11/07/2014
04H02 : Le concert de poids pendu-le concert de poids pendu-le concert de poids pendu-le ...
Que te semble l’être qui t'arrache a la mort, n'est-ce pas un homme tout comme toi, le même que tu espères peut-être déjà content satisfait et libre de tout tabac dans le froid cigare déroulant de vague hélices, de large papillonnement dans l'entente generale du sens de la realité, et de sa situation spycho-dermique que pointe pourtant les tubes stellaires des circonvolution tres aproximatif, parfois tres proche les uns des autres, rendant sensible la pleintitude de l'amour quansd il blottie son ardeur contre un nhavre de douceurs de toutes inquiétude vidées, entre autres merveilles, et la valise dans la roulette du briquet, sous le yeux du loup a l'interieur de la gare dessossée, ; il ne sait plus tres bien, si la fenetre ouverte d'un mausolée supermarché de nuit quand tout va bien dans les hublots gelée du satellite en bouteille décapsulées loin des cadavres allo-ciné show sur ecran crévé le digital foetus de l'année éviscérant par les serie télévisées la pulpe du muscle confisqué par d'autre preoccupante occupation, d'une inquitante banalité repoussant ll'inspiration du doute par une réponse bien affirmée; contaminant les contentieux de nerfs revés chaque le jour, le gresillement de la plus sculpturale beauté dans le jaillissement. En somme le temps ,reflechit se fait plus long sous la surface du moment décelé , révélé, inclu au libre arbitre arreté du livre etiquetté code impossible a releverler, livre essentiel, a l'inoubliable possibilité d'œuvre entre les matieres ; chaque series isolées, situé dans la non-histoire des clairieres eclairées est un chemin qui y a sa place, qui peut troubler le sentiment ou le clouer sur place, le scotcher aux cravaches de promethée, arceaux de tenebres des anciens esclaves ayant tranformés leurs chaines en l'egide artistes quand ils apprirent qu'ils n'etaient que les forçats d'eux-même, ondulant dans les tenebres d'un séche corps de dellation en larmes, sous le forets des tortueuses danse desabusée du poids de la haine prodiguant l'effacement generalisé des caracteres sous le masque, de la tristesse quittant le monde, sans colere, juste hebetée par tant de bétise, perplexe comme une statuaire mayas enfoncées dans le saint foin signifaint tout le fruscin de la cerebrale évasion de l'arbre du singe numérique, qui se confond avec celle de la liberté, quand parfois en son don immuable et parfait, le vertige donne l'infixité de celui qui est dans la non-histoire des hommes, éveillé, se retrouve lui-même et se ment pour connaitre le vrai. La question du départ, de la part justement, découle d'un metal en fusion pourquoi faire ? Les liens c'est etonnant non ? Quoi ? toute obscurité otée de la dimension réelle de la liberté, etre soi a la bonne dimension»
Si tu connaissais toutes les series autonomes entre elles tu vies de les croisées, l’événements qui traversent ta panse latine de reflexion serait parfaitement stabilisée, situable illuminé par la revelation de ton sacrifice d'amour déchiré recomposé musique comme par le temps insituable, suspendue eternellement qui soude entre eux tous les etres libres, plus fort qu'aucune haine politique, publique ou privée ne peut les descendre, entre passé et a venir, la resolution des conflits que la divergences des series entraine sur l'equilibre de ton esprit dans la revelation de l'etre conceptuel de l'eternité desirée par notre civilisation, entre en dialogue avec soi-meme liquidé par la base, lacher dans le trou jusqu'à l'evanuoissement complet, de l'oubli propre a la plénitude, dont la conscience eternelle resonne aussi en permanence. Mais un amour qui ne desespere jamais qui devient lucide, s'eveille et gagne son jeu aux tarots de la fatalités et autres chose decisives comme les jeux d'echec des flammes de la liberté. Et quel autre puisqu'il t'arrache a la mort
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10/07/2014
sans titre (en cours)
L'exception corporelle de l’immatériel rêve infirmant le plongeon dans les geôles de l'intelligence, ricochant de souffrances en extraction du trou de terrible pierre, par grand dommage des chutes, une fable décapante se reflète sur le plateau d'argent de Salomé, qui l'emporte en cuisine dévisser les yeux de ses sentiments érodés partout piégées d'oubliettes cachées derrières des murs piétinants en saut de chat et autre pirouette distrayant de tomber par malheur dans autant d'assurance féline qu'il y a de grâce sensuelle a laisser désirer son trou noir de plumier quand on montre ses seins en étendant ses draps tachés d'opiacés délices et d’épices d’alcôve tapissant de marais les cinq branches des étoiles du merdier, du moins autant qu'il en faut a la mort pour frapper le non-être vivant, et que d'elle jaillisse une nouveauté que ni l’étoile ni la merde ne peuvent représenter quoiqu’en les rapprochant elles s'annulent pour l’étincelle libre de parler. Le motif de la broderie déborde l'atelier, les heures de pose des ornement du trou, des murs d'enceinte et du château fort, de ses travaux forcé, dont il reflète tout le nombrilisme trajet du tir bouchon crénelé jusqu'à la source perdue au sommelier carrefour des caves démultipliés, ou l’œuvre déchirée par les violons de l'auteur joue la même musique du ravissement créateur, que le rugissement sans bruit de l'encre de l'oubli de soi engloutissant le sommeil a jamais éraillés des geysers contrariés par les nappes sédimentaires de lettres fossiles glissant aux ténèbres poisseuses sur la corne des béliers subir la métamorphose de la damnation de l'huile de roche solide sous l'horizon des sombres flammes du parterre de lèvres a la langue rompue et ensevelie dans le pli recelant des ténèbres le buste sculpté de la trépanation du dieu vivant, le palais d'or n'attendant qu'une parole pour que l'univers se ranime, illuminant l’horreur miroitante d'une sublime odalisque de son reflet, moulurées d'onde compatissantes et complices, vibrantes et sensibles par les deux bouts de la corde tressée ; a nouveau la drisse sensible du joyau intarissable de lumière, brille par delà les mondes, comme cette blanche baleine respirant sous la mer tel un poumon stellaire échappé d’Orion et ses satellites irradiées de son éclat par une pensée sans retour, s’exfiltrent des complications sans bornes de la souffrance sans fin, par un coup de talon sur le fond même de l'alliance, et porte a la promesse du projet la réalité du don qui dénoue les mains pour caresser l’incompréhensible.
