Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

02/09/2014

Note

La ou l'amour, au sens de l'etre-vrai, est un dépouillement conceptuel de l’égoïsme de la chair qui se charge de la sensibilité transcendante formant a la fois la conscience de..et son objet, la télévision, qui se voudrait son reflet est du cote de l'hegelianisme et de la fuite en avant du concept gauchissant (sans sous entendue politique) la sensibilité qui comme le lait caillé du sensualisme et de la pseudo volupté des faux infini lie quantité et avidité du désir rend confus ce qui doit être clair. La est le mensonge du Monde ; une erreur de registre dans l'axiomatique liaison réflexive des ordres symboliques de la réflexion parcourant l'unité d'un être éparpillé dans sa sensibilité, et rapporté a son amour ; rien n'est plus tentant pour ces esprits léger que de tromper l'amour, tromper ce qui ne trompe jamais étant l'unique tentation dont toute les autres ne sont que des dérivées ; et la douleur qu'engendre cette faute est directement situé au-delà de tout apitoiement possible ; elle est sèche, comme un froid arctique pulvérisant instantanément l'humeur en glace pilée, incommunicable et pourtant universellement partagée, comme un coup de scalpel pénétrant au plus profond de la chair tout en vous laissant la vie; la tentation est d'abord une pensée, qui en vérité n'en est pas une mais son refoulement ; aussi parle t-on alors, après coup de folie qui ressemble a s'y méprendre a celle de la foi mais qui n'en est pourtant que le double caricatural et inversée ; l'etre-vrai de l'amour qui ne trompe jamais peut donner lieu a des réflexions infinies, d'une infinies souplesses et richesses de sensibilité, mais le refoulement de la pensée lui fait l'inverse, il impose a la vérité incompréhensible de l'amour une injustice trop raisonnable pour pouvoir se fondre et se confondre avec l’absurde vérité ; la tentation est contrairement a ce qu'en dit le fautif toujours réfléchit, organisé et laisse dans les champs de lumière de la pensée une zone de lueur glauques qu'approuve la majorité des hommes parce qu'elle est la lumière de l'agora ou il s'assemblent pour palabrer ; alors le pécheur, au lieu d’évider le noyau organique de la lumière conceptuellement sensible ou dieu l'a placé, décore de fioritures sans queue ni tête le tissus déchiré et mitée de l'imagination qui ne trouve sa matière que dans le cercle ouvert de l'amour ; mais cette contradiction l’effroi, et il la tient a distance en se forgeant l’éternelle pensée contraire que l'amour trompe toujours ; ha engeance de merde sous humanité, fléau dénuée d'humaine conception de la vie autre que vaudevillesque autant que de sensibilité, voilà une pensée qui a coup sur a bien jaillit du cœur d'un homme au sentiment cariés ! A la lumière de dieu ils ont préféré les lueur imbéciles du petit écran qui n'est pas seulement la mort du cinéma, mais l'avancée permanente du désert de l'oubli, la parole recyclant le verbe de l'oubli dans la joie des salauds, la centrifugeuses du cœur devient la lessiveuse des pensées pour les ablutions des blanchis fuyant leur incohérence que le monde politique tout entier cautionne et valide comme une condition viable de l'existence humaine éviscérée ; l’État devient alors l'organe de leur manquement qui les soutiens et les prolonge dans leur faute, puisque comme chacun sait l’économie dirige le monde et n'est que le prolongement d'une guerre contre la confiance l'amour et la fidélité ; or de nos jours c'est l’État, la clique véreuse des avocats et autres juristes aux ordres de la loi des lâches et des salauds consommés, qui se substitue a cette carence du cœur trop hâté de parler, de s’évider dans l'énoncé infini de ses désirs en poudre insoluble a la contradiction qui devrait au contraire le rendre entièrement silencieux et muet comme un souffle inondant la parole de dieu ; le grand homme des lors n'est plus qu'une merde mesuré a l'aune des examens du rectum de l'opinion, et ce qu'ils appellent vivre n'est plus que l'expression spectaculaire d'une ontologie virtuelle inexploré quand a son fond d'absence de parole liant les concept et les sentiments réfléchis de la sensibilité; ainsi le spectacle est a l'extase de l'etre-vrai ce que la détermination infinie de la précision creusant sa propre profondeur dans le souci du bien de l'aimé, est a la sensibilité sensuelle prônant partout le règne du néant et de indétermination quantique comme si la valeur duelle des apparences n’était pas précisément ce que le cœur et la parole ont pour tache de renverser: une caricature. Or dans la caricature s’érigeant en mesure inconsciente du réel, il n'y a plus ni mythe ni fable, ni héros, ni chevalier, le paradis et l'enfer sont oublié comme s'il n'existaient pas, l’éternité n'est plus le sentiment du cœur, l'honneur n'est qu'une réflexion surannée comme le sens ontologique de la sensibilité aux êtres et a leur dignité ; reste le système et son unité absolu de mesure ontologique : l’applaudimètre; pour nous tirer le portrait, il n'y a plus de l'homme qu'une conception possible : le Connard a la silhouette de bellâtre sortie du photo-maton l'esquisse du malfrat des images, la gueule de con des prétentieuses icônes élargissant leur ego aux dimensions du monde réifié qu'ils asphyxient du poids de leur reflet, alors qu'il devrait s’anéantir et devenir ce rien, ce souffle bruissant entre les lettres de dieu qui laisse vierge les choses respirer pour que chacun puisse s'y mirer; la brute qui se donne l'apparence du contraire, ou la guimauve bodybuildée aux mocassins bien vernis pointant le famas sur tout ce qui bouge (deux aspect complémentaire de l'égoïté qui absence d’ipséité) juste astiqué comme il convient aux ordures quand elle usurpent le droit de marcher sur les cœurs et qu'elle avancent d'un bon pas dans la carrière insalubre d'une incurie ou le monde n'est plus que l’étable infecte, la porcherie ou s'accumule comme dans un grenier les trésors de leur amours inachevés et agonisant de souffrance ; aussi naître désormais dans un tel monde, peuplé partout de tant d'ordure ayant les plus belles et les meilleurs intentions, revient a s’éveiller très douloureusement du cauchemars, et plus douloureusement aujourd'hui qu'hier quand des reste de compréhension pouvait aider a l’éclosion des êtres ; c'est sentir son âme gisant sur le sol de l'effroi qui lui soutire tous ces points d'appuis, se dédoubler, se relever, plus forte que le mensonge qui la soutenait et qui veut l’écraser a nouveau, lui maintenir la tête sous l'eau des baptisé c'est renaître l’égoïsme noyé, par delà la mort, évider du noyau de l'intimité remise dans le secret d'un autre qui est aussi la seule ontologie possible de toute ipséité du sentiment de l’éternité révélant son esprit dans l'extase de l’éternelle alliance.

