05/07/2014
note
Au-dessus de la lucidité de la parfaite frustration des départ en vacances, l'ombrage d'une humeur qui prouve qu'on est encore loin du seuil de pauvreté, du deuil de la terre quand on est sur les aires d'autoroute enervés et peu prompt a la joie du sacrifice, quand le besoin que l'on a l'un de l'autre fondamentalement s'obscurcit de voluptueuses reflexion sur notre confort qu'on prend comme objet du souci et qui pour cette raison doit s'effacer, parce que la joie de l'existence de ceux qui nous sont cause de sacrifice, est la réalité sentie du dépassement de la pensée abolie, reconnaissant en ce besoin la nature éclaté du lien humain a refaire en matière de joie céleste; le cauchemar des contes agite les ténèbres contre le pouvoir agissant déterminant, scintillant du développement de la conscience; son ciel symboliquement admis a demeure d’être complètement juste quand on éprouve un sentiment pour l’irreprésentable dont Dieu est le concept. Cette pensée éteindra le souci en illuminant le renoncement a soi qui l'incarne, et tu seras toi mais comme tu ne l'as jamais été auparavant. L'obscur souci qui encombre l’âme s'agite et se déchire en une ultime déflagration virtuose pleine de boulons et de ferrailles enherbée, lourd ciel chargées de carcasses comme une casse auto, comme une tache solaire rutilante des grain de la photo en pleine lumière du bain dans la javel des noman's land en friche d'absolu. L’idéal en effet n'a rien de platonicien, il est l’essor de la conscience dans la performance vitale de l'amour, aussi vide que le retour au rien de la pulsion dans la compréhension de soi, accomplissant ce qu'il en comprend du sens de l’être s'abolissant lui-même en pensée, pour s’annoncer et paraitre hors de toute représentation quand il parait face a l'autre bord, celui auquel tu touche quand le rideau se baisse et qu'alors comme un humus dispersé dans les racines éclatées de l'humanité, a travers l’électricité conflictuelle de la mise en rapport du bien commun diversement définit et interprété, unanimement reconnu et supposé tu déposse sur la terre nouvelle une foulée incommensurable dépassant toute pensée. Toutes les racines mènent au tronc, c'est a travers leur rassemblement que monte en sève la conscience du faîte. Mais il ne faut pas oublier de concevoir le reflux essentiel, l'espace vide du boyau de projection, libéré des operculaires représentations mensongères de la vérité.....des mystiques effusions de lave sur la sève des maux, et de flétrissures chamelles engrossées de drapeau hurlant dans le ventre comme des arpéges de douleurs, nous apprenons que l’harmonie du ton infiniment disloqué et dissonant de la souffrance qui se torture elle-même, manque de courage pour se renoncer, et que le désespoir infini nous apprend notre manque de foi capable d'endolorir encore davantage et sans fin le tourment des pensées qui broient le cœur redevenu sauvage de l'appétit premier de toute splendeur fondamentale et derniere; la vie humaine, est éternellement simple quand elle n'a plus a s'occuper d’elle-même, que de relever les piliers du ciel sur la terre ou elle ne fait que passer.
Du tout. C'est tout le contraire, de c'que c’était ! c'est un état de manque absolu, dépourvu aussi de toutes frustrations qui s'alimente de saine lecture de la procrastination ; qui ne regrette rien de ce qu'il perd, mais allège l'espérance de tout un monde ou s'expertise justement l'élévation, l’équilibre de ta valeur absolue, ton charisme éternel de ciel bleu houle comme les chaînes aux chevilles de condamnés a rouler boulet du jugement a tout bout de champs obstrué, les écrous hérités ne te sont ni fatal ni destiné, voilà ton héritage commun ; mais en lui la possibilité t'es offerte d’éprouver ton être absolu en sa valeur véritablement éternelle, aussi simple que transfigurée en un salut souriant qui réchauffe le sang d'un mot d'amour subvertissant le sens de la menace induite de nos court poème, la souffrance disparaîtrait alors d'une telle pensée et du corps qui se libère lui-même, s'abolit en faisant le choix de sa réalité supposée don excellent et parfaitement incompréhensible et réelle ; nulle maîtrise ici, de l'absolu et pourtant son maintient dans le rythme atteste de l'effacement progressif du faux dont ton corps est infesté ; de quelle branche le départ de feu est-il la partie ? Lui qui éclaire sa propre présence n'est qu'un corps labyrinthique sous les lamelles du microscopes électroniques, une forme informe qui informe toute forme.
Peut-être ne retrouveras-tu jamais l'arbre si le décollement culturel de ta sensation a son intuition, ne s'unit a nouveau selon le concept du dépassement des myopie qui ne perçoivent que les mycoses de sentes dans les voix du mystère et s'en font un alibi de haine? Liberté, égalité, fraternité trois déclinaisons du même être progressant dans la compréhension de son propre concept de fils de dieu. Et déjà plus le même ressentit non plus quand tout est décollé, quand le cauchemars des contes rappelle l'agitation première de l'esprit qui trouble jusqu'à réaliser la difficile et douloureuse nouaison de la joie. Mais l'onto-poeisis est une musique qui coud la poche de transparence d'une cicatrice faite au dos de l’âme, un lifting de l'eau des yeux qui élargit la sobriété jusqu'à l'ivresse de la portée agrandit par la souffrance, de la vision, une superposition de l’écho du silence de la pensée, réfracté comme un heurt sur la conscience de l’éveil, résonnant par mont et par vaux qui le répètent comme la bonne nouvelle, du scandale absolu d’être en vie quoiqu'intégralement mort au monde systématiquement cohérent et aimé de celui qui t'as créé.
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s
La faim est l'appétit, la peur de manquer s'installe dans l'aliment le sentiment du ventre sexuel de la realité. Il y a dans l'effroi une disproportion entre la beauté ideal et l'horreur constaté une difference totale de tonalité qui rend les choses d'une certain point de vue, dependante et identique, fluide dans leur nouaisons qu'elle en abolissant constamment la charge et s'eleve dans l'oubli pensant retrouver l'abolition contante des données les plus cheres et essentielles de la realitrés, selectionné et defendu par la souffrance.
04:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
https://www.youtube.com/watch?v=6dgpJmFJ50M
Dis-je-pute juste-ment evanouit a venir, le develloppement evanouit d'une force de nouaison, en butte a de digitable repère d'une incontestable limite bien réelle mais informulation, qui ouvre devant nous les porte sdu temps, et du jardin d'envie de perdre son temps a penserau fossile de sa propre pensée, aux ecrements laissé, au parfum d'encens, transformé, échappé a soi-meme, au-dela du definissable et du determiné, se faufiler au greniers se faire un dernier pete, se defoncer la tête, en tête a tête, immmergé d'inversion inretiel sur le danger des mots traduisant aucune pensée stable de ce que l'on doit etre pour s'aimer, sinon se faire confiance les uns les autres et espérer; en travaillant les frequence jusque dans l'arpége on aiguise le tranchant d'une lame d'une parole acérée comme une laungue têtant d'un pic qui qui pourraient devenir brouillonne, a verité, mais euxde toutede perdre pieds de porc uniquement sur le quai douze, aux tremolos si doux, si détaché de tout accent, qu'il fini par hypnotisé sa proie et de la laisser cororiinas-souvient-ssement; une sorte de pression par le sexe, de la perversion du port prolongé du ton ou spasmodique alternative symphonie du coeur battement se régalant d'espace et de grande pensée dans les deuil et les meditation, du silence même, s'il en reste encore, même entêtant, même s'il en reste a faire chialer n'importe quel misereux, le dernier atome de bonheur sur terre je veux te le donner, c'est l'extase de mon etre, tu en feras ce que tu veux; mais moi je sais, pour ma part, que de l'extase retrouvée des mots dans le cours des inspirations branchie du mythe théologique du poisson volant, les pamplemousse récré les ouïes, plus courtes, raccommodées que les jambes des phrases les unes contre les autres et la sensation de l'infini unité et cohérence de l'amour qui noue sans détour, tout, des racine humaines éparpillées, comme la limailles de sa lumière sur le sol d’éternité, ou justement se consumes ce reflet horrible de notre propre folie, illuminant de sens le cours sinueux de la vie, flippé a mort lucide et souvent gaie, nous jusqu'à en perdre l’émotion, l'idée formulée contre elle-même de émotion éconduite de la sphère du monde, l'idée de refus des passions triste est informulable en nous même, ce ne peut être qu'une grâce accordée, retranchée en elle-même, dans un blanc de ton, qui laisse percevoir toutes leurs différente robe d'ans le bleu de la montagne, sous les grand pins, les pins géants, et ta présence . O eXacTemenT ce sont les quatre coins sculpté par l’écriture de l'air que tu respire qui te définissent éternellement a mes yeux.
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