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27/02/2015

A combien doit se monter d'apres vous le credits a la nature pour croire en l'existence d'un etre?

Fossile-Foisonnant fouillait les brins de trou noir trouvé entre les bulles de coton supermassif d'origine contrôlée par un collège de fous, quand l'axe accouplé aux vapeurs des demi teintes, lui apparues le long des tirants du store de sa casquette baissée ; les valeurs des particules de gazon et de terre visière baissées, refermaient le livre qui les attributs a des insolites liquidité de l'esprit suivant son flux; et le premier pas au-delà de cette terre fit le sol lunaire des voyages a travers l'oubli de la poussière qui les amasse en capitales du futur grotesques autant qu'arrogantes, aussi miséreuses que sales et sublimes a la fois, selon qu'on voit la coquille s'ouvrir et se refermer sur le mystère couvert de lierre putride des simple appréhension univoque des sensibilité grossière qui psychanalyse au lieu de respirer par les ventouses a jamais dans le dépôt de l’organe incorporé, loin du corps, revient a lancer une expédition au source du Nihil, ou encore, a dessiner un cercle avec des carrés, un cercle , un seul fait d'un geste infini, un trait qui n'en fini pas, mais qui cercle l’intention autour de la question... en régie l'heure et la place de l'accouplement adultère... l'objet de l'ontologie, l’être mis a nu dans la lumière déchirante d'une angoisse qui s'interdit de voir dieu ;nos idées de toute nos sensations …. est-ce de l'art ou du cochon ? lard comme la graisse des béliers, comme le fait qu'ils sont leur propre récompense... ils ne sont que violence au cou, dieu ne les reconnaîtra pas, ils sont leur propre jugement, en détruisant ces idoles, ils se jugent eux-mêmes, ils nient la compassion de dieu, l'existence des homme, l'image de sa création, et ne reconnaissent aux hommes aucune marge d'erreur, aucun possibilité de pécher, de devenir, il refuse l’être au temps, refusent le temps aux êtres, aucun divertissement, ils ne savent rien du déchirement de l’être dans la lumière, ils n'ont des conversion authentique, conversion de la sensibilité dans le concept et inversement, aucune idée, ils ont leur récompense, voyez, ils abattent des statues, encore une fois, ils sont leur propre jugement, de même qu'il ont vécu par le glaive ils périront par lui, et devant dieu, de leur vie ne restera rien, ils seront sous la pierre, sous le boisseau, la lumière ne les aura jamais connu, ils seront ce qu'ils craignent le plus, non pas dieu, mais les statues, qui ne sont que des pierres ou se façonnent la réflexion en dieu pour les esprits vivant.

 

Il faut du credits pour croire a l'existence réelle d'une nature quand on vie sous cellophane.

Fossile-Foisonnant fouillait les brins de trou noir trouvé entre les bulles de coton supermassif d'origine contrôlée par un collège de fous, quand l'axe accouplé aux vapeurs des demi teintes, lui apparues le long des teintes du store de sa casquette baissée ; les valeurs des particules de gazon et de terre referment le livre qui les attributs a des insolites liquidité de l'esprit vrai suivant son flux; le premier pas au-delà de cette terre, les voyages a travers l'oubli de la matière cherche les capitales du futur grotesques autant qu'arrogante miséreuse et sublimes, coquille refermée sur son mystère, respire a jamais dans le corps redevenu mystère, même si pour nous cela revient a dessiner un cercle avec des carré, un trait qui n'en fini pas, mais qui cercle l’intention autour de la question... en régie l'heure et la place de l'accouplement adultère... l'objet de l'ontologie, l’être mis a nu dans la lumière déchirante d'une angoisse qui s'interdit de voir dieu ;nos idées de toute nos sensations …. est-ce de l'art ou du cochon ? lard comme la graisse des béliers, comme le fait qu'ils sont leur propre récompense... ils ne sont que violence au cou, dieu ne les reconnaîtra pas, ils sont leur propre jugement, en détruisant ces idoles, ils se jugent eux-mêmes, ils nient la compassion de dieu, l'existence des homme, l'image de sa création, et ne reconnaissent aux hommes aucune marge d'erreur, aucun possibilité de pécher, de devenir, il refuse l’être au temps, refusent le temps aux êtres, aucun divertissement, ils ne savent rien du déchirement de l’être dans la lumière, ils n'ont des conversion authentique, conversion de la sensibilité dans le concept et inversement, aucune idée, ils ont leur récompense, voyez, ils abattent des statues, encore une fois, ils sont leur propre jugement, de même qu'il ont vécu par le glaive ils périront par lui, et devant dieu, de leur vie ne restera rien, ils seront sous la pierre, sous le boisseau, la lumière ne les aura jamais connu, ils seront ce qu'ils craignent le plus, non pas dieu, mais les statues, qui ne sont que des pierres ou se façonnent la réflexion en dieu pour les esprits vivant.

 

26/02/2015

Note

L'autre jour il parlait mariage et de l'insigne vertu qu'il recèle de distendre la chair a la dimension des vocables de la signification, a un ami esthète qui le regardait ahuri comme s'il avait soudain changé de langue, c’était mis a parler chinois, formant de longues labiales qui n'en finissent pas, d'infinies consonnes qui tournaient a vide dans la tête de son ami.

 

Ce n'est pas tant la différence des niveaux de richesse qui est odieuse, ou sa disproportion, mais le caractère injustifiable et immoral des grandes fortunes fondées sur l'inutilité foncière des moyens par lesquelles elles s'acquiert ; ce fordisme de la bagatelle est proprement nécessaire a la constitution du capital par accumulation, et a terme rend visible devant dieu l’indécence entre le résultat et les moyens ; c'est cela qui a mes yeux est proprement scandaleux. Ainsi on n'est pas tout a fait dans une époque nietzschéenne qui se rétablirait sur ses pieds par un simple renversement des valeurs, on est dans l’ère du paradoxe qui implique quelque petites complications par rapport a une révolution dionysiaque.