Taon

 

Les douze peaux de chenilles éviscérées et tannées en pleine métamorphose séchaient étendues sur de simples châssis de peupliers écorchés la veille et grossièrement équarris ; elles pendaient distendues comme des constellations a une hauteur de cauchemars du sol, a hauteur d'homme, comme ses feuilles géantes d'automne aux dimension d'un vaste empire, rengorgeant les retours de flamme de l'incendie allumé par le printemps des gestations du mystère qui y avait pondue son œil de charbon sec; des sacs éventrés, la houille des terreurs qui s’était mise a parler, avait travaillé l’épiderme jusqu'aux impressions du souffle avant de disparaître dans le ciel en rotation ; mais les merveilleuses et éblouissantes traces de la naissance du feu sur l’épiderme larvaire dont rien n'avait empêché la sensibilité de connaître la mort et de retourner au néant semblait retourner comme un gant toute la gamme des signes ou le trappeur perdait la raison depuis tant d'années a ne découvrir sous l’enveloppe dépecée aucune de ces carcasses sanguinolentes qui s’exhibent au crochet d'acier rutilant des bouchers, mais seulement des racines sèches de pensées qui tombaient en poudre sitôt qu'il s'en emparait, rendant a la poussière l'espace vide d'une différence entre la pensée et la chair, sitôt qu'entre deux durées, l'instant de la page ouverte clignait dans la lumière refermant la paupière de l'organe utile a sa perception; ces peaux étaient très recherchées des mondaines et autres dandys accrocs de la mode, pour leur caractère de permanente évanescence, leur parfaite subtilité qui les moiraient d'une infinité d'images toutes enchevêtrées les unes dans les autres comme un monde sans plan préconçue mais émiettant la présence seulement reliée par les hymens poreux qui séparaient les couches ductile d'essence symbolique distinctes comme des niveaux de réflexion dans la jauge d'une même sensibilité, fouillant de main aveugle leur propre fond d’absence de pensée ne pouvant penser leur suppression, pas plus qu'elle ne pouvaient se représenter ni projeter autrement leur etre que comme un mur vers lesquelles elles se fracasseraient faisant résonner d'un tintamarre de casseroles le grand vide de l'édifice de la parole du vivant nourrissant la paix des cieux agrandit de son silence ahurissant, que leur reflet renvoyait comme un échos créateur sous la forme d'un flux ou d'une impression de courant; de la gomme bleutée de l'estampille du boucher sur les carcasses dépecées du bestiaire vulgaire et lassant, les sémaphoriques peaux du trappeur se démarquaient par l'infinité de leurs motifs liées par l’irréalité de la sensation courant après elle-même, comme la peau d'un phantasme derrière les os de la nécessité ; leurs teintes imprégnées du bref parcours a travers les changements de lunes et les saisons, évoquaient encore les ages de la vie selon les strates du silence ou les bornes du solipsisme étaient noyées ; et de la libération des êtres en leur ultimes geôles, il ne restait que les membranes du vide vibrant de la liberté du vent dans le corps devenu invisible des dérélictions fanées; en les voyant, le tailleur et le modiste y décelaient instantanément milles motifs, milles patron pour les mouvements de nuits de la liberté, comme si ces enveloppes avaient été cuite de l’intérieur par une lumière étrangère qui aurait rendue la vérité d’absolument inconnaissable, familière ; les ciseaux rapprochaient les formes que les coutures suivraient selon les rites propices au dépouillement de cette angoisse métaphorique cherchant l'issue érotique de la dignité de l’être dans la pudeur extatique du rapprochement qui recouvrirait le corps d'une flamme portant aux