une cavité creuse ou manque la sensation, ne se révèle que quand elle se rate, en un frisson, ou a nouveau, seule a seule, en tête a tête avec son paradoxe, la langue qui pense s’éclaire et parle, reporte sur le monde les contradictions qui la concerne, et se parle aussi a elle-même a mesure qu'elle se détend, apprend du temps, a se différencier d’elle-même tout en s'identifiant a chacun des êtres par lesquels son dialogue se révèle exister entre des inconnus que le monde, l'espace et le temps informés d'une représentation, sépare de la matière brut de l'insignifiance éternellement congédiée, d'une œuvre encore a être; pour que le silence advienne comme le monde aboli, il faut plus que des pioches et des pelles, du silence faire le tapis, revient a toucher du fond le plus profond la surfaces de tous les raisonnements qui effacent, ou croit le faire, le mystère de la nappe captée par la surface.

 

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   Le dialogue de la fin, a propos des restes est une arrière pensée plus puissante que le sexe qui entre soi et dieu n'a que peu d'importance, pour qualifier de filiale l’appartenance selon l'esprit; connaissance sans laquelle le dialogue ni les personnes ne paraissent jamais; mais avant que les pensées s’évaporent avec tout un kama sutra de surmenage, il faut concevoir que le bruit de la pièce jetée au fond du puits ne reviendra jamais, qu'elle tourne sur elle même comme un soleil qui dans sa chute imaginaire infinie, arrête le vœux et luit, redonne par la souffrance l'immobilité de la kénose du rayonnement qui se confond avec la chair crucifiée ; l'oreille berce le bourdon du silence, fardeau contre la plainte s'agite et la langue prise encore de chair d’étourdie d'une peine plus grande encore qui viendra rédimer, soulager d'un renoncement l’œuvre et le travaille secret de l’élaboration de l'air par le vide nécessaire a l’allégement des pensées qui portent la mesure des êtres a l'absolu d'inspiration; un ralentie de la joie, si tu le décortique a la manière d'une journée dans l'univers de Joyce ou la relativité du temps est prise au sérieux, permet de rétablir l'idée d'une parole absolue déridant l'espace éthique de l'informe, un combat entre formes et représentation s'instaure pour que le monde se parachève dans le rien qui est sa forme propre ; le rien que produit la langue en terme de compassion et de sympathie, qui rapproche, vide de toute arrière pensée les frères et les sœurs, lie autant qu'il trouble le cœur avançant dans ses pensées; la topologie de la source ressemble a un siphon caché sous une nappe immobile perdue en foret, qui reflète le ciel et les oiseaux comme un œil, une perspective infinie de la lumière semble ici s’être taillé une lorgnette dans le magma et la roche, un mode dirait Spinoza, ou se trame un monde a travers les fibres infiniment perceptible de la substance harpe liée a un goulot d’étranglement  qui ouvre comme une route vers l'autre du dialogue intérieur, l’éternel absent auquel la foret offre des fleurs sans regrets; passer leurs séductions, le plongeur qui dormait, s'enfonce sous la surface des suites de probation arithmétique, (sauver les apparences, n'est absolument pas sa préoccupation) comme dans le sommeil d'une caverne sans atmosphère logique qu'il découvre en respirant d'autre parfum noétique, enfoncée et perdue dans sa surface, comme la beauté dans l’innocence qui la rappelle a elle-même, de s'ignorer dans le commun continuum du psychopompe pris en flagrant dénie de réalité a hauteur de la salle des machines du sous-marin atomique, tubulé a l’intérieur comme un soleil organique, une habitation sphérique tombée du ciel, l’intérieur physique de l’immatérielle temporalité, l'ouvert dont on ne peut pas comprendre comment il se comprend en lui-même, veinées de stalagmites et de cristaux taillés par l'esprit joyeux du foyer ou je suis généris égaré.

