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24/02/2015

Haut mal

23/02/2015

Argentique

Des racines de la lune tombent des gouttes de collyre enflammé sur la surface de l'œil. Des champs de langues neuves percent entre des geysers d'azotes aux enveloppes diluées de charogne naufragées et avides; entre deux transitions électronique le soma de la membrane solide nous tourne un peu la tête dans les rouleaux interstellaire entre lesquelles Montaigne encore s'enroule, se peint, se déforme et se déforme, se déploie selon la perception plastique que le cœur a de son tendre bien; et tend une peau entre des niveaux d'énergie qui ramène a soi, l’âme offerte aux différentes épingles du liège entomologiste le produisant comme une raie d'émission de lumière frottant les écailles du soleil sur les ailes des papillons; le regard du sage toujours erre plus ou moins, le long des quais ravagés de la collision du transfert ou il s’achète un cœur chez le boucher qui le lui vend dans du papier blanc sulfurisé imprimé rouge et bleue d'un coté seulement, comme s'il avait confondu jusqu'alors, l'avenir et le passé tout collé de foutre et de nébuleuse pondeuse de voie actée; le sage toujours plus ou moins, a chaque instant, offre au temps la possibilité de sa richesse, se fait muet, et se décompose entièrement dans la projection du nouveau qui a tout le moins lui donnera l'impression de passer a travers les apparences d’être plus et autre chose qu'une image socialement régulée et soumise aux lois des montreurs de marionnette ; mais l'image il la cherchera longtemps, en multipliant in vivo et in situ les dissection entre deux corps de son état avancé dans la photocomposition des horaires de provenance sur les cartes du ciel et les debriefing de l'aviation dont il ne reste plus que les tracé dans l'almanach du peyotl qui a germé a l'intérieur du globe oculaire entre la panique et Panurge prit au rets des pinces du scorpion d’Orion ; ça pince toujours un peu le réel quand c'est vrai, il n'y a que l'illusion qui soit au fond en soi la matière propre de l’indifférence décharnée, se dit on en plantant phallus en terre comme un gland extrait du saint prépuce décalotté par le renoncement ; on ne sort pas des apparences, sinon sans rien dire et en silence ; mon cœur est comme de la lumière, un différentiel d’énergie sans matière, une mole dressé comme une vague qui tâte les aspérités de sa propre éclosion dans la coquille des contrastes indiquant la direction.

 

Entre

 

L'année sidérale de Vénus est de 225 jours terrestre, et sa vitesse est de 35 km/s, ce qui ramené a la vitesse de la lumière nous donne un taux de compression assez bien balancé entre la prémisse et la conclusion, pour que l’écart spirituel entre les deux dépressions prenne l'apparence d'une chair, d'abord flou et indéterminé, que l'esprit investira peu a peu, en se trahissant, et qu'il finira par devenir comme oubli de lui-même, a moins que la violence de la mesure de notre ignorance ne vienne a nouveau le frapper et secouer tout son crédit dans la connaissance, et qu'il ne se réveille le bec dans le vase au long col aussi sinueux que l'amazone vision d'un fleuve de méthane parcourant la surface de Pluton, avant de se jeter dans une véritable mer d’hydrocarbures alimentée par d’autres rivières plus petites sisent en contre-bas d'une foret d’hibiscus géants, ou la pierre des temple maya lutte amoureusement contre de large nénuphars blancs.

 

Le corps n'a au fond de rythme que quand il devient un organe c'est a dire chair sensible, ou encore, plus finement perçue, une pensée... pas forcement phallique (toute présence n'est pas d'imposition ou de fusion, l'essentiel ici comme ailleurs est entre les deux, une mer de variantes aux infinies possibilités), ce peut aussi être entièrement vibrant en soi, chair identique a la parole, et encore être présent sans rien lâcher ni de l’être ni de sa vérité. Toute l'histoire du savoir est incapable de prouver l'existence d'aucun être... nous l'avons oublié, peut-être, mis au rebus avec la question de l’être qui nous décrit pourtant cette situation vibratoire de la vérité de la chair prise ou non dans les onde d'outillages... mais dans nos fables et dans nos contes vibrent encore son energie, ainsi que son espace et ses limites, propre a l'imagination infinie qui tremble sans rien pouvoir rien dire de la réalité de l’être par lequel elle chante... la peau est peut-être ce qu'il y a de plus profond en l'homme, si on veut bien dire aussi et entendre ce que cela comporte comme effondrement du savoir, que l'esprit est la source de toute chaire... l'esprit de l'ironie était déjà l'entre deux que l'atopotatique crucifié évidera de toute son effective richesse et réalité, du corps comme chair et parole, expression vraie de l’attachement de dieu a la vérité, solide comme la chair qui seul peut l'exprimer. Des peintres ont ils exprimer cela ? Je ne sais pas ? Peut-être que toute l'histoire de la peinture n'est aussi qu'un oubli du point de départ métaphysique de la chair comme expression de ce qui est vrai pour Dieu.

Mais le seuil entre Vénus et Pluton, ne suffit pas pour sortir de la passe; il faut franchir le seuil de toutes les planetes ensemble, le jour ou ton ciel astrologique se brise et que les planetes fondent sur la terre, s'ecrase dans ton jardin, retourne ta piscine qui te submerge et te noie ... l'extreme douleur ou tu demande a dieu de pouvoir un instant, sur une racine quelconque de ta conscience sentir un apaisement, non moins que cela, une toute petite indifférence, un confettis d’insensibilité qui te donnerais un bref instant de repos, et pourquoi pas un coin d’appuis pour le sommeil... il faut bien se rendre compte de quoi on parle... l'esprit c'est mobie dick c'est la pieuvre géante et invisible qui git sous la peau et qui parfois transparait a travers les apparences univoquement opaques et thématisées pour rendre possible de contrôler et de diriger les flux de consciences vers des énergies moins puissantes... l'esprit créant la chair est l'acte absolu, le point final de la création, la ou se rejoignent tous les fils de lumières passant a travers le trou de la serrures pour découvrir le secret du Père gravé au dos de son alliance.

Les choses, les choses du mondes, sont une objectivation des amas confus qui se promènent dans le sang de la vision. Mais ce champs de la vision il faut l'acheter au prix d'une destruction interne de l'indicible en nous qui seul peut faire que dieu s’incarne en rendant l'esprit vivant ,agité comme une pieuvre, un monstre de religiosité capable ouvrant les abimes d’où il surgit intérieurement pour tout absorber, tout engloutir, livrer a un être infiniment plus fort que nous, dont le pouvoir de créer est inconcevable malgré toute nos connaissances techniques... cet être la est déjà la chair de tout homme... au mieux l'art en redonne t-il une impression.