03/02/2015
h et cristal
Le roman théologique de l'intuition est un étrange livre qui ensorcelle comme le serpent le premier regard jeté sur la terre qui nous plonge dans la confusion d’où nous devrons extraite une lumière de l'intelligence venu du discernement propre a la culpabilité qui relie dans la douleur la personnalité; la culpabilité précipite a l'action a partir du verbe, cristallise le verbe en action; son mode est celui de la pleine conscience éternelle entièrement refoulé par elle-même, comme si sa transparence réelle devait s'assurer de l'origine immatérielle de l’éthique et de la conscience emmêlée de réflexion et passion entortillés aux branche du temps, avec lesquelles cependant, elle se confondent parfois quand le chant d'un oiseau indiscernable l'appel et fait lever la tête, et le corps se transformer exotiquement en perspective qu'on a devant soi, plaine de pierres et de mousse oranges comme de la paille, ou foret nues de croches détachées de l’éponge ; avant de les voir emmêlés ceux qui les jugent puéril, ennuyeuse ou peu snob, devraient bien mesurer le potentiel d’hystérie que contient un seul flocon de neige murmurant que la concordance des branches dans les plans séquences faisait du bien comme un baume régénérant, une liqueur intacte de l’éternel exquises, surtout quand lui-même sonnait lamentablement, et qu'alors racine et branche ont pour lui ce langage des signes, ou le printemps passe la tête a travers des terre dévastées, le germe entretenue et conservé dans leur racine invisible dont j'ignore le nom mais que j'ai devant moi, la confusion des plans de la réflexion nourrissait la sensation qui émanait d'eux, le fonte du mental transformé en sensation, apportait a chacun brin d'herbe, une manière concrète de ressentir la paix de dieu par la nature, lorsqu’elle résonne comme une unité perdue, dans l'accusation porté contre soi, alors toute la confusion du monde se retourne en nous en grâce qui redonne le sens du lien et de l'unité, en nous faisant grâce de sa compréhension.
Une langue qui conçoit l’avenir n'est pas une langue qui fait des projets mais qui perçoit le présent infiniment, le ressent non comme une opacité mais une clairvoyance ; car pour elle l'avenir n'est pas un temps qui n'est pas encore, mais qui sera toujours le pas encore de l’éternité ; l'avenir est la présence même de l’éternité dans le temps.
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Ambitionner le néant
Disons les choses clairement, Bezos (pdg Amazone) n'a pas d'autre objectif qu’être le plus gros... rassurons le de suite... évidement chérie tu es une des plus belles ordures humaine que le monde libre n'ait jamais créé, aucun doute la dessus... absence complète d’éthique, aucun interet pour l'autre (une branche peut-elle se prendre pour le tronc?) projet commercial sans conscience existentielle, dénué de toute trace d'esprit autre que l'inflation hypertrophiée de narcisse et de l’égoïsme vain... l'airain resonne a ce prix, dans la malédiction de l'humain que rependent sur la terre ses vendeurs de guerre; aucune cohérence existentielle réfléchie et affiché dans la volonté de fonder une entreprise c'est a dire une articulation entre les intérêts personnels des hommes ayant chacun leur vocation par laquelle tous sortent gagnant d'un processus de synergie qui pourrait fort ressembler a une amorce d'amour mutuel... rien, des chiffres, des courbes des placements, des classement dans la compétitions du vide et du néant... l’éternel médiocrité absolu du connard qui ne sait qu'exploiter a son unique profit... lui et ces confrères qui tiennent les orientations de la planète en terme d’éthique sont les pire nazis qui soient. Devant deux petits nouveaux de l'e-commerce, par exemple, prometteurs à souhait, qu'il veut intégrer à son empire, Bezos commence à chaque fois par faire une proposition d'achat ridicule. Quand on la lui refuse, au lieu de négocier, il se lance dans une féroce guerre des prix en vendant des chaussures et des couches bien plus bas qu'un grossiste. Et quand tout le monde comprend que Bezos préfère perdre des millions à détruire ses concurrents plutôt qu'à investir ces mêmes millions dans une offre d'achat plus élevée, les deux entreprises sont poussées à la vente et rejoignent la famille Amazon... l’Europe a l'image des états unis n'est en panne que parce qu’intrinsèquement les projets industriels des grands groupe sont dénuée de toute conscience, ne visent qu'a l'accumulation des pâtés dans le bac a sable... intrinsèquement on qualifie ces ordures de génies alors que l'esprit, la conscience et la réflexion sont ce dont ils manquent le plus... on nous dit que l’Europe