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09/07/2014
note
Que sera ta sensibilité lorsqu'elle aura engloutie la terre et que vers la fin, a travers le terreau elle gouttera l'humus de la lumière a la manière des papillons, quand le souvenir n’éclairera plus le passé revenant, mais crèvera de son nouvel organe impensé, quand entièrement prononcée, la fonction du souvenir achevée produira son organe et que le souvenir n'aura plus de valeur en soi, car il perdra la douce redondance de l'absence au carré, qui amortit les coups reçus dans l'extase du temps, qu'adviendra-t-il de moi quand l'imminence du bien ne sera plus une syntaxe brouillé par les retards du temps ou l'organe se fait d'abord connaître absent par ses effets, quand dieu sera présent a ton esprit, présent a ta mémoire effondrée, qu'adviendra t-il de toi ? Parleras tu encore a la manière de ceux qui procrastinent dans le temps ? Ton souvenir ne sera plus que l'ensemble des nouvelles catégories supérieure de l'acheminement a la parole, ton ancienne manière de dire ironiquement la présence du bien sera toute renversée, et les éléments de ta vie que tu prenais pour des figures définitives ne seront plus qu'un nouvel alphabet substantiellement plus proche de la densité noétique du lien qu'aucun extase tampon ne pourra écarté de toi ; si on voulait comprendre Artaud, non pas a la manière des salons de thé psychanalystes, mais avec l'intention qui guide tout vrai lecteur d'une œuvre, si on voulait comprendre Artaud mieux qu'il s'est comprit lui-même, alors certainement il nous faudrait voir dans sa vie cette brasure qui a illuminé un théâtre de cruauté signifiant que la langue en l'homme se métamorphose dans un plan de verticalité rompue ; l'acheminement vers la parole est la plus grande des aventures humaine, et elle ne se résume pas a l’élaboration d'un souvenir couvrant réflexivement l'espace idéal de la l'extase du temps, , car vient toujours le moment ou le souvenir est insuffisant pour dire l'indicible, pour dire la présence réelle qu'aucun passé et qu'aucun avenir ne dissimule de ce bien qui pourra éteindre les souffrances d'aimer ; insuffisante encore pour dire ce dont, en tant qu'etre parlant nous n’avons aucun souvenir, ni aucun moyen de le dire par nous même autre qu'ironique pour dire qu'Il sera là devant nous comme un mot manquant sur le bout de la langue qu'on ne pourra formuler qu'en réinventant sa mémoire qu'en détruisant le souvenir devenu pour le parlant la nouvelle table des catégories du bien présent nommé éternellement.
Aucune trace de l'organe dont le souvenir émanait n’était visible dans le temps, et sa présence s’excédait elle-même dans la concaténation du passé qui touchait au présent, car le souvenir peut suffire au malheureux qui s'y complet, a l'homme vieillissant qui s'y ressource, mais certainement qu'il entache d'une part d'ombre la présence du bien dont il redouble l'absence idéalement ; en s'accomplissant, le souvenir disparaît dans la réalité de la chose qui le lie par son absence, de sorte que c'est cette fracture du redoublement idéal de l'absence, absence du bien redoublé dans le souvenir de sa recherche, qui se contracte pour rendre l’être intensément plus présent, infiniment plus cohérent et puissant, capable d'une joie qui n'est plus a simple mesure humaine mais comporte quelque chose d'effroyable, un débordement de la coupe du souvenir justement, vue que le bien surnaturel s’accomplit dans l'effacement de la mémoire qui en dévoile l’éternel présence nouvelle comme le contraire d'un souvenir, vert d'une éternelle fraîcheur incalculable dans son jaillissement dont certainement les catégories du détails de son appréhension n'auront rien a voir avec celles de la langue pour laquelle l'esprit n’était pas une position de réalité essentielle, et qui faisait de cette langue un anneau de Saturne pour laquelle le Bien est quelque chose d'effroyable et de seulement prévisible a la vue infinie du cœur qui n'apprend pas d'elle la langue de la présence du Bien, mais seulement que des catégories de l'esprit et de l’être se sont formées dans le temps qui doivent erre subvertie par leur mort, leur perte complète de signification pour que la langue éternelle de la consolation s’apprenne de l’expérience même de la consolation après la disparition terrestre des catégories de l'espace et du temps ou la signification de l'absence du Bien absolu a put être sentie, éprouvée , vécue et pensée. Tout est nouveau en Christ.
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