 

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01:16 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (0)

09/05/2015

Note: un sentiment nouveau

 

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Puis il dit : allons comme le lion au bout de l'insilence des ténèbres, revêtir notre argentique peau de convers sous les bancs nénuphars de son Nil imagier; chaque picotement est un concert de cordes et de vent qui écartent la venue du vent dans le tuyau des grandes orgues de l’élucidation extensible des passages du temps ; vois le devenir puisqu'on n'est plus au temps du théâtre mais du cinéma, comme nous en somme paradoxalement revêtu du ciel kandiskien d'une dépouille incorrigible a nos yeux; lave vitre et chiffon, sont les deux voix accessoires du cœur qui bat le pavé des souffrances fragmentant la pouls plus profond de l’éternité reconstitué.... c'est certainement ce parcours qui se nomme le wake et qui fait de Joyce autre chose qu'un déconstructiviste, parce que précisément ce qui est en jeu dans cette ruine du langage ou s’édifie une autre idéalité, c'est disons l’énergie supérieure de la foi, vécu comme ontogenèse de l'ipséité qui se reconstitue a travers et au-delà de la souffrance dissolvante comme atome d’éternité et temps vaincu.



Scyne

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  Voici, les premières ampéres luxbrifiées du zoame lampion prisent au voici symbiolique du Bleue Ceci primordience, sans intermédiaire d'ecoute, langue au deux oreilles abouchées qui troublent d'esprit, use la joie des cordes devenues chair du temps et du monde, la satisFraction de la dégluetition cosmique des pelotes; le don est l'effort entier d'acquisition vaine par l'éproux du verbe qui amorte la connaissance de l'irrasoleil d'une chiquenaude scintillante dans l'incomprehensibie des peines ou par le plus grand renoncement, les voyageurs découvrent les plus profondes racines de la conscience et des trans-parents du proche défunt descendu comme une main de lumière fouillant la nuit sans cause et sans fin du néabre et qui due renoncer au tractuitre constellé de son hérielé brouillé par les ailes de son pantalon bergbach a sch¨ne, de mozart aux sex pistols, devant le trounid de la définiture streapsique du poèctral devenant, work in production de la struction physique du néant l'objet virtuel qu'est l'objet physique, nommé faussement Chose, parfaite illusion, que le chevalier quantique combat au nom de sa religion au réalisme copié sur les grandeurs paradoxales de la subjectivité d’où fut arraché l’âme, jetée, non au monde, mais a la pleine et entière présence de l'aimé, perçue a travers l'infime inconnu des œuvres de foi en la barbarame des saints tombés du jacuzzi comme un cachet d'aspirine, au moment ou les bulles magnétiques de la pierre de Gilgamesh percaient l'introïsion des demandes a sortir du timbre des formules pour tambouriner aux versants informes des averses sans solution, les ruisseaux de blessu(tu)re emplissent les fascistes fâchés, leur centour du trou est un sensible, devenu inaccessible, le sol de chair palpitante c'est déchiré, ils sont devenus schizophrène et ne voit que pierre tranchantes partout ou c'est le di(e)urprenant qui l'emporte sur eux-mêmes et non eux-mêmes cosmivant, réunissant les plâtres qui réparent les implants, laissent de leurs emprunte des bouts de ficelles infini attachés aux moments clivant de l'existence qui réagissent sur toute l'organisation du son devenant corps et mer, revenant de ses zombes par flux et ressacou chausse l’indéfinissable d'une matière oscillante, vibrante, lié au statut de l’ipse, de l’événement personnel d’être auprès de la toute présence physique de l'aimé et du caractère éternel de sa présence qui s'annonce quand le devenir sans fin se suspend en beauté, au limite entre l’immatériel et l’étendu géométrique, la ou l’é(N)tendu s'effrite jusqu'à se dissoudre dans la plus grande abstraction possible du mouvement, dans l'instrument de l'univers qui s'agite, par leur rencontre dans l'accidentation du temps, l’éclat de la collisson, fait naître la musique du clomage, le concert miramimage confusifflou du vivant préméditant son immédiateté, (certainement un meurtre pour vider la scène du conscient), pour traverser le temps.

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