meurt, que les nations, et les individus meurent parce qu'ils n'ont plus de substance intentionnelle ou projeter leur désir, mais l'ossature véritable du monde dans lequel nous vivons, son essence se détermine au niveau des grands groupes qui incarnent les méta-intention , les meta-projet existentiel en lesquelles se déclinent tous les autres. Si les racines sont pourrie la dent tombe, or c'est ce qui se passe quand ces connard se gratifie de leur excellent résultat, leur excédent de marge et de concurrence écrasée, il se gratifient de l’anéantissement de l'humanité, ni plus ni moins ; éradiquer la concurrence est l'autre nom commercial du génocide humain , du meurtre narcissique consistant a exister sans esprit, par l’élimination de l'autre, d’où provient l'inculture de la peur consistant a monopoliser les sources et ressources des formes de la vie. Rien, absolument rien de l'entreprise comme meta-projet existentiel parcourue par une intention spirituel n'a encore été pensée par ces gens la ; et ne le sera jamais par eux. Amazon traite ses travailleurs comme s’il s’agissait de robots et d’ailleurs, la société ne cache pas son intention, d’ici quelques années, de remplacer son personnel par des machines... peut-on dire plus clairement que ces pseudo-genies de rien du tout, sont en réalité de sombres merdes habitées de l’éternel volonté de rendre non pas l'amour mutuel possible, mais impossible, refoulé comme ce qui atrophie, blesse et tue l'amour propre dont le riche aura toujours plus que tout autre du mal a se défaire pour passer par le trou du temps jusqu'à la conscience de la vie; habité par ce sentiment inculte sur lequel surfe les écoles de commerce et toute entreprise pseudo-élitiste, de définir un ensemble de privilèges objectifs comme la propriété de ceux dont l'existence n'est un profit pour personne... le comble de l'avarice va de pair avec l’égoïsme de ces parasites qu'on n'a laisser se développer et nous imposer leur contradiction qu'a la faveur de l'absolu désintérêt du monde que suscite en réalité l'absence de valeur humaine et spirituelle contenu dans leur projet... mais l'ivraie a pris des proportions gigantesques et fait désormais de l'ombre a toute l'humanité... mais comment pouvions nous prendre au sérieux, et a plus forte raison qualifier de géniales, ces entreprises commerciales qui visent la suppression de l'humain, c'est a dire l’avènement d'un monde magique ou dans les texte sacré de la bible capitaliste s'accomplit la prophétie du veau d'or produisant des richesse sans aucune rétribution du travail pour les acquérir... le problème de l’économie décérébrée, laissait aux main de petits frimeur du dimanche, c'est encore une fois la langue et l'esprit, le projet intentionnel qu'elle contient... ou pas... ce vers quoi tendent les grands groupe et les patrons charognes de multinationales, n'est pas moins contradictoire et miraculeux que les faits relatés par les apôtres, a ceci prêt qu'au lieu de dire que l'esprit est la présence de dieu par delà la mort a soi-même, eux, tellement dénués d'esprit, mais violent, arrogant et philistins et moqueur, font exactement l'inverse, et s'intronise dieu sans esprit dans un monde de pure matière quantitative ou plus aucun êtres ne compte. Le terme réel de ce processus d’industrialisation des grands groupe quantitatifs, c'est que l'existence de la conscience devient elle-même l'objet d'un mythe auquel on ne croit plus. Bezos au nom prédestiné a une carrière d'ordure! C'est le mec qui vous baise, qui ne sait faire que ça ; en terme spirituel il est insensible spirituellement, sournois, coléreux, vindicatif, vengeur, toutes les passion du ressentiment s'accumulent sans aucune sublimation dans son pseudo-projet nihiliste ; Quand Bezos sort major du lycée et prononce devant ses camarades le traditionnel discours d'usage, il exprime «son rêve de sauver l'humanité en créant des colonies permanentes dans des stations spatiales orbitales tout en transformant la planète en énorme réserve naturelle»... que dire ?? tellement c'est nul plat, insignifiant, sans intérêt, débile, pas même digne de faire mouvoir un instant le rabot du moindre charpentier, ni de provoquer la moindre passion éthique ou le moindre collapse spirituel... c'est tellement insignifiant qu'on n'y prête pas attention, et c'est de cette indifférence la que germent les ronces et les barbelés du mal qu'ambitionnent de produire tout ces criminels qui incosnciemment reve non pas sauver l'humanité en favorisant le dialogue dans l'amour mutuel, mais de mettre sauvagement l'humanité dans une boite de conserve en orbite autour de la terre ou ils sont seuls a régner sur le néant.
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Coordonnées cellulaire de Mossoul
L'endo-physicien suivait au feutre les coordonnées stellaires sur les points d’acupuncture de l'iris, tout en mâchouillant une pâte noire; on aurait dit le docteur Frankenstein, tirant les fils d'un zodiaque qui flottait dans le cabinet le reflétant cousant l'air comme une porte ouverte sur l'univers décomposé de part et d'autre du trousseau de clefs de l'ossuaire ne donnant accès qu'au même organe de lumière stellaire et organique ; il n'y avait pas de battant vibrant entre les deux seuils, aussi les murs de la pièce étaient ils comme aspiré l'un vers l'autre par le vide ; rejoindre la ou tombe la lumière au fond du point de fuite, la ou la fine pointe des douleurs lacèrent le cœur de la forme évasive, le sol harmonique de la félicité sur lequel tombe une lumière écran; a chaque instant la ville entière semblait passer par le goulot du sablier géant ; les proportions défilaient inégales entre elles, comme des bulles de chewing-gum remontant du fond de la caverne un peu d’âme ; un peu seulement, tant elle changeait sans arrêt de matière a ce qui lui semblait important, qu'elle du se mettre au régime, régime sec de jugement, pour sortir des routes importantes et revenir a l'essentiel ; le poids en terme de valeur de de lucidité de la joie, disséqué en chaque instant par le zodiaque cousu main, qui atteste seul de l'existence d'une porte poire morte dans l’âme, une porte qui était comme les portes d'un château, dont au plus les lettres des villes voisines ainsi que ceux des autres pays tentaient d'indiquer l'entrée, la place sur un plan qui gonfler et dégonflait sans arrêt comme la vessie de gargantua, et donnait soit le mal de mer qui fait rentrer au ports, l'oubli de la culpabilité dans un bonheur rogné et rustiné de fric, soit libère toute l’énergie qui était en toi et te donnait accès aux facultés, et a leur purge ethnique a l’intérieur des âmes ou les conflits territoriaux de voisinage et de frontière, grignotaient la saveur même, le goût et le sel purger pourtant par la même herbe a chat par le vide pour habiter et incarner complètement l'esprit; mais nous aussi comme les musulmans avions au fond a cœur de congédier la présence physique de la joie dans l'univers.
En arrivant a Mossoul je rabaisse mon niqab, un dernier arbrisseau sur ma droite défile, puis ces pierres jaunes agrippées a la route et qui semblent souffrir autant que nous dans ce pays. Une araignée déchiquette un olympe imaginaire dans un coin de galaxie, et le transcendant est là, qui nous voit et fait être semblable a sa lumière a travers l'univers. Pure conscience de soi sans objets définit saisir pour se prouver a elle-même la réalité de son éternité, et de ce fait pleine et recouverte de poussière et de miettes a charrier a jeter dans le vide le plus loin et fort possible pour que ça puisse s'illuminer, et que l'on puisse se voir a ma place dans cette voiture a recoudre face a face avec la peur, l’être pour lequel je tremble et qu'on m'interdit d'aimer comme il faudrait l'aimer pour que sa mémoire se perpétue a travers les hommes, comme s'il s'agissait de la vérité éternelle de sa charité.
L'homme d'entre vous le plus délicat et le plus habitué à la mollesse aura un œil sans pitié pour son frère
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