nuées l'exposition de ses pensées les plus secrétés; des méandres absurdement clair des marais jusqu'au scellement des chaînes de la paix qui composent les grains du silence, l'animal avait mué de son vivant dans la glu poisseuse des boues, et elle aimerait sentir la finesse de sa peau encore se réduire jusqu'à devenir transparente comme la peau de larve qu'elle portait ; ainsi vêtue elle se sentait capable de franchir les fausses cloisons qui pendaient du faux-plafond jusque sous ses pieds, peut-être se sentirait elle la force de marcher sur les eaux du greniers qui stagnaient comme le souffle claquemuré en un pet écorché ; c'est bien plus que la parole , le silence organique de l'alliance et de l’éternelle paix qui avait grandit en elles, comme un levain soulevant la pâte fourré de nébuleuses planète dont on ne mangeait que le moule ; contrairement aux paupières clauses du bacille et de la taupe douce et aveugle, les lymphes de lumière obéissaient a d’étranges histoires que la lune chantait le soir aux brumes couvrant la vallée de sa bouche ronde; la poudre de vent noir et sombre, épais comme un humus jeté sur un tapis de flamme blanche était capable d’éteindre l’étincelle de la pensée comme de faire exploser le boisseau et rependre la chaleur interne du ciment qui sécherait l'amertume des angoissés vivant leur mort éternellement, leur impuissance a supprimer la suppression, augmentant la pression sur le plancher d'un ciel en accélération, et d'une communauté en décomposition, ouvrant, au futur papillon, la voie de l'être par l’effacement, creusant le sol d'un boyau en forme de sommet par ou s'enfoncerait l’âme morte en elle-même jusqu'au hauteur dialectique du point d'interrogation rognant sa propre inconscience consumée par l’incompréhensible vérité. Nourrir de silence la paix. Aussi le trappeur attendait un moment bien particulier pour dépecer les larves ; entre la naissance et la mort toujours venait le moment ou la terreur ouvrait le ventre de la pensée et dilapidait ses richesses en vain, mise a sac comme si la larve avait voulu a nouveau s'engouffrer dans un ventre, revivre en conscience sa propre naissance; le moment le plus propice était celui ou la terreur devenait consciente et ou tout héritage des siècles et des trésors de la culture se concentrer en un unique point : « dis-moi que c'est pas vrai ? Je comprends pas ? C'est pas possible ? ... » ...alors la larve était fin prête au dépouillement, non pas des voies du peuple toujours multiples, mais de la voie, nue, dénuée de connaissance, lyrique comme un esprit prenant conscience d’être le redoublement d'une autre subjectivité, et qui aurait perdue sa route dans les impasses humaines, serait resté attiré par l'idée d'une communauté sublime, animant ses muscles en formation de l'irréel objet de la tension, ou la tension se mirait, jusqu'au regard clair du très fond apparaissant sur l'horizon comme une présence humaine, comme une conscience prenant connaissance de sa propre vacuité faite de cette chaire liant de sensation les globes célestes de tes yeux, comme un mort ressuscitant des apparences ou son savoir l'emporte comme un plomb vers l’abîme dont il ne peut le faire remonter, a moins de fondre le plomb de la sonde en quelque degrés d'une impossible échelle qu'il ne peut lancer jusqu'au cœur de la lumière sans y projeter ses ombres, et voie enchâsser dans le faisceau de l'unique pensée concentrant toutes les sensations qui ne sont que les degrés d'une seule et même déclinaison, tous les souvenirs, toutes les espérances du cœur changer en laser; leur autopsie était ce qui se gravait sur la peau des larves que le trappeur recherchait pour leur vide de qualité.

01/09/2014

sans titre

Le manomètre indiquait 15 barres et demis sur l’échelle du mercure de mon père quand je suis né soufflé dans la glace par le vent d'hiver, trois ou quatre jour avant décembre. Une infirmière imbécile m'avait mentionné par erreur dans le registre des animaux trouvés parce que mes oreilles pantelantes et frisée comme un choux-fleur, me donnait l'air d'un fox terrier l’ayant trompé sur la marchandise, alors qu'elle regardait la télé qui rediffusait un reportage sur le décloisonnement extatique de la mémoire séquentielle de l’Europe asphyxiée par son propre solipsisme gréco-romain: les millénaires africains ; mais dans mon souvenir, outre les haut le cœur du toboggans des muqueuses et les difficultés de la traversée de la première foret de poils pubiens, je n'ai conservé de la démonstration télévisuelle que l'idée d'un appareil reliant artificiellement l'absence des corps aux syllabes qui les manifestaient séparé d'ombres incompréhensibles dans la salle de travail ou une inconnue poussait des cris d'agonisant d’où je devais naître.

La base lyrique de ma mémoire en fut a jamais chamboulé ainsi que le sens du réel avec lequel jusqu'à ma mort je n'ai pu me familiariser ; mais comme a tout malheur quelque chose est bon, cette confusion première de l'unité terrestre des lieux imbriquant le globe terrestre dans le ventre de ma mère rempli de cris anarchiques, m'aida, a suivre, les lentes et très incertaines explications de l'idée centrale de mon père sur le sens de la vie et du comment on s'y forme, qui occupa mon éducation pour les dix années suivantes, liant la révélation du réel a l'impopularité carcérale qui était selon lui, le talon d’Achille de la carrière de la plupart de nos grands dirigeants égarées dans la rose des sables aux pétales éparpillées aux quatre carats du diamant. Puisque je devais me choisir un animal, comme on choisit un talisman, tant qu'a faire je me choisi papillon, car m'avait-on dit c’était a la différence du fox-terrier, le seul animal dénuée d'oreille, sourd aux explication de ses métamorphoses.