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01/03/2015

Mute

 

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L’auteur déplie quelques joints rouillés de sa volonté pour étendre la tapisserie des tensions de la brasserie du Cercle a l’écusson des angoisses qu'on chasse par les pieds en y passant dedans, en les voyant en face dénudé l’espérance qui seule les traverse, en marchant sous l'arche de la seine en relique d'états carbonés par la houle optique ; les alluvionnaires revenants, s'approchent par allusion, en suspension par des trouées d’atmosphère, leur rustiques domesticité d'os plastifié de peau, trame un drame de leur tipi effondré pleine peau et fagotée autour du vide foyer; dernier degrés de noirs silhouettes, le parc et l'air de jeu entre les boules de bronze oscillaient dans l'air métrique par de savant décalque emprunté aux yeux défait entremêlés de leur supposition... quelqu'un a qui parler de l'assiette stable des astres émondés décervelés, des âmes sœurs débitées au même puits de poussière cosmique soulevées ; elles assoiffent les mots d'une nouvelle volonté, d'une âme aux cotes d'auteur de plis nouveaux, renversés d'entre les griffes de l'aigle aux oboles consentie, aux chose du vide donné en retour sacrificiel; il croisait les bras entre les stations qu'il parcourait l'air détaché du support des empruntes visibles, le regard jeté sur n'importe quoi, flics ou papiers, et le lecteur graveur de cd en poche enregistrant la suite continue des événements, rendait n'importe quelle gare du monde un grand n'importe quoi traversée en fumant un vide cellophane transparent souple comme une poche de gré glacée, gelée tel que poire d'alcool, dont se parent les hommes de la contrée quand ils chassent en groupe autour des cônes pelés du congélateur les enzymes de l'eau de vie ; d'abord briser le parement liquide du flux des geôles, et forer le vortex du malheur en plein effort de réduction, la lyophilisation au soleil concentré, lustrera le mal au bide ciré par les tempêtes, extrait la aussi par l'estomac les jambes amputées autant qu'un nœud qui rassemble la Charpie gastrique d'une éponge insensée; le cep des souffrances pousse un cri silencieux sous le diaphragme et l'air véhicule, mince comme la tranche d'une feuille la coquille d’œil qui bouge une dernière fois avant de changer a travers l'ouverture sensible reprojeté ; les rues de la chair parcours chaque veines des pores au point mort.

27/02/2015

Isabelle Raviolo

« Les paraboles ne sont pas une manière imagée de présenter des idées pures, mais le seul langage capable de porter les relations de la vie religieuse, paradoxales comme celles du monde sensible. Les paroles et les gestes sacramentels ne sont pas les simples signes de quelque pensée. Comme les choses sensibles, ils portent eux-mêmes leur sens, inséparables de la formule matérielle. Ils n'évoquent pas l'idée de Dieu, ils véhiculent la présence et l'action de Dieu. »

Note

A quel taux de consommation doit on porter la vapeur pour qu'elle brûle toutes les graisses, et lubrifie les pièces mécanique de monnaies ; par chez nous c'est l'argent qui se consomme lui-même énormément, qui file de plus en plus vite ou se reconstitue d'un coup presque miraculeusement...

 

Nietzsche donne la formule d'une sensibilité radicale, mais elle s’appuie sur le mythique éternel retour, et non sur le jugement intérieure de l'amour qui en forme la structure consciente éternellement ; chaque point du temps est envisageable du point de vue de l'amour.

 

La pensée est une force physique brute qui palpite en nous, une passion qui se jette aveugle dans la langue comme la vibration de la corde dans l’âme d'un violon, dans le corps de l'instrument qu'elle parcours sa voie jailli qui enrichit la corde de son bois, elle pourra en partie dire qu'elle est, en partie seulement, pas complètement c'est pour cela qu'elle meuble économique d'une question, ça met en route les pièces de la route.