05/04/2014
Laisse là ton offrande devant l'autel, et va d'abord te réconcilier avec ton frère.
On s'est parlé face a face, vide vitre sales d'abat jour et de bonheur essuyant les passagers du fond des yeux, le fétu d'aiguilles pétillantes des lumières, la gerbe fenaison de perspective dialoguée du cardiaque revreberant rythme métaphysique des joies et des peurs extrêmes, de l'unité d'axe, jouant contre le synapse gestionnaire et tremblant de la coagulation irrésolue des apparentes légèretés du souffle qui opacifie le regard laisse fossiliser la lave de tes yeux et nous pinçe le chignon jusqu'au sourire grimaçant mais bien tiré en arrière cette fois, de l'embarras des carcasses confuse et desossées, de partout sillonné d'iceberg gros comme des molécules de temps a la dérive. A la volée des semences rectifiantes, l'obéie existence assurée du sextant passe outre l'indicible indigo du versant inconnu et retrouve de nuit, incognito, le teint moire du miroir réfléchie, la sensible force de déplacer les apparences contraires de l'histoire pathétique a quoi tout se réduit comme au rien vaniteux du pari tenu. Craque ampoule du ciel tes crocs plus blancs que des voies secrètes, et mord de l'assurance ressuscité les os figés des impuissant, des sans forces, puisqu'il heurtent la limitent; ouvre leur le corps mort et tendue comme une pierre moins solide que l'espoir; a dieu plaise ma confiance pour danser et coudre les crashs d'improbables gestes avortés les remontés du plus loin qu'eux même en d'autres sources de signification, la silencieuse nappe d'indicible paix, secouée des vagues ressorts d'idéal débris errant parmi tant de raisons démontées. L'inversion de la mer noyée balance ces milles bras de broussaille en feu au sommet brûlant du désir ; l'incendie sexuel de la chair en dispersion ouvre aux calque isomorphique du diapason relevant les empruntes digitale de l'imitation qui marque et remarque a l'infini sa propre inscription dans ta bouche et tes yeux, caressant la liberté de son intérêt infini pour son empreinte qui brûle mais ne se consume pas de rester insaississablement tenu en respect et sauvage eternellement. Mais la chaire ne peut s'asseoir en hermeneute clarté du bien qui recouvre la vie. Sa vue tamise le grain aveugle aux forges de l'étoupe et l'esprit devient sensible aux étapes physique de sa félicité depuis l'origine secrète de la pensée silencieuse et sans terme jusqu'à l'arrêt de mort ambiguë selon l'orientation des ombres et la position du radiant intérieure; mais s'il empoigne de joie la souffrance, la couvre jusqu'à la faire entièrement disparaître, la lutte contre le poids mort du temps n'est pas vaine ankylose mais victoire du vent courant des veines.
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De te fabula narratur.
Obèse perte
du centre de gravité.
Depuis que ton regard achète l'argent
tu te perds et te demandes a qui le vendre
sans t'exposer nue?
retenant de honte
ta part d'inquiétude
trouble qui te jette confuse a l'affamé Dieu des palmes
constructions ramifiées
de rétentions d'abandon
de la joie pleine et justifiée.
Rare artmosphere confite.
Écoute
la manière dont la voie
brise le silence
comme un pain craque
le grain secret.
Quand la pensée germe claire les tissus de chair
et y cultive la confusion du frisson de la réflexion,
parler, alors c'est au seuil, l'être évidé en pleine lumière
l'image restituée du reflet au miroir poreux
qui cause l'émotion vraie
l'idée claire de la confusion qui aére le sang transcendant.
03:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
p://www.youtube.com/watch?v=bKddpiFpl